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mardi 24 octobre 2017

Leçon d'humilité...

Juppé, Fillon, Jospin ou DSK pourraient disserter sur cette notion "d'élection imperdable" que j'avais moi même vécue en 2014. L'humilité est importante.

Dans le sport, c'est fondamental. Ce pénalty par exemple. Je ne sais s'il est vrai ou pas, mais il est tout un symbole.


A part ça rien.

mercredi 14 novembre 2012

Pourquoi est ce si difficile de demander des excuses ?

Ainsi, Manuel Valls regrette " d'avoir accusé hier la droite d'être responsable du "retour du terrorisme" en France". "Non, la droite n’est évidemment pas responsable du terrorisme en France". Évidemment pas… L'assemblée nationale, l’ambiance partisane, les esprits qui s’échauffent, et la phrase, conne, insultante, abaissante pour celui qui la prononce et pour ceux à qui elle est destinée, qui sort.
Manuel Valls regrette de s’être « laissé emporté par le verbe ». Mais pas question de présenter des excuses à ceux qui ont été insultés. Surtout pas…

Pas grand chose à dire sur cette polémique... J’ai été consterné quand j’ai eu l’information sur mon iPhone hier, de ces déclarations nauséabondes et haineuses d’un Manuel Valls que j’apprécie beaucoup. Personnellement aussi : j’ai eu l’occasion de discuter avec lui durant une visite qu’il a fait dans mon village durant les élections législatives, et j’ai apprécié l’homme, le républicain. J’avais l’impression d’avoir en face de moi un grand Ministre de l’Intérieur. Ça faisait longtemps qu'on en n'avait pas eu…
Il me parlait de « respect républicain ». On n’a pas le même vote, pas forcément les mêmes opinions, priorités, mais on partage bien des valeurs. Hier, le push qui m’a été envoyé par le Monde me montrait un vulgaire ersatz d’Harlem Désir, un petit apparatchik mue par une haine de tout ce qui n’est pas de son camp. Allant même jusqu’à accuser d’être responsable du retour du terrorisme, ce qui est plus que de la bêtise.

En tant que petit élu local de droite, en tant qu’homme de droite, j’étais une nouvelle fois insulté. Mais pas par le premier apparatchik du parti, non. Par mon Ministre de l’Intérieur. Les tristes parenthèses Guéant et Hortefeux passaient aux oubliettes. Ainsi que le début de mandat plutôt brillant de Manuel Valls.

Il regrette. J’entends ces regrets. C’est déjà bien, très bien car très rare quelqu’un qui dit « je regrette d’avoir fait une connerie ». Mais il ne s’excuse pas. C’est dommage.

Lui en vouloir est difficile : c’est rare les personnes qui ont le courage de présenter des excuses quand ils ont fait les buses, quand ils ont blessé des gens. Toujours un orgueil à la con qui voudrait que présenter des excuses, c’est pour les lopettes. Ce même orgueil à la con qui met en avant une fierté de pacotille : « m’excuser moi ? Surement pas ».
Ajoutons aussi que les déclarations de Valls ce matin mettent en avant qu’évidemment, s’il a merdé, c’est « à cause de la droite qui « instrumentalise » les chiffres ». Instrumentaliser les chiffres, une hérésie que l’opposition précédente n’a évidemment jamais fait…
Et puis bon… Cracher sur la droite, qui pue forcément car est de droite, est devenu un sport national de la gauche et du parti socialiste. Sur la droite on peut marcher, on peut s’essuyer, et c’est presque normal : c’est la droite. C’est « regrettable » dans doute. Mais de là à s’excuser…

Enfin… Manuel Valls ne s'excuse pas. Mais il regrette d’avoir insulté la droite. C’est déjà bien de le reconnaitre. Pour ma part, j’en resterai là, et garderai du respect pour ce ministre et pour cet homme, qui a dégoupillé hier. Ça arrive de craquer, y compris pour des ministres. Mais il a grillé un joker...

mercredi 18 janvier 2012

L'arrogance, mère de toute défaite ?

Lu chez Guy Birenbaum, cette déclaration de Pierre Moscovici, directeur de campagne de François Hollande.
Nicolas Sarkozy ne peut plus nous battre car les Français veulent un autre président.
S'il était encore vivant, Philippe Seguin aurait pu lui répondre ça (janvier 1995 : Edouard Balladur devait "être élu dès le premier tour"...) :
Le vainqueur a déjà été désigné. Proclamé. Fêté. Encensé. Adulé. Il est élu. Il n'y a pas à le choisir, il n'y a à le célébrer. Donc, ça n'est pas le peine de vous déranger...
Circulez y a rien à voir !
Aujourd'hui, nous sommes dans le même cas. Est ce la peine d'aller voter, si le vainqueur est déjà choisi et désigné ?

Je parle souvent de l'humilité, que je juge nécessaire en politique...
Et je ne sais pas si j'ai vraiment envie de voir des arrogants remplacer d'autres arrogants...

mercredi 10 août 2011

Je me considère comme un tire-bouchon

Le pire quand on écrit un billet que l'on imagine ou considère intelligent, c'est de commencer par une phrase très conne.
On se fait épingler, mais comme on n'est ni le premier ni le dernier de ses collègues, c'est bien fait. Et puis ça rappelle l'humilité, ce qui ne fait jamais de mal.

Et puis le blog est peut être tenu par un réac qui fait la haine de certains donneurs de leçon de tolérance, mais ce blog reste une bonne épuisette à conneries quand même... (quand bien même on en fasse partie, par moment...).
Et puis n'en déplaise à d'autres donneurs de leçons, je ne déteste pas (litote, cours de quatrième) le blogueur. Il me pardonnera de prendre avec le sourire, et une certaine sympathie, son coup d'épuisette.