J’aurais pu mettre un coucher de soleil. Je met un verre de whisky chez les beaux parents. Ce soir je suis au Ballantines.
J’ai eu deux jours de congrès syndical et de relations professionnelles. Une réalité : les relations humaines et l’affection, la bienveillance, ont disparu.
A titre personnel je tiens le coup mais je vois combien nous sommes inégaux. Autour de moi le nombre de séparations, de burn out, de maladie, c’est fou.
Et je n’écris pas un billet tranquille.
Je vais bien, les enfants aussi. Madame aussi. J’ai pleins de choses à dire mais bon… je n’arrive plus à écrire. Sur le moment.