Décidément, le film DSK continue, avec toutes les heures son rebondissement… J’ai passé le weekend loin du net, mais chaque fois que je passais le nez, on voyait tomber de nouvelles « révélations ».
Une question quand même. Les évènements du SOFITEL datent de mi-Mai. Les chaines infos, les journaux, les magazines, nous ont abreuvé de pages et d’images sur « l’affaire DSK ». Des portraits en veux tu en voilà sur Strauss-Kahn, sur sa femme, sur ses avocats, sur le procureur, sur la justice américaine, etc, etc… Et finalement, 6 semaines plus tard, on apprend que la victime, la plaignante, n’était pas tout à fait ce modèle qui avait été annoncé.
Outre le fait que cela risque de mettre tout le procès par terre, je me dis que la presse est passée à coté d’une baleine qui était cachée sous un galet là… Etait ce par pudeur ? Par respect ? Pour ce coté « politiquement correct » qui veut que femme, noire et employée d’hôtel, ça ne peut pas mentir et ça ne nécessite pas d’enquête sur elle, juste du respect de sa douleur et du soutien ? Mais force est de constater que l’on a, durant 6 semaines, rien su sur cette personne…
Je me dis que le dimanche matin où « DSK était inculpé », titre en rouge sur nos chaines d’information, l’émoi aurait peut être pu être différent si nous avions eu également le profil de la victime. Bien que s’il y a eu véritablement viol dans cette chambre d’hôtel, le fait que la plaignante soit un peu menteuse, et pour tout à fait cette icône mise en avant, ben viol quand même… « S’il y a eu », avec un « si » devant, un conditionnel qui devient de plus en plus nécessaire.
Après, y a ce nouveau truc qui ressort : le « complot ». On essaie de ne pas rire... Quand le Ridicule avec un grand « R » arrive au grand galop sur le devant de la scène, parce qu’il s’était fait passer devant par l’indécence, le sordide et le pitoyable, et qu’il était jaloux…
Le complot… un député socialiste, extraordinairement malin, dénonce maintenant la direction d’Accor. Une député proche de DSK parle même « d’attentat politique » à son encontre… En fait ridicule, non… On passe au grotesque.
Un complot, oui, bien sur. On ne demandera pas à ceux qui pensent qu’il y a un complot à tous les coins de rue qui est l’instigateur de ce complot… Restons-en au grotesque, c’est suffisant.
Le film DSK continue. Les primaires socialistes vont être délicieuses à regarder. Maintenant, je ne sais pas quelle sera la teneur des prochains épisodes. Mais si les deuxièmes rôles français qui veulent un peu de célébrité en allant hurler au « complot » d’on ne sais pas qui veulent bien laisser la place, ça ne gâchera pas la suite du feuilleton…
(et attendons la prochaine révélation : un journaliste ira peut être découvrir que Strauss-Kahn était de gauche… et ça ça changerait tout monsieur !)
Une question quand même. Les évènements du SOFITEL datent de mi-Mai. Les chaines infos, les journaux, les magazines, nous ont abreuvé de pages et d’images sur « l’affaire DSK ». Des portraits en veux tu en voilà sur Strauss-Kahn, sur sa femme, sur ses avocats, sur le procureur, sur la justice américaine, etc, etc… Et finalement, 6 semaines plus tard, on apprend que la victime, la plaignante, n’était pas tout à fait ce modèle qui avait été annoncé.
Outre le fait que cela risque de mettre tout le procès par terre, je me dis que la presse est passée à coté d’une baleine qui était cachée sous un galet là… Etait ce par pudeur ? Par respect ? Pour ce coté « politiquement correct » qui veut que femme, noire et employée d’hôtel, ça ne peut pas mentir et ça ne nécessite pas d’enquête sur elle, juste du respect de sa douleur et du soutien ? Mais force est de constater que l’on a, durant 6 semaines, rien su sur cette personne…
Je me dis que le dimanche matin où « DSK était inculpé », titre en rouge sur nos chaines d’information, l’émoi aurait peut être pu être différent si nous avions eu également le profil de la victime. Bien que s’il y a eu véritablement viol dans cette chambre d’hôtel, le fait que la plaignante soit un peu menteuse, et pour tout à fait cette icône mise en avant, ben viol quand même… « S’il y a eu », avec un « si » devant, un conditionnel qui devient de plus en plus nécessaire.
Après, y a ce nouveau truc qui ressort : le « complot ». On essaie de ne pas rire... Quand le Ridicule avec un grand « R » arrive au grand galop sur le devant de la scène, parce qu’il s’était fait passer devant par l’indécence, le sordide et le pitoyable, et qu’il était jaloux…
Le complot… un député socialiste, extraordinairement malin, dénonce maintenant la direction d’Accor. Une député proche de DSK parle même « d’attentat politique » à son encontre… En fait ridicule, non… On passe au grotesque.
Un complot, oui, bien sur. On ne demandera pas à ceux qui pensent qu’il y a un complot à tous les coins de rue qui est l’instigateur de ce complot… Restons-en au grotesque, c’est suffisant.
Le film DSK continue. Les primaires socialistes vont être délicieuses à regarder. Maintenant, je ne sais pas quelle sera la teneur des prochains épisodes. Mais si les deuxièmes rôles français qui veulent un peu de célébrité en allant hurler au « complot » d’on ne sais pas qui veulent bien laisser la place, ça ne gâchera pas la suite du feuilleton…
(et attendons la prochaine révélation : un journaliste ira peut être découvrir que Strauss-Kahn était de gauche… et ça ça changerait tout monsieur !)