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dimanche 2 avril 2017

Instagram de Mars

J'aime bien faire un billet avec les quelques photos instagram du mois. En Mars, c'était très axé jardin, cerisier. Ce dernier m'aura donné, en avance, des fleurs et des paysages magnifiques. 



Sinon Mars est toujours un mois qui m'évoque des souvenirs douloureux. Une pensée en haut de mon village. Et une jolie photo pour continuer.


Mars c'est aussi les premières fraises sous serres. En l'occurrence sur cette photo, sous beaucoup de chantilly.


Et Mars, c'est un jardin qui se prépare. C'est le printemps qui arrive, qui annonce l'été qui viendra. Une pelouse qui verdit, une piscine qui se prépare. C'est chouette.







mardi 10 janvier 2017

Mangeons des gâteaux

Bébé Faucon (le petit) s'amuse avec des gâteaux...
Je confirme : ce billet ne sert à rien. Et pourtant...

jeudi 11 août 2016

Carte postale d'Auvergne

En vacances pour la fin du mois. Loin des incendies en Provence et chez moi. 

Du repos, j'en ai besoin : l'année m'a épuisé. Je serai loin des présidentielles (qui j'espère mettront fin à cette parenthèse...), mais entre la famille et le boulot, je sais que 2016-2017 sera aussi épuisant. 

Je vais utiliser ce blog pour des cartes postales. Cette semaine en Auvergne, dans le Massif Central. On a laissé les bébés en Forez pour aller découvrir le Puy de Dôme et ses environs.

J'ai aussi découvert des fantastiques. Ce Côte d'Auvergne très gamay. On dirait un beaujolais village, un vin de plaisir et de soif.

J'ai aussi découvert le Saint Pourçain. 

Le pinot noir lui donne une noblesse très différentes des vins syrah grenache dont j'ai l'habitude dans mon Gard. C'est une découverte ce vin.

Des billets d'été. Des billets de rien. Mais le rien ca fit du bien des fois...

lundi 29 février 2016

Instagram du mois de Février

Un mois résumé en quelques photos

Un mois de février qui commence par,la chandeleur et des crêpes

Puis l'anniversaire de ma maman le lendemain. Nous aurons mangé des gâteaux...

Un mois de Février avec des jolies couleurs le matin.

Et une température printanière. Des amandiers en fleurs, et un bébé content de marcher dans le village de son papa.

Un village qui se pare de jolies couleurs en Février quand le ciel est bleu

La tondeuse sortie pour préparer le jardin au printemps...

Un mois de Février qui fut long, et au final épuisant... (pour ne pas dire déprimant)

La suite aux prochains épisodes... Un billet de rien, mais décidément incapable de mieux en ce moment...





samedi 2 janvier 2016

Saucisson truffé et Pichon-Longueville

J'ai ouvert le premier cadeau que m'a fait mon bébé pour la fête des pères. Je garde la photo de mon bébé avec Margaux et Pauillac dans son berceau, elle reste pour mes proches.
Il n'empêche. Ce soir, j'ai ouvert le Pauillac. Avec un saucisson truffé. Oups : c'était un Pichon-Longueville. Je n'avais pas vu...

C'est une grande maison, Pichon-Longueville. Un nom qu'on entend comme une douce caresse qui évoque des choses délicieuses... Et puis quand on le boit, on comprend : c'est une bombe.
Ce vin n'est sans doute pas le premier vin du château. Mais ils ont de l'or dans les doigts ces gens là, et ils subliment le raisin. C'était remarquable...

Beau-papa avait préparé un saucisson à la truffe. Lui aussi il était remarquable. Beau-papa qui est toujours là (et j'espère pendant longtemps), et le saucisson truffé.

Beau-papa est un artisan à la retraite, qui fait de la cuisine pour ses filles, et les gens qu'il aime. C'est quelqu'un qui n'a jamais compté ses heures de boulot. Quelqu'un sur qui la "solidarité nationale" a reposé, mais qui s'est fait insulté en tant que salaud de patron. Qui s'est fait fiscalement matraqué. Qui s'est fait cambriolé deux fois pendant qu'il bossait. Et qui a une retraite de merde.
Mais bon, c'était un travailleur blanc, catholique en plus, des contreforts du massif Central. Pas une "minorité visible", pas une personne défavorisé à qui l'on trouve toutes les excuses du monde et que l'on cherche à défendre, pendant que d'autres bossent pour financer cette solidarité qui en devient insupportable tant elle est inéquitable.

Je suis parti d'un Pichon-Longueville ouvert par hasard, et j'en suis venu à une de mes marottes. Cet Etat qui maltraite ceux qui le servent et qui maintiennent notre République. En étant coulant vis à vis des "racailles" (j'aurais pu supprimer les guillemets), laxiste vis à vis de ceux qui profitent de la solidarité nationale et de ceux qui la financent par leur travail, et en flattant certaines minorités bruyantes. 

On ne pourra pas continuer longtemps comme ça. La société ne tiendra pas. La France non plus.

Mais sinon, le vin est bon et le saucisson merveilleux...

(je remettrai en service ma Table du Faucon cette année...)

mardi 27 octobre 2015

Alors, on mange quoi ?

J'ai bien aimé la question de C dans l'air aujourd'hui. On mange quoi, si tout est dangereux ?

On en discutait à midi. Rien que le fait de vivre est déjà un danger. Vivre, c'est fortement dangereux. Puisque normalement à la fin, la vie est toujours une histoire qui ne se finit pas très bien...

Alors en cette soirée de pluie et d'épisode cévenol, Falconette m'a fait un burger. Très bon.

Et avant, le Cardhu etait très bien. Sans doute sanitairement contestable, mais merde...

Elle m'a quand même copieusement cassé les roues cette histoire de viande et de charcuterie cancérigène... 

dimanche 15 mars 2015

Histoire de gaufres

Il aura plu tout ce dernier dimanche d’hiver. Alors Falconette et Bébé Faucon ont fait des gaufres pendant que je bullais devant un LOSC – Rennes moins déguelasse que ce que j’imaginais. C’est bon les gaufres.

C’est amusant de parler de gaufres alors qu’en ce moment le Paris Saint Germain est en train de se gaufrer à Bordeaux. Paris a été magique à Londres. Ce soir, c’est moins ça.

En parlant de gaufres, Manuel Valls et le Parti Socialiste sont aussi en train de se gaufrer total. Ils craquent. Je reprends l’excellent billet du juge Philippe Bilger « Qui est rance, qui est triste ? », qui reprend une des nombreuses remarques pas forcément très haute de Manuel Valls en ce moment. Un excellent billet, sur un premier ministre qui l’est vraiment moins, excellent.
Et je l’écris avec une pointe d’amertume, car j’ai énormément de respect pour Manuel Valls. Mais je conteste sa stratégie d’instrumentaliser le FN pour en faire le principal adversaire du pouvoir (plus simple à battre…), que je juge dangereuse. Et je n’apprécie pas la manière violente qu’a le PS de faire campagne. Une campagne bas du Front, loin de « l’esprit du 11 janvier » dont l’utilisation a vécu.

Une double pointe d’amertume, car si je souhaite vivement une branlée sans précédent du Parti Socialiste et de ce pouvoir en place, j’espère une victoire des candidats apparentés socialistes dans mon canton et celui plus au nord. L’affection et l’amitié que je porte aux gens et aux personnes est plus importante pour moi qu’une étiquette politique. Et les équipes (binôme + suppléants) comportent ici et là-haut des ami(e)s que j’aime beaucoup, et à qui je souhaite de ne pas se gaufrer…

Enfin, avant les gaufres, il y a l’apéritif. J’ai ouvert une bière Maredsous Triple, qui ira très bien devant la cheminé… Elle est quand même un peu forte (enfin bon, il faut froid)

vendredi 23 janvier 2015

Saumon-chou-chorizo et réflexions sur la liberté d'expression

Je reprendrai les billets bouffes dans la table du Faucon un autre jour. Mais ce soir Falconette m'a proposé de le cuisiner le gratin chou-saumon-chorizo que j'adore.

Il se boit avec du rosé de chez moi (Lirac, ou Tavel). Et c'est magnifique. C'est un plat de fin d'été, mais comme il n'y a plus de saisons...
Je m'excuse d'avance auprès de certains commentateurs aztèques. Je leur proposerai ma sainte et pure pensée sur le monde qui nous entoure un autre jour... 

Je ne sais pas si notre blogosphère (politique ou non) est en crise ou non. Mais ce que je sais, 
c'est qu'il faut bloguer comme on le sent. Sans se prendre le chou. Sans s'emmerder avec des commentateurs qui veulent titiller ou emmerder, gratuitement ou pas. 

Ca me rappelle le billet que j'avais écrit cette semaine, où j'avais relayé des phrases d'H16. Une personne pas très intéressante est venue régler ces compte avec Nicolas, raillant cette "liberté d'expression" qui supprime des commentaires de casses-couilles. C'est delirant ces personnes qui confondent expression et pétage de gonades.

Je suis tolérant et ouvert. Certains disent aussi de moi que j'ai un physique atypique quoique pas désagréable (mais ce n'est pas le sujet). Pourtant, tout ouvert à la liberté d'expression que je suis, je ne supporte pas l'irrespect et l'insulte. Et ceux qui viennent pour casser les couilles. 
J'accueille volontiers celui qui sonne avant de rentrer chez moi pour venir discuter et boire un coup. Je sors à coup de pied dans le ionf le connard qui casse la porte de chez moi et entre avec un hygiaphone pour insulter ma famille et les proches. La liberté d'expression n'excuse pas la connerie et les emmerdeurs. Qui ne sont pas des libres penseurs mais des casses-couilles : c'est pas tout à fait pareil.


Ce que je sais aussi, c'est que c'est bien de manger des bonnes choses. Et ce soir c'était très bon.

Demain, nous parlerons de Cambadélis et d'Hervé Morin. Enfin, on verra demain.

jeudi 22 janvier 2015

Quenelles

Ce soir, billet de cuisine. Des quenelles avec sauce à la viande, des champignons et des dés de jambon.



Les vraies quenelles. La bonne, la belle, la vraie. Pas celle de ces petits branleurs qui se veulent "hors-système", et qui sont connement racistes. 

C'est bon les quenelles. C'est assez abject que des connards l'aient pris comme symbole de leur haine. 
Il faudra toujours s'indigner et s'élever contre cette manipulation et ce détournement de la quenelle. 

Mais sinon c'était sympa ce soir. Madame a divinement cuisiné ce soir... (comme bien souvent)




mardi 16 décembre 2014

Gourmandises d'Amsterdam

Chocolat chaud dans un café à côté du musée de Rembrandt 

Avant le soir une biere, pas loin de l'hôtel

J'aurais le temps de suivre les débats sur l'immigration en France un peu plus tard...

dimanche 23 novembre 2014

Aligot du dimanche soir

Falconette a trouvé de la tome à aligot au supermarché local. Elle a tenté l'aligot, et elle l'a plutôt réussi.

Avec des dios de Savoie. C'est plus trop le massif central, mais ça va très bien avec. Et unis pour accompagner, le primeur de mon ami de Castel Oualou qui a gagné le prix du meilleur primeur côté Gard. C'est mérité.
Moment de calme avant une semaine qui risque d'être très difficile...

mardi 19 août 2014

Manger des oreilles d'âne

C'est délicieux les oreilles d'âne ! J'aurais pu en parler sur ma table, mais je préfère leur rendre hommage ici. 
Pour ceux qui n'ont jamais essayé, je conseille vraiment. Difficile à cuisiner (enfin j'ai l'impression), mais délicieux à manger. Les traiteurs du Champsaur sont des orfèvres en la matière...
Les oreilles d'ânes, c'est apparemment un plat typique des Alpes que je mange chaque fois que je monte à Orcières-Merlette au dessus de Gap. Les gens là bas me disent même que c'est typique du Champsaur, ce contrefort sud des Écrins dans lequel j'aime passer mes vacances.

Une sorte de pâte à quenelle (la bonne, pas celle des antisémites racistes qui se prétendent "anti-système"), de la sauce béchamel, des épinards, et voilà la base. Le reste, c'est à servir chaud. Avec de la salade j'aime bien. Et un vin rouge pas fort style gamay (beaujolais), ça passe impeccable. 

Par contre, c'est bébé Faucon qui a bien pleuré quand j'y ai dit qu'on était en train de manger les oreilles de Trotro. 
Bon, c'était pour rire, mais je devrais mieux arrêter ces blagues "traumatisantes" me dirait un pédopsychiatre.

C'est quand même bon, les oreilles d'âne.

dimanche 10 août 2014

Tourtons & jambon cru

Joie d'être arrivés dans les Alpes . Avant d'aller marcher demain, un repas riche et gourmand.
Avec un Cairanne rouge 2010. C'est bon

samedi 9 août 2014

Allumer le feu !

Je parle de la Ligue 1, qui a repris hier soir. Je parle aussi de ce barbecue qui chauffe, qui chauffe...
Au début, cela commence timidement. Des aiguilles de pins, des pignes de pins (appelées aussi "babets"). Un peu de bois, un peu de journal. Une allumette, et groumph... Ça part.

Ça part très vite. Et à un moment, c'est un brasier... C'est chaud, mais je trouve ça beau...
Enfin, quand le feu se calme, on remet les grilles pour les faire chauffer. On peut rajouter du charbon. Mais pas forcément toujours la peine : pour des saucisses ou merguez, la braise produite est largement suivante...

C'est sympa de faire un barbecue. Ça sent les vacances... Et ça rajoute dans l'assiette ces odeurs de pins que je rencontre dans mes marches et promenades...





samedi 14 juin 2014

Manger Tex-Mex devant la Colombie

Finalement nous avons mangé des enchiladas (ou fajitas je sais pas Falconette a jeté la boîte). Devant un chouette Colombie Grèce qui sent bon la coupe du monde.
Sinon oui y a des pieds de bébé sur la photo. Oui aussi Ribery est une personne pitoyable qui se rapproche d'Evra et d'Anelka sur ceux qui ont sali au maillot de l'équipe de France. 

Oui aussi les syndiçats cheminots, la cgt et Sud, sont honteux et sont néfastes. 

Oui enfin ce billet n'est pas publié sur la Table du Faucon, que je vous invite à visiter car on y mange bien finalement chez moi.

Vive la coupe du monde sinon.