lundi 6 mai 2013

La boite gmail de François Hollande

C'est ici et ça m'a vraiment fait marrer...

7 commentaires:

  1. Tres drôle (sincèrement).

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    1. Moi ça m'a fait passer un super moment : j'ai trouvé ça très drôle.

      (dis Nico, aparté. Pourquoi tu as dit dans ton dernier billet que tu aurais pu te foutre en rogne sur mon dernier billet sur le carrelage ? J'ai pas compris, j'ai été très zen et factuel, non ? j'ai dis que je n'avais pas voté pour Hollande et que je n'avais pas en les socialos une confiance immense, mais ça ne mérite pas rouge colère, non ?
      C'est juste comme ça)

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  2. Arg ! Je n'étais pas abonné aux commentaires. Je passais pour récupérer ton carrelage pour mon blog.

    Aurais-je eu une phrase mal foutue ? J'ai dit "aurais pu". Néanmoins, tu me poses la question. Disons que derrière chaque point vert, il y a eu une action menée, ce n'est pas qu'une promesse.

    Surtout, je te connais suffisamment bien depuis le temps qu'on papote (et vice versa). J'aurais vu ça sur un blog que je ne connais pas, j'aurais été plus virulent.

    En outre, tu tiens un propos d'une extrême violence, même si tu écris en petit, en parlant des socialistes : je ne leurs fais pas confiance. Si j'avais écrit dans mon blog : je ne fais pas confiance aux gens de droite, tu aurais pensé quoi ? Quand j'écris, même s'il m'arrive de faire des bourdes, j'essaie d'être prudent. Par exemple, je ne dirais pas que je n'ai pas confiance dans la droite mais que je n'ai pas confiance dans "cette UMP". Dans ton commentaire tu as dit que tu as dit que tu n'as pas une confiance immense. Non ! Tu as dit que tu n'avais pas confiance.

    Tu m'as posé la question...

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    1. Nicolas,
      Pas de soucis.

      Violent mon propos ? C'est une question de point de vue. Je ne le trouve pas violent, mais à y réfléchir je comprends qu'on puisse trouver ça violent. Question de point de vue : je trouve violentes des phrases prononcées par la gauche (aussi par toi aussi), qui le sont peut être moins.

      C'est bien entendu de ce parti Socialiste actuel (mais c'est le même depuis un moment) en lequel je n'ai pas confiance.
      En tous cas, et ce n'est pas un secret, je ne leur fais pas confiance pour mettre en place une "République irréprochable" et une "République apaisée". Je l'ai toujours écrit. Et ils ne m'ont jamais prouvé que je pouvais leur faire confiance.

      Je pense qu'on peut ne pas faire confiance en quelqu'un, mais qu'on peut le respecter. Ce qui est mon cas d'ailleurs.
      "Respect", c'était un thème du début d'année. Je crois qu'on en est loin.

      Après, si tu t'étais mis en colère pour cette phrase, je t'aurais laissé faire... Les phrases de beaucoup de vos amis sur la droite (et sur Sarkozy) ont été beaucoup plus violentes, à mon sens, à mon point de vue.


      Je t'ai posé la question parce que j'avais été surpris. Je ne pense pas que le billet que j'ai écrit, même s'il avait été écrit par quelqu'un d'autre, mériterais de la "virulence".
      Ou alors on ne dit plus rien sur Hollande et les socialistes... (plus rien).

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    2. Je vais faire rapide (si je peux). Tout d'abord, je sais que je peux être violent, parfois. J'ai néanmoins beaucoup appris avec les réactions de Jacques Etienne et de toi et j'essaie de poser mes propos.

      Tiens ! Voila un billet de Sarkofrance de ce matin qui parle des relations entre les blogueurs des deux parties de la gauche.

      "Je pense qu'on peut ne pas faire confiance en quelqu'un, mais qu'on peut le respecter. " On peut aussi faire confiance à quelqu'un sans être d'accord avec lui. Par exemple, je sais que tu aimes bien Juppé. Pas moi. Je n'ai néanmoins aucune raison de ne pas lui faire confiance même si je ne suis pas d'accord avec ce qu'il va proposer. Je le considère comme honnête et tout ça.

      Dans un tout autre registre, prenons Nadine Morano. Je n'ai aucune raison de ne pas lui faire confiance même si je ne peux pas la blairer. Ainsi, c'est bien l'UMP estampillée "Copé" en qui je n'ai pas confiance, parce que je la crois capable de raviver des divisions et de plomber un climat politique...

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    3. Nicolas,
      Je comprends ce que tu dis.

      Il faudrait que je développe ce que j’entends par "ne pas faire confiance". Même si c'était un détail de mon billet.
      Tu me fais un lien entre "ne pas faire confiance" et "ne pas être d'accord". Je te parlais "ne pas faire confiance" et "respecter". Ce n'est pas pareil.

      Je ne parle pas de compétences ou d'idées. Il va de soit que je considère le Parti Socialiste aussi compétent que les gens de droite que j'apprécie.

      C'est sur les postures morales qu'ils adoptent que je ne leur fais pas confiance. Sur ce concours de vertus qu'ils semblent s'évertuer à toujours vouloir concourir. Je prends souvent l'exemple de Paris et Tibéri, où la seule personne que le PS a mis en avant et qui donnait toutes les leçons de morale qu'on voulait est tombé pour emploi fictif une fois les élections passées.

      Sur les divisions et le plombage du climat politique, je n'ai également pas confiance aujourd'hui en le PS pour l'apaiser. Je le pense même, à ce niveau là, plus source de division et de tension que l'UMP, qui n'est aujourd'hui qu'un parti d'opposition.
      J'aurais pu faire une plus grande confiance en Hollande pour apaiser et jouer ce rôle rassembleur à la Chirac, mais sa passation de pouvoir avec Sarkozy, où il s'est montré sectaire et cassant, a cassé pas mal de choses là aussi.

      Et sur ce coté "division et plombat du climat politique", je constate malheureusement que les militants vraiment de base qui s'expriment ci et là, de tout bord politique, contribuent également à ces tensions fortes.
      Ceux ne sont que des sentiments personnels. Surement pas une vérité. C'est juste ce que je ressens, en tant que citoyen.

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    4. "Et sur ce coté "division et plombat du climat politique", je constate malheureusement que les militants vraiment de base qui s'expriment ci et là, de tout bord politique, contribuent également à ces tensions fortes."

      Oui. Mais pendant cinq ans, il n'y avait quasiment personne dans les réseaux sociaux, à droite (je veux dire de militants engagés). Là, ça commence à changer et on lit beaucoup d'horreurs.

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