J'ai écrit le 15 Janvier 2015 (quelques jours après les attentats de Charlie) ce billet sur cette islamo tolérance d'état : "ils ont reçu l'ordre de fermer les yeux sur le port de la burka". Des préfets qui donnent ordre aux maires de fermer les yeux sur les lois contre la burka, et sur tout ce qui pourrait heurter les musulmans.
Ce billet a presque 6 ans. Je le remet tel quel.
On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. Et qu'on ne dise que l'ennemi est à nos portes...
Après la très pertinente interview du socialiste Malek
Boutih, très instructif de lire l’interview
du sénateur ex-PS Philippe Esnol. L’ancien maire de
Conflans-Sainte-Honorine le dit clairement : « on a reçu l’ordre de
fermer les yeux sur le port de la burka ».
Son témoignage est terrifiant : « Il y a huit
mois, alors que j'étais encore maire de Conflans-Sainte-Honorine, j'ai reçu la visite du procureur de la République qui
m'a confié que des ordres avaient été donnés pour qu'on ferme les yeux sur le
port de la burka afin de ne pas reproduire les émeutes qui, à la suite d'un
contrôle de police, avaient mis le feu à Trappes à l'été 2013 ».
Je pourrais témoigner auprès de Philippe Esnol en disant qu’il
n’y a pas qu’à Conflans-Sainte-Honorine que des « ordres » ont été
donnée pour fermer les yeux devant une pratique hors-la-loi de l’islam, et pour
ne pas faire appliquer la justice auprès de certains communautés…
La technique de la terreur installée par les délinquants et
les musulmans radicaux est donc une réussite. Ils avaient déjà gagné, la
République avait déjà plié.
J’avais relayé sur mon blog cette histoire de délinquance à
Marseille. Mon billet s’appelait « mettre
un voile intégral sur ces histoires de délinquance ». Je relaie
simplement la dépèche de BFMTV, qui relayait ce contrôle d’identité d’une dame
en voile intégral à Marseille qui avait mal tourné. Et la volonté du parquet de
mettre un mouchoir (ou un voile) sur cette affaire, laissant les violences sur
les forces de l’ordre impunies.
Dans la nuit de mardi à mercredi (22 au 23/07) à Marseille, trois policiers ont été tabassés après un contrôle d’identité qui a mal tourné. Vers 00h45 à proximité de la mosquée Es-Sunna, trois agents de police se sont approchés d’une jeune femme de 18 ans qui portait un voile intégral, le niqab. Conformément à la loi de 2010 sur le voile intégral, des policiers ont décidé de faire un contrôle d'identité. Mais cette dernière a refusé de se soumettre à l’autorité policière.
« Je n'obéis pas aux lois de la République », a-t-elle expliqué. Elle s'est alors mise à crier et a dénoncé une agression de la police. Elle a même donné des coups de poing au visage d'un policier. C'est là que le compagnon de la jeune femme s'est interposé, de manière à empêcher définitivement le contrôle d'identité. L'homme a ensuite appelé à la rescousse. Une cinquantaine de personnes ont rejoint la bagarre et roué de coups les policiers de la tête aux pieds. L'arrivée de renforts a permis l'interpellation de quatre personnes dont la femme voilée. Mais tous ont été remis en liberté dans la nuit par le parquet de Marseille dans un souci d'apaisement en période de ramadan.
J’avais conclu mon billet par un laconique « Je
suis écœuré. Aussi parce que j'ai l'impression vraiment que tout ça ne peut que
très très mal finir... ». Faut-il rajouter quelque chose… ?
Il est très sain que des personnalités politiques témoignent
de l’impunité dont ont longtemps bénéficié certaines personnes. Il faut
rappeler les faibles
sanctions contre les délinquants de Barbes
et Sarcelle des manifestations pro-palestinienne de cet été…
L’élément de langages « padamalgam » que l’on sort
toutes les cinq minutes pour ne pas citer certains problèmes ne pourra pas
tenir bien longtemps…