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dimanche 10 novembre 2019

Dimanche de Janvier vs Dimanche de Novembre

Je relisais un billet que j'ai écrit le 29 Juin 2015 où je me posais la question de savoir qu'est ce qui était le plus grave : l'islamophobie ou l'islamisme qui a tué de nombreuses personnes ces dernières années ? Et ébranlé plus que symboliquement la République.
J'écrivais ces mots.
Beaucoup de choses ont été écrite sur la déclaration (que je trouve abjecte) du CCIF. Le collectif contre l’islamophobie en France. Pour lui, le véritable danger n’est pas le djihadisme mais l’islamophobie. On ne délire pas… Des gens le pensent vraiment. Des gens pensaient que les journalistes et caricaturistes de Charlie Hebdo assassinés « l’avaient bien cherché »…
Certains, en France, pensent qu’il est moins grave de couper une tête ou de noyer des gens dans une cage que d’exprimer des réserves sur l’Islam, et de s’inquiéter de la montée des extrémistes chez eux.
Certains pensent qu’il est plus grave de trouver déplorable que certains footballeurs musulmans refusent de porter le maillot « je suis Charlie » que de tuer des journalistes parce qu’ils ont caricaturé leur prophète.
Certains pensent qu’il est plus scandaleux de trouver choquant de vouloir transformer des églises en mosquée et ainsi bafouer 2000 ans d’histoire que de lancer des appels à la violence et à la haine de celui qui ne croient pas en leur dieu et leur prophète.
Comme le dit Jack Dion dans un tweet, quand on dit que l’islamophobie est pire que le djihadisme et ces saloperies qui sont faite au nom de l’islam, faire pire sera difficile.
Le libellé "islamisme" aura vu pondre de nombreux billets. J'ai toujours écrit la peur que m'inspirait cette lame de fond qui s'empare de la République et la provoque, jusqu'à la menacer. Et à lui faire du mal.

L'immense Johnny Hallyday avait chanté "un dimanche de janvier". La chanson est belle. Le souvenir est grand.


Ce dimanche de Novembre est une honte pour ceux qui l'ont organisé. Mais la majorité veulent détruire la république. Et d'autres, politiquement, espèrent prendre le pouvoir grâce aux voix de ceux qui ont tué des gendarmes, des jeunes en concert, et des dessinateurs de Charlie Hebdo.

Pour une fois j’emploierai volontiers le terme de "résistance". Car nous avons des collaborateurs à l'intérieur.

Le 13 Novembre est dans 3 jours. La provocation est insoutenable...

mardi 7 août 2018

La République protège des discriminations. Pas l'Islam

C'est avec stupéfaction que j'ai entendu parler ce matin de la nouvelle provocation d'une frange radicale de l'islam. Une tribune portée par un collectif de musulmanes pour lutter contre la laïcité républicaine et une soit disante-discrimination dont elles seraient victimes est une polémique du moment.

Comme l'indique Marianne, "Sous couvert de lutte contre la discrimination et pour "l'égalité des genres", un manifeste publié dans le journal "La Libre Belgique" accuse la neutralité religieuse d'être un faux nez pour discriminer les femmes musulmanes. La tribune est notamment signée par la militante Rokhaya Diallo et la directrice du CCIF."


S'en suit un texte délirant. Et quelque part abject. Qui met toutes les femmes musulmanes dans un même sac, et accuse la république et la laïcité d'être islamophobe. "Islamophobie", le terme est lancée. Il me rappelle certaines déclarations hallucinantes. Le CCIF notamment, qui en 2015 suite à l'assassinat d'un homme par un musulman radical, déclarait très sincèrement : "le véritable danger n'est pas le djihasisme mais l'islamophobie". 


Prenons le risque d'être islamophobe en étant fermement républicain. La république protège contre les discriminations, et permet à chacun de croire ou de ne pas croire. La laïcité protège les croyants et les non croyants. La séparation de la sphère civile et de la sphère religieuse était un progrès, que des fanatiques de l'islam veulent détruire. 
A chaque fois ils tentent de faire plier notre modèle république. Avec la collaboration politique sournoise de ces partis qui veulent capter l'électorat musulman en le draguant et en niant les problèmes d'une radicalisation de plus en plus forte. 

La république protège des discriminations. L'islam non. l'islam discrimine. Y compris et surtout ces femmes qui parlent de liberté et de résistance contre une laïcité coupable, et des lois de la république qui malheureusement ne sont pas appliquées (celles contre le voile intégral : rappel de ces maires qui avaient pour consigne de ne pas appliquer l'interdiction, pour éviter des débordements suites à l'application de cette loi, comme en 2014 à Marseille). 

Défendons la république. Et dénonçons ces provocations de cet islam contre nos principes républicains. Préférer Marianne à la burka, être fraternel plutôt que quenelle, être Charlie plutôt que Rokhaya Diallo, être républicain plutôt que complice de ceux qui veulent faire mal à notre République.



dimanche 5 novembre 2017

On menace toujours Charlie Hebdo, dans l'indifférence...

C'est avec effarement que j'ai lu, cette semaine, ci et là, dans une indifférence générale, que des islamistes radicaux ont menacé Didier Deschamps de mort pour mettre dehors Benzema (qui représente des choses horribles). Et que Charlie Hebdo est à nouveau menacé de mort pour sa une caustique sur le probablement humainement remarquable Tariq Ramadan.

Mais personne de dit rien.

Je comprends que l'exigence et l'importance est de lutter contre des croix chrétiennes qui ont été construit après les lois de 1905. Et que c'est de loin le plus important.

Par contre, après les "je suis Charlie", les marches extraordinaires pour la liberté d'expression et contre non pas l'islamisme (pas d'amalgame) mais contre l'intolérance, on ne dise rien cette fois.

Le billet de l'ancienne élue socialiste Céline Pina est magnifique. Je le recopie tel quel.
Imagineriez-vous qu’après les massacres de Charlie en 2015, on pourrait encore en appeler au meurtre de journalistes et de caricaturistes pour des raisons politico-religieuses sur notre territoire ? 
Pourtant nous y sommes. Moins de 3 ans après les assassinats politiques du 7 janvier 2015 qui ont vu disparaître Cabu, Charb, Wolinski, Honoré… tués pour des dessins, le cycle de l’intimidation et du chantage à la mort recommence. 
Pour une « Une » plutôt potache qui épingle Tarik Ramadan, le journal est à nouveau menacé. Et une fois de plus c’est au nom du respect de l’Islam que l’injustifiable est réclamé par les partisans de Tarik Ramadan. Et cela semble passer. Pire même, sur les réseaux sociaux, menacer de mort les gens de Charlie est un titre de gloire. Et on ne se préoccupe pas assez de cette contre-société qui revendique ne pas être charlie et ne le fait pas au hasard. Ne pas être Charlie, c’est trouver normal que l’on tue des gens parce qu’ils ont « traité l’Islam », c’est trouver normal que la femme soit sous la domination de l’homme et mettre l’honneur de la famille et du clan dans la culotte des filles, c’est penser que les dogmes religieux s’imposent à la liberté des hommes de s’accorder sur les lois qu’ils se donnent. C’est déshumaniser ceux qui ne partagent pas la même confession ou les mêmes valeurs et cela donne des résultats : en Orient les communautés chrétiennes et juives ont été chassées, massacrées et le bilan est lourd : les chrétiens représentaient 15 à 20% de la population dans les années 50, ils ne sont plus que 3% aujourd’hui et c’est pire quand on se penche sur le sort de la communauté juive. 
Ce que montre cette volonté des islamistes de rejouer l’acte fondateur de l’exhibition de leur puissance qu’a été Charlie, c’est que depuis 2015, rien d’efficace n’a été fait pour délégitimer leur discours, c’est qu’ils jugent toujours l’Etat et le pouvoir faible et qu’ils ne mettent nul frein à leurs provocations. Et entre nous pourquoi le ferait-il ? Notre gouvernement et notre Président ignorent ces questions et ces problématiques et envoient des signes de faiblesse aux idéologues de l’Islam. Le déni sur la dimension totalitaire de l’idéologie islamiste est toujours aussi fort, le refus de voir le prosélytisme des frères musulmans tient toujours de l’aveuglement, l’absence de lutte contre les mosquées radicalisées qui alimentent le conditionnement idéologique des islamistes est toujours d’actualité et le CCIF, l’UOIF, Lallab est toutes les autres officines des frères musulmans sont toujours des interlocuteurs reconnus par les pouvoirs publics et n’ont aucun mal à intervenir au sein de l’école quand les mouvements laïques sont mis de côtés. Enfin la reconduction de Bianco à la tête de l’Observatoire de la laïcité, le naïveté sur la question du retour des jihadistes et le refus de discuter du fait qu’aujourd’hui des personnes qui ont pris les armes contre nous ne devraient pas bénéficier de la solidarité nationale et de nos droits politiques, montre qu’il n’y a guère de prise de conscience de leur responsabilité par ceux qui ont pourtant tout fait pour avoir un pouvoir dont ils ne semblent pas savoir que faire. 
Bref dans le contexte que nous connaissons, Apres les massacres qui ont eu lieu sur notre territoire, que la partie des islamistes qui soutient Tarik Ramadan se sente assez à l’aise pour rejouer la suite de Charlie en dit long sur leur sentiment de puissance. 
 Aujourd’hui, l’alliance des républicains permet quelques succès (la récente interdiction du colloque d’intervenants islamistes à Lyon 2 en est un) et montre qu’organisés, nous pouvons vaincre la lâcheté institutionnelle en validant que nous ignorer peut coûter plus cher que de sombrer dans le clientélisme. A défaut de pouvoir compter sur la conscience de ceux qui nous dirigent, investissons sur le sens de leur intérêt. le jour où il deviendra couteux en terme d’image et de résultat électoral de trahir sa fonction et de se faire complice de ceux qui veulent détruire nos libertés, notre égalité et notre fraternité, alors le courage reviendra en politique. Par la petite porte certes, mais du moment qu’il finit par investir la place…

Il y a des anciennes élues de gauche qui ont le courage de dire des mots forts. De rappeler que les chrétiens, ceux dont les libres penseurs coupent les croix, se font couper la tête dans des endroits où il est bons de rappeler que c'est beau la culture multiple et tout ça.

Et pendant ce temps, après avoir gémi des "plus jamais ça" et allumer des petites lampes sur les fenêtres, on accepte que cet islam là reformule des menaces de mort sur Charlie Hebdo. Et demain, on rejouera du Jonh Lennon sur la place d'un meurtre de masse.

Et pour finir le summum du summum : des débats sont là pour savoir s'il faut accueillir ces merdes personnes qui ont voulu aller faire le djihad en Syrie, parce que leur mère ou leur cousine le demande. 
On va se faire sodomiser à sec encore pendant longtemps par ces personnes qui nous intiment l'ordre de ne pas faire d'amalgame et de ne surtout pas s'indigner sous peine de faire le jeu de partis d'extrême droite.

Le courage de l'ancien premier ministre Manuel Valls est à louer. Lui qui s'est élevé contre Dieudonné, Benzema et contre cette philosophie dont le climax est Charlie et le Bataclan. Et je suis de droite, et Valls n'est pas mon camp.
Mais merde, aujourd'hui je n'entends personne...

dimanche 1 octobre 2017

Je suis Marseille, triste et en colère

La première réaction quand j'ai appris que deux femmes avaient péri sous les coups d'un fou d'un Dieu auquel je ne crois pas et dont je pense le message maléfique a été de me revoir un matin de Mai. 
Avec Falconette, nous avions offert à Bébé Faucon son premier voyage en TGV pour ses 6 ans. Avec la destination de rêve, cette ville dont il a toujours entendu parler : Marseille. Vers 9h30 nous arrivions à Saint Charles, il faisait une chaleur de fou, et bébé qui n'en n'était plus vraiment un était fou de joie.



La journée à Marseille fut belle. C'était un vendredi avant les premières finales du Top 14 de rugby. J'avais revu ma tour du Grand Pavois au Prado, dans laquelle j'ai vécu 3 jolies années de ma vie. Nous avions fait la Corniche, sommes montés nous recueillir à Notre-Dame-de-la-Garde, et avions foulé le parvis du Stade Vélodrome (qui ne sera jamais Orange dans ma bouche). 



C'était une journée fabuleuse.

Et comme nous avons en ce moment une recrudescence de petites merdes qui passent à l'acte, nous aurions pu être ces deux femmes égorgés par un fou de Dieu. Nous sommes tous des victimes potentielles de ces fanatisés élevés aux mamelles d'un islam maléfique, et nourris d'une haine pour l'Occident et la France. 


A coté de ça, j'écoutais d'une oreille distraite la député insoumise charismatique Danielle Obono ce midi. Continuant à nier le radicalisme islamiste de certains, comme d'autres nient qu'entre 39 et 45 des Hommes ont pu commettre les pires saloperies contre d'autres Hommes. Et puis je me suis dis "mais en fait c'est un troll". Les mêmes trolls qu'on a sur nos résocios à nous. Le troll qui nous fait réagir et dégoupiller en balançant un truc gros comme un cul de dinosaure.
Je me suis dit qu'en fait, elle est là juste pour que cette gauche de la gauche puisse pleurer contre ces forcément racistes et fascistes qui la critiquent, et de fait critiquent cette France Insoumise et leur Ducé Mélenchon. Je me suis dit qu'en fait elle est un piège redoutable, et que cette secte est franchement à féliciter, car ils arrivent à victimiser l'abject. 

Et puis après je me dis que non. Sans doute Mélenchon a dépassé son modèle Le Pen et mis son détail au niveau d'un simple détail. Mais quand même...
Aujourd'hui, nous avons une vingtaines de députés qui nient le radicalisme. Ils ne le minimisent pas, non. Ils le nient. Et ils font partis d'une gauche de la gauche complaisante vis à vis de ces gens qui sont forcément des victimes de cette France blanche, mâle, et aux diaboliques racines chrétiennes. Électoralement, cela permet de gagner des circonscriptions et des postes dans certains endroits. Mais c'est abject.

La semaine passé, le guide des insoumis a mis Juppé et nazi dans une même phrase. Donc si j'avais aussi peu de scrupule, je n'aurais aucune honte de mettre Pétain et France Insoumise sur une même ligne. Et de dire que le mot affreux de "collaboration" irait assez bien à coté de "France Insoumise". Je tomberai sans doute dans les pièges de ces trolls qui veulent faire dégoupiller les républicains. Sauf qu'il y a eu Marseille cette aprés-midi, et j'en ai marre d'allumer des bougies et de changer le fond de ma photo de profil à chaque saloperie de ces musulmans radicalisés qui sont choyés par une certaine frange de la classe politique.

Pour autant, Mélenchon, bien que "député de Marseille" (mdr), n'est pour rien. Lui et sa secte représentent pour moi le principal danger de notre République, mais ce n'est pas lui qui est aux affaires.
Nous verrons si notre exécutif est un peu plus couillu que le précédent. Je l'espère. 

Je suis Marseille. C'est une ville dont je suis proche, et je suis meurtri et en colère ce soir. Triste et en colère...

(billet avec des photos du Marseille que j'aime...)


mardi 23 mai 2017

Salopards

Évidemment que je suis Manchester. À fond. Douloureusement.

Les islamistes attaquent maintenant des enfants. C'est le public de ce concert. Après avoir tué des caricaturistes, des chretiens, des prêtres, des familles, des policiers, c'est maintenant les enfants qui sont pris pour cible par ces fous de l'Islam.
Je suis choqué, en tant que père, en tant que républicain. En tant aussi et merde si ça choque en tant que chretien. Dans mon dernier billet je parlais de cette messe en Provençal. Le prêtre a fait 10 minutes sur l'amour, sur la fidélité, sur le respect, sur la main tendue vers l'autre. C'est ça que prône cet islam qui tue des gosses. 

Des salopards, des merdes. Je suis Manchester, mais je suis surtout en colère qu'on doive toujours pleurer. En refusant de dire que les ennemis de l'humanité sont des islamistes. Pas des terroristes, des islamistes.

Et oui je prendrai du padamalgam ce soir, promis.

jeudi 26 janvier 2017

La classe à la française... (rions avec Jawad)

Aujourd'hui s'est ouvert le procès de Jawad. Ce dernier a commencé de manière brillante...


Du grand, du beau, du fort. Humilité, grande classe internationale.

L'occasion de se souvenir. Pas uniquement du drame du terrorisme islamique (le deuxième mot est important), et de la complaisance coupable d'une partie du spectre politique. Mais aussi l'occasion de sourire avec Jawad, et les détournements qui nous ont bien amusé.
L'occasion chez moi de plusieurs billets, qui me font toujours sourire. Même si c'était dramatique. Mais rire, c'est bien, et important...



J'avais bien aimé cette soirée chez Jawad...
Après que la justice se fasse. J'espère qu'elle sera impitoyable avec ce type de personnage. Malheureusement soutenu par encore trop de personnes...

lundi 6 avril 2015

On en fait des saloperies au nom de l'islam...

Un pays, le Kenya, a été meurtri dans sa chair : 148 personnes, dont 142 étudiants, ont été assassinées en quelques heures par un commando djihadiste, jeudi, à Garissa, dans la province nord-est du pays. Comment blesser davantage le Kenya dans ses fibres les plus profondes, comment le toucher plus au cœur qu’en s’en prenant à ses enfants ?
L’université de Garissa a été visée pour ces raisons. Tout a été conçu pour susciter, dans un second temps, l’effroi, la peine et la colère : des étudiants surpris dans leur sommeil, chassés impitoyablement, triés en fonction de leur religion avant d’être abattus (les chrétiens) ou épargnés (les musulmans ou ceux en mesure de réciter une sourate du Coran), le tout assorti de propos provocateurs dont les assaillants se doutaient bien qu’ils seraient rapportés par les survivants, souhaitant notamment aux étudiants « de bonnes vacances de Pâques », comme le transmet l’Agence France-Presse, avant de décider qui achever, qui laisser vivre.
L'article du Monde montre l'inhumanité de ces gens. Sont ils encore humain ? C'est vraiment un Dieu qu'ils prétendent servir et défendre ?
Difficile d'avoir foi en l'être humain quand certains "trient" en fonction de la religion, pour décider de qui peut vivre ou non. "Bonnes vacances de Pâques"... C'est abject.

Ce génocide chrétien perpétré par des islamistes est effrayant. Hier, des chrétiens étaient égorgés sur des plages de l'autre coté de la Méditerranée, par des connards qui pointaient le doigt en direction de Rome. Aujourd'hui, des enfants, des étudiants. 
Et pendant ce temps, chez nous, on se bat pour savoir si on peut mettre une affiche avec marqué "chrétien" dans les couloirs du métro à Paris... Ça doit bien faire rire ces salopards qui massacrent opposants et chrétiens au nom de leur Islam, nos délires...

Inquiet pour la suite. Écœuré aussi.