Je fais un titre de blog qui rime. La douleur dorsale me délie les mains. C'est bien...
J'ai trop marché pendant mes vacances. Je viens de me bloquer le dos, encore une fois... Enfin, "bloquer"... Je ne sais pas. Hier matin, en allant courir, j'ai vu que je ne pouvais pas faire trois pas. Mal au bas du dos, mal au cul, mal aux abdos aussi (j'en ai visiblement...)
Et le soir, Falconette a vu qu'un coté du dos avait doublé de volume. Donc fête des anti-inflammatoires. Myolastan hier soir (j'ai dormi comme un bébé). Triple cortisone ce matin (j'ai pas fait de siestes). Et ce soir, très mal au ventre. Et toujours mal au dos. Génial...
Il y a trois jours, Falconette a fait de la confiture de mirabelle. Cadeau de cueillette d'un de mes proches ami du boulot. Quoique ami est un mot faible pour parler d'un papa spirituel professionnel, qui m'a recruté et continue de m'apprendre tous les jours, et me permettre de progresser.
Donc cet ami nous a amené des mirabelles. Falconette en a fait de la confiture. Elle en a renversé sur la main gauche : cela s'est fini aux urgences.
Donc résumé de deux semaines de vacances : j'ai le dos en vrac, et j'ai très mal. Falconette a la main gauche bandée. Et nous aimerions repartir quelques jours dans les Alpes. Car nous étions épuisés, et gros besoin de repos.
Épuisés, nous le sommes toujours. Mais avec des stigmates supplémentaires. C'est dur cette année...
A part ça, Merlette est une merveilleuse station. Les photos de ce billet ont été prises pendant une marche au dessus de la station. Ca fait du bien de faire des marches en altitude, et de faire des montées. Ca tire sur les jambes et les cuisses, ça fait du bien au coeur.
Mais le résultat est, peut être, que aujourd'hui, je n'ai pas pu marcher. Juste aller un peu dans mon transat de jardin finir un Michael Connelly particulier... (Wonderland Avenue... Je vais vite attaquer la suite de Bosch, parce que la fin du livre... Dur, ce livre).
Sinon, je n'aurais pas écrit de billet cette semaine. Et je ne serais pas non plus allé chez les copains. Tant pis...