Au début, il y avait le Thomson MO5. Et cette cassette dont j’étais friand : Green Berets. C’était coloré, mais pas trop, pas de risque de prendre mal aux yeux. C’était animé magnifiquement à l’époque, et la musique, ou plutôt le crachat métallique qui sortait de la télé, donnait à ce jeu de guerre un coté incroyable…
Bon, il fallait mériter la partie. Un jeu sur K7, c’est long à charger, c’est très long…
Nous sommes un béret vert, comme le nom du jeu ne l’indique peut être pas. Milieu des années 80, guerre froide. Juste un couteau au début. Et un scrolling horizontal. Avec quand même deux plans, le rez de chaussé et ce premier étage que l’on rejoint par des échelles. Et il faut avancer dans le camp ennemi sans se faire pé-cho. Sinon on perd, on reprend depuis le début…
Et puis est arrivée la télévision couleur… Ou plutôt l’Amstrad CPC. Et on a ça !
D’ailleurs, Konami est aussi aujourd’hui éditeur de dessin animé japonais. Notamment le brillant Tengen Toppa Gurren Lagan (Homer, c’est très bon ça !).
Finalement sur Green Berets, je n’ai pas tant que ça à dire… Je garde un immense souvenir de ce jeu grâce au fait qu’il ait été, au départ, sur MO5. Le passage à la couleur a sublimé ce qui fut un de mes premiers jeux sur Amstrad (mais c’est normal, j’avais acheté la compilation Konami…).
Je garde quand même un souvenir d’un jeu linéaire, très linéaire. Ce scrolling de gauche à droite. Un saut pour éviter les coups de fusil. Une arme à ramasser, un chien à éviter. Puis un laisse les sortes d’échafaudages laids pour longer des silos à missiles, des entrepôts ou des camions porte-rockets. Les boss de fin de niveau bien sur. Les montagnes russes au loin, ça on ne l’avait pas sur Thomson…
Et quand on perdait, il fallait tout reprendre depuis le début. Balop…
Green Berets, c’est l’époque où les jeux n’avaient pas de sauvegarde… On finissait le jeu en une heure, où on ne le finissait jamais… Green Berets, c’était l’époque où j’avais 10 ans. Rien que pour ça, c’est bien de se souvenir, le mercredi…
Bon, il fallait mériter la partie. Un jeu sur K7, c’est long à charger, c’est très long…
Nous sommes un béret vert, comme le nom du jeu ne l’indique peut être pas. Milieu des années 80, guerre froide. Juste un couteau au début. Et un scrolling horizontal. Avec quand même deux plans, le rez de chaussé et ce premier étage que l’on rejoint par des échelles. Et il faut avancer dans le camp ennemi sans se faire pé-cho. Sinon on perd, on reprend depuis le début…
Et puis est arrivée la télévision couleur… Ou plutôt l’Amstrad CPC. Et on a ça !
Tout commence par cette sonnerie, ou ce clairon on ne sait pas trop, qui réveille la caserne. Et là, une claque. Des couleurs chatoyantes de partout… Oui, c’est peut être la guerre, mais ça chatoye à donf…
D’abord, un premier truc, le nom de l’éditeur : KONAMI. Pour les enfants du CPC, Konami, c’est comme Ubi Soft ou Océan. Et aujourd’hui, Konami continue à nous faire rêver avec la série des PES et Metal Gear Solid. Et bien voyez vous, Konami était déjà là en 1986 pour nous faire rêver avec Green Berets, Nemesis, Jackal, et ce génial Yie Ar Kung Fu dont il faudra que je parle, tellement il était terrible ce jeu !D’ailleurs, Konami est aussi aujourd’hui éditeur de dessin animé japonais. Notamment le brillant Tengen Toppa Gurren Lagan (Homer, c’est très bon ça !).
Finalement sur Green Berets, je n’ai pas tant que ça à dire… Je garde un immense souvenir de ce jeu grâce au fait qu’il ait été, au départ, sur MO5. Le passage à la couleur a sublimé ce qui fut un de mes premiers jeux sur Amstrad (mais c’est normal, j’avais acheté la compilation Konami…).
Je garde quand même un souvenir d’un jeu linéaire, très linéaire. Ce scrolling de gauche à droite. Un saut pour éviter les coups de fusil. Une arme à ramasser, un chien à éviter. Puis un laisse les sortes d’échafaudages laids pour longer des silos à missiles, des entrepôts ou des camions porte-rockets. Les boss de fin de niveau bien sur. Les montagnes russes au loin, ça on ne l’avait pas sur Thomson…
Et quand on perdait, il fallait tout reprendre depuis le début. Balop…
Green Berets, c’est l’époque où les jeux n’avaient pas de sauvegarde… On finissait le jeu en une heure, où on ne le finissait jamais… Green Berets, c’était l’époque où j’avais 10 ans. Rien que pour ça, c’est bien de se souvenir, le mercredi…