Je voulais écrire ce soir sur Nicolas Hulot, sur mon nouveau boulot, sur tout le mal que je pense de Ségolène Royal et sur mes toujours confirmées réticences vis à vis de Nicolas Sarkozy. Je voulais faire un hommage, modeste, à Robert Louis Dreyfus, qui quittera l'OM avec une modeste coupe à toto en poche. Et j'y arrive pas...
Qu'on s'y entende bien : je suis heureux. J'ai tout pour être heureux. Même si mon amie m'empeche de manger du fromage à la fin de repas, c'est pour mon bien et elle est adorable. Même si mes propriétaires actuels sont abjects et malhonnetes et l'agence immobiliere qui s'occupe de mon contrat de location est incompétente, je m'en fous et je sais que j'arriverai à les briser s'ils continuent de me les briser. Mon boulot se passe bien. J'ai quelques amis. Et l'avenir est pas si vilain que ça.
Pourtant, y a comme un soucis. Je sais pas lequel, je sais pas pourquoi, mais quand j'arêtte un peu de penser à "tout ce bonheur", j'ai une boule qui gonfle. J'en ai parlé à la maison, ne cachons rien... Pourquoi ? Je sais pas... Non, ce n'est pas des souvenirs toujours brulants d'il y a 4 ans et demi maintenant et des blogs qui se défont qui me fait ça, c'est une goutte d'eau. Ce n'est pas non plus des grossesses qui montrent à quel point on vieillit qui martelent dans l'estomac. Des regrets ? Lesquels ? J'ai l'impression que je suis en passe de tout réussir, et le plus important : ma vie. Alors quoi, bordel de merde ?
Ben je sais pas. J'ai mis une photo de Fourvière (Lyon) en post. Elle est belle, prise en Janvier 2003. Je la trouve réussie : une des premieres prises avec mon premier appareil à photo numérique. Et comme cet aprésmidi je pensais fort à Lyon, à mes 5 ans de 95 à 2000 passés là bas (y a 11 ans, je me préparais à partir au ski, cf mon cahier de l'époque). Je pensais à l'ECAM. A ces gens que j'ai rencontré là bas. A ces moments de solitudes dans les rues de cette merveilleuse ville. Et à ce que je suis devenu. Je pars vers le futur et je soupire le passé.
Ouais, je suis un crétin. Donc j'arêtte là mon mot. Demain je parlerai non pas du volume d'air que j'ai pu expirer en solitude devant un PC du boulot, ou devant ce dernier. Peut être, je l'espere, de la victoire marseillaise face à Lyon. Et de cet avenir, le mien en tous cas, que je sais heureux (celui de la France j'ai comme un doute). Et puis on mettra en avant une photo du Ventoux , ca le fait toujours bien...
Qu'on s'y entende bien : je suis heureux. J'ai tout pour être heureux. Même si mon amie m'empeche de manger du fromage à la fin de repas, c'est pour mon bien et elle est adorable. Même si mes propriétaires actuels sont abjects et malhonnetes et l'agence immobiliere qui s'occupe de mon contrat de location est incompétente, je m'en fous et je sais que j'arriverai à les briser s'ils continuent de me les briser. Mon boulot se passe bien. J'ai quelques amis. Et l'avenir est pas si vilain que ça.
Pourtant, y a comme un soucis. Je sais pas lequel, je sais pas pourquoi, mais quand j'arêtte un peu de penser à "tout ce bonheur", j'ai une boule qui gonfle. J'en ai parlé à la maison, ne cachons rien... Pourquoi ? Je sais pas... Non, ce n'est pas des souvenirs toujours brulants d'il y a 4 ans et demi maintenant et des blogs qui se défont qui me fait ça, c'est une goutte d'eau. Ce n'est pas non plus des grossesses qui montrent à quel point on vieillit qui martelent dans l'estomac. Des regrets ? Lesquels ? J'ai l'impression que je suis en passe de tout réussir, et le plus important : ma vie. Alors quoi, bordel de merde ?
Ben je sais pas. J'ai mis une photo de Fourvière (Lyon) en post. Elle est belle, prise en Janvier 2003. Je la trouve réussie : une des premieres prises avec mon premier appareil à photo numérique. Et comme cet aprésmidi je pensais fort à Lyon, à mes 5 ans de 95 à 2000 passés là bas (y a 11 ans, je me préparais à partir au ski, cf mon cahier de l'époque). Je pensais à l'ECAM. A ces gens que j'ai rencontré là bas. A ces moments de solitudes dans les rues de cette merveilleuse ville. Et à ce que je suis devenu. Je pars vers le futur et je soupire le passé.
Ouais, je suis un crétin. Donc j'arêtte là mon mot. Demain je parlerai non pas du volume d'air que j'ai pu expirer en solitude devant un PC du boulot, ou devant ce dernier. Peut être, je l'espere, de la victoire marseillaise face à Lyon. Et de cet avenir, le mien en tous cas, que je sais heureux (celui de la France j'ai comme un doute). Et puis on mettra en avant une photo du Ventoux , ca le fait toujours bien...