Saint Tropez 4 Le musée des gendarmes
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Un musée agréable sur des souvenirs d'enfance
Il y a 18 heures
Bienvenue chez moi
"Ça m’a gâché mon plaisir. (...) Attention ! Les miens (de supporters) je ne leur donne pas le quitus. Il va y avoir du bruit. Je ne vais pas me laisser faire. Les journaux de la région vont s’en emparer et gribouiller ces supporters. Ce ne sont pas des supporters mais des grosses merdes. Il y a des braves gars parmi ceux-là, qui agitent les drapeaux et tour mais il y a quatre ou cinq cons. Ça me fait chier. Ce n’est pas l’image du club. Ça ne sera pas difficile de les choper car je soupçonne certaines personnes qui les accompagnent dans le car de ne rien dire. Et ces gens sont payés dans le bus. Alors ceux-là on va les virer"
« Je tiens beaucoup à cet amendement parce que le monde vient de vivre la plus grave crise qu’il ait connue depuis 1929, et qu’une seule réponse s’est imposée – réclamée sur tous les bancs – : la régulation. Il aura fallu attendre que des établissements financiers soient en faillite, que la croissance soit au point mort, que des pays soient au bord du gouffre, pour que le monde se réveille et accepte enfin de construire un système régulé au plan international. Faudra-t-il attendre qu’il y ait des dégâts irréparables pour que le monde se décide à réguler Internet ?Restons en là, et passons (quand même) un bon dimanche... Et vive le net !
L’absence de régulation financière a provoqué des faillites. L’absence de régulation du Net provoque chaque jour des victimes ! Combien faudra-t-il de jeunes filles violées pour que les autorités réagissent ? Combien faudra-t-il de morts suite à l’absorption de faux médicaments ? Combien faudra-t-il d’adolescents manipulés ? Combien faudra-t-il de bombes artisanales explosant aux quatre coins du monde ? Combien faudra-t-il de créateurs ruinés par le pillage de leurs œuvres ?
Il est temps, mes chers collègues, que se réunisse un G20 du Net qui décide de réguler ce mode de communication moderne envahi par toutes les mafias du monde.
La mafia s’est toujours développée là ou l’État était absent ; de même, les trafiquants d’armes, de médicaments ou d’objets volés et les proxénètes ont trouvé refuge sur Internet, et les psychopathes, les violeurs, les racistes et les voleurs y ont fait leur nid.
Lorsque ce mode de communication ne concernait que quelques milliers d’individus, ceux qui ne sont mus que par l’appât du gain en restaient éloignés. Maintenant que des millions de Français l’utilisent régulièrement, les enjeux économiques sont devenus considérables, et Internet reste l’un des lieux du monde où règne le capitalisme sauvage, le libéralisme sauvage. »
« Il nous faut réguler Internet partout dans le monde, afin que toutes les entreprises respectent le droit de propriété, que les trafiquants et les voyous en tout genre soient poursuivis, que cet espace continue à se développer dans le respect de la personne humaine et des principes démocratiques. Notre pays doit montrer la voie ».