Parmi les blogs que j'aime à fréquenter, il y a ceux qui traitent de l'animation japonaise, et de tout ce qui tourne autour. On laisse les régionales cinq minutes, pour redevenir un enfant. C'est mercredi après tout...
J'aime beaucoup le blog joliment appelé Néant Vert. Et j'ai adoré son billet consacré à un des héros de mon enfance : Sonic le Hérisson.
Je ne ferai pas la liste de tous les Sonic qui sont sortis. Le billet mis en lien est très bien. Et pour moi il n'y en a qu'un, le premier. Et encore pas sur la Mégadrive, que je n'ai jamais eu, mais sur la petite GameGear. J'avais consacré un billet un jour, à cette console portable reçu pour un anniversaire...
J'ai quand même le souvenir du Sonic qui était sorti sur la Dreamcast...
Finalement, il est marrant ce billet, car je vais vite laisser tomber Sonic pour parler de Sega. Quand j'étais jeune, XBox et Playsation n'existaient pas. Et la guerre n'était pas entre Microsoft et Sony. Mais entre Sega et Nintendo.
Pendant longtemps, j'ai cru que j'étais pro Nintendo. Parce que j'ai eu dans les mains cette Super Famicon japonaise qui m'a ouvert les portes de Street Fighter II et du vrai jeu vidéo, je croyais que j'étais Nintendo. Parce que le fan de dessins animés que j'étais avait sur cartouche Nintendo des jeux comme Dragon Ball Z et Ranma 1/2, je croyais que j'étais Nintendo. Parce Zelda fait parti de ma mythologie, je croyais que j'étais Nintendo.
Et quelles sont les consoles que j'ai eu ? Gamegear de Sony et non Gameboy de Nintendo. Et un soir où je rentrais de mon premier boulot la tête dans le vague et les larmes aux yeux, c'est une Dreamcast de Séga que j'ai acheté sur un coup de tête, pas la Nintendo 64.
Et finalement plus que Zelda, c'est Skies of Arcadia ou le spécial Shenmu que je garde en souvenir. Et plus que Mario, qui m'a toujours laissé profondément indifférent, c'est Sonic qui garde cette affection nostalgique que je garde dans mon petit cœur de pierre de gars de droite.
Je crois que j'ai eu mal à la gorge le jour où j'ai appris, sur GameOne, que Sega se retirait du marché de consoles de jeux vidéos... Oui, triste. Cette Dreamcast, je l'ai donné au petit neveux de Falconette, qu'il se fasse la main dessus sur des petites merveilles comme MSR ou Jet Set Radio. Cette Dreamcast, j'en garde une réelle tendresse.
Alors que j'ai passé mon arrêt maladie sur des jeux Playstation III immenses comme Assassin's Creed 2 ou Uncharted, je ne peux m'empêcher d'avoir cette pensée pour ces jeux de petits bonhommes qu'on savait faire à l'époque. Je prends le ton Jean-Pierre Pernault, mais c'est vrai que des Sonic ou des Mario, on n'en fait plus trop.
Aujourd'hui, ils se retrouvent sur la Wii de Nintendo dans des petites merveilles comme la série des Sonic et Mario aux Jeux Olympiques. Maintenant, Sega fait des jeux pour ses anciens concurrents.
Il n'empêche qu'il manquera toujours cette jouissance devant la rapidité de ce jeu Sonic, ces roulades pour ramasser toujours plus de pièces, à une époque où le High Score était la référence.
Je ne sais pas si c'était mieux avant, en tous cas c'était bien.J'aime beaucoup le blog joliment appelé Néant Vert. Et j'ai adoré son billet consacré à un des héros de mon enfance : Sonic le Hérisson.
Je ne ferai pas la liste de tous les Sonic qui sont sortis. Le billet mis en lien est très bien. Et pour moi il n'y en a qu'un, le premier. Et encore pas sur la Mégadrive, que je n'ai jamais eu, mais sur la petite GameGear. J'avais consacré un billet un jour, à cette console portable reçu pour un anniversaire...
J'ai quand même le souvenir du Sonic qui était sorti sur la Dreamcast...
Finalement, il est marrant ce billet, car je vais vite laisser tomber Sonic pour parler de Sega. Quand j'étais jeune, XBox et Playsation n'existaient pas. Et la guerre n'était pas entre Microsoft et Sony. Mais entre Sega et Nintendo.
Pendant longtemps, j'ai cru que j'étais pro Nintendo. Parce que j'ai eu dans les mains cette Super Famicon japonaise qui m'a ouvert les portes de Street Fighter II et du vrai jeu vidéo, je croyais que j'étais Nintendo. Parce que le fan de dessins animés que j'étais avait sur cartouche Nintendo des jeux comme Dragon Ball Z et Ranma 1/2, je croyais que j'étais Nintendo. Parce Zelda fait parti de ma mythologie, je croyais que j'étais Nintendo.
Et quelles sont les consoles que j'ai eu ? Gamegear de Sony et non Gameboy de Nintendo. Et un soir où je rentrais de mon premier boulot la tête dans le vague et les larmes aux yeux, c'est une Dreamcast de Séga que j'ai acheté sur un coup de tête, pas la Nintendo 64.
Et finalement plus que Zelda, c'est Skies of Arcadia ou le spécial Shenmu que je garde en souvenir. Et plus que Mario, qui m'a toujours laissé profondément indifférent, c'est Sonic qui garde cette affection nostalgique que je garde dans mon petit cœur de pierre de gars de droite.
Je crois que j'ai eu mal à la gorge le jour où j'ai appris, sur GameOne, que Sega se retirait du marché de consoles de jeux vidéos... Oui, triste. Cette Dreamcast, je l'ai donné au petit neveux de Falconette, qu'il se fasse la main dessus sur des petites merveilles comme MSR ou Jet Set Radio. Cette Dreamcast, j'en garde une réelle tendresse.
Alors que j'ai passé mon arrêt maladie sur des jeux Playstation III immenses comme Assassin's Creed 2 ou Uncharted, je ne peux m'empêcher d'avoir cette pensée pour ces jeux de petits bonhommes qu'on savait faire à l'époque. Je prends le ton Jean-Pierre Pernault, mais c'est vrai que des Sonic ou des Mario, on n'en fait plus trop.
Aujourd'hui, ils se retrouvent sur la Wii de Nintendo dans des petites merveilles comme la série des Sonic et Mario aux Jeux Olympiques. Maintenant, Sega fait des jeux pour ses anciens concurrents.
Il n'empêche qu'il manquera toujours cette jouissance devant la rapidité de ce jeu Sonic, ces roulades pour ramasser toujours plus de pièces, à une époque où le High Score était la référence.