mercredi 30 mars 2022

L'Auberge de Miemart, à Roquemaure #Gard

Je parlais lundi soir du Bleu Carotte, restaurant qui a fermé ses portes en fin d'année dernière. Roquemaure a en son sein un très bon restaurant où j'aime inviter (et pas invité merci Cyrille) les gens. L'Auberge de Miemart. Nous y avons fêté nos 40 ans. Et nos victoires électorales



La bière de la cave coopérative de Roquemaure, Roccamaura, y est servie. Très agréable. Vigneron et brasserie c'est bien. 



Nous n'étions pas seul pour boire le Tavel du Chateau Correnson


Les seiches à la plancha sont fantastiques....

Bref, un billet de bouffe. A l'heure du déjeuner. C'est très bien. 







 

lundi 28 mars 2022

Soirée pizza (souvenirs du bleu carotte)

Souvenirs de cette pizzeria Roquemauroise qui manque terriblement. La Marie blanche (thon, oignon, moutarde, creme fraiche) était merveilleuse...


Celle là était magnifique. La cocote, avec des oeufs. A manger chaud. On trempe le bord de la pizza dans le blanc de l'oeuf. Orgasmique. 


La Marie blanche... Je l'avais découverte dans un autre restaurant de Roquemaure qui était notre cantine et qui a fermé. Chez Angèle... J'avais retrouvé avec le "Bleu Carotte" une autre cantine. Un coin à nous. 



Le vin est forcément un Lirac de la cave de Roquemaure.


Un billet qui change des précédents. D'ailleurs ça me fait penser qu'il est bientôt l'heure de manger. Le changement d'heure ne doit pas nous faire changer d'habitudes.
J'aimerais bien que Falconette nous fasse une quiche au thon...

(Billet qui fera l'objet de photos dans mon Grenier du Faucon, mon autre blog bouffe et voyage)
 

dimanche 27 mars 2022

Malaises

Je ne parle pas de l'interview d'Eric Woerth dans le Point. Je me demande ce qui a été promis à cet homme, quel poste, pour un manque de classe et d'honneur. Non, des miens. Récents.

Je vous ai parlé de mon "enfer" au boulot. J'ai été arrêté cette semaine. Samedi dernier, avant d'aller tailler mes oliviers, un malaise m'a fait perdre connaissance quelques secondes. J'étais dans le gazon, je ressassais le boulot, et à un moment tout à tourner, et j'ai eu la présence de m'assoir dans l'herbe avant de m'effondrer.
C'était le matin. Ca a duré quelques secondes. J'étais en sueurs. Point positif, je n'étais pas dans l'arbre. Ni sur l'échelle. Un malaise à 5 mètres auraient eu d'autres conséquence.

Malaise vagal avec sans doute hypoglycémie. La sueur est typique de ce point. J'avais deux points de tension de moins. Le médecin de garde m'a arrêté. Là je suis en vacance et ça tombe bien.

Hier, dans la nuit de vendredi à samedi. Je me lève pour aller boire un coup. Dans le noir. Au retour dans le lit, vertiges violents. Je crois qu'il y a mon canapé pas loin. Loupé, je tombe sur mes fesses. Mes 85 kg font un joli bruit. Un bleu sur la fesse droite est apparu mais c'est hors sujet.
Falconette vient, et en allant dans la chambre, rebelote. Perte de connaissance quelques secondes. Je me réveille apparemment 5 secondes plus tard. Falconette a le téléphone à la main prête à appeler les pompiers. Il est 2 h du matin...

Je vais dans le lit mais ne dort pas. Fréquence cardiaque moyenne 90 pulsations minutes... Pas le même malaise, je suis glacé, pas bien.
Dans la journée, je me souviens que 12 ans plus tard, pendant la nuit, le maire de Roquemaure nous a quitté d'une brutale crise cardiaque. Apparemment j'en étais loin. Plus un vertige, j'ai du boire vite, un mauvais mouvement dans le noir.

Deux fois en moins d'une semaine... Les prises de sang sont bonnes (on voit que j'ai bu de bonnes choses mais ça va...). Pour autant je vais faire attention. 
Une semaine de vacances. Je n'aurais pas de stress du dimanche soir ce soir. Simplement peut être au départ du GP d'Arabie Saoudite. 

Entre temps, j'aurais écouté le meeting virtuel de Valérie Pecresse à qui je souhaite un prompt rétablissement. Et que je trouve courageuse. Ainsi que Xavier Bertrand dont je loue, à lui ainsi qu'à mon ami Julien Aubert et de quasi l'ensemble des LR, leur loyauté. 
Dommage qu'il n'y ait pas pu avoir de campagne. Deux campagnes absentes (2017 merci le canard et celle là), ça fait be
aucoup pour la France. 

mercredi 23 mars 2022

Il va y avoir une élection ?

Bizarre… en allant faire mon loto, j’ai vu des panneaux électoraux… y a une élection ?

Je viens de recevoir deux cartes de vote. Pourquoi ?

C’est bizarre…

Depuis que le canard enchaine nous a volé l’élection présidentielle de 2017, je n’étais pas au courant que nous avions une élection cette année. 

Y a la Covid, la guerre… non y a rien, circulons et continuons à être gouverné par des opportunistes. De toutes manières, Chevenement, Guigou, Rebsamen, Woerth, Raffarin, Valls, Muselier et Estrosi (les récents opportunistes ralliés) l’ont ratifiés. Il n’y a plus besoin d’élection. 
Nous avons le messie. 

Amen




dimanche 20 mars 2022

Mis sur la liste des transferts...


Presque un mois de silence. A la différence de mon ami Nicolas, ce n'est pas de la censure exogène. Simplement des douleurs internes. La mort du petit chien est encaissée. Elle continuera à faire du mal.

Depuis cet épisode, ma hiérarchie professionnelle a "intensifié ses frappes" à mon égard. Et m'a simplement dit "de me trouver un autre poste". Ou plutôt fait dire par la numéro 2 de mon syndicat. 
Je travaille dans une grande entreprise mais qui n'a aucune limite. Le principal reproche que l'on me fait ? Etre humain, et dire "aie" quand j'ai mal ou quand quelqu'un de mon équipe a mal. Mon groupe atteint ses objectifs. Mais incompatibilité d'humeur avec ma hiérarchie. 



La fin de l'année dernière, j'ai été en difficulté. Et l'humain a craqué. 
Depuis quinze jours, une machine à broyer l'humain se met en place. On contrôle mes activités, on me fait passer des messages pour que je comprenne que je suis indésirable. On ne m'avance pas. On fait dire à mon syndicat que l'on me sort de certaines catégories... Bref, je passe de déjà pas grand chose à plus rien. 
Ce n'est "que du boulot". Humainement, la manière dont les choses m'ont été annoncées depuis fin février ressemble à un supplice chinois. La grenouille dans la marmite... Depuis la fin de l'été dernier, mon coup de fatigue de la fin de l'année, j'ai l'impression d'être une grenouille dans une casserole d'eau, et on augmente, depuis l'été dernier, la température un peu toutes les semaines. Et depuis trois semaines c'est 5°C par jour. Je suis bouilli. 
Mis sous contrôle. Activités enlevées. Des rapports à faire sur ce que je fais. Mon chef qui m'a lâché du jour au lendemain... Et cette semaine, le corps qui s'est battu a dit stop.

Ce que du boulot. Je ne suis pas mis à la porte. C'est entre moi et mon égo. C'est très dur. Mercredi soir en rentrant de Saclay, sur la route qui me ramenait de la gare d'Avignon j'ai failli, à un rond point, tirer "tout droit...". La nuit je n'ai pas dormi. Falconette m'a dit "maintenant tu arrêtes". 
Vendredi soir, mon médecin a trouvé une tension deux points de moins. Je ne sais plus le terme, mais une sorte d'état de choc. A cause du boulot... 

Oui, quand le petit chien est mort, j'ai eu énormément de mal. Mais qu'est ce que ça va être si je perds quelqu'un de proche ? En ce moment, l'analyse médicale est claire : "psychologiquement nickel, mais physiquement et moralement au bout du rouleau". C'est vrai que je passe plus de temps avec le médecin du travail qu'avec mes équipes et mes collègues de travail. 

J'essais de positiver en me disant que dans l'environnement du PSG, Tuchel et Emery étaient des sous merdes. Et l'année dernière, dans l'environnement Chelsea et Villareal, ils ont été champions d'Europe. Aujourd'hui, je suis un "indésirable sur la liste des transferts". Ca arrive... Ca fait drôle quand même. 



J'ai deux semaines pour prendre soin de moi et me reconnecter sur l'essentiel. Je trouverai un autre poste quand je serai rentré. 

Cette semaine, outre des examens "de routine" (mon médecin m'a prescrit deux trois examens pour être sur), je lirai. J'ai deux revues de l'Afterfoot en retard. J'écrirai. Je profiterai de mon jardin. Quand je serai plus vaillant, je m'occuperai de mes quelques oliviers.

Je pense que c'est mon premier gros échec professionnel. J'espère que la machine se remettra en route. Pour l'instant, je suis la Redbull de Verstappen sur ce premier grand prix : arrêt net. Plus de jus... Bon, je ne sors pas d'un titre de champion du monde non plus...