Souvenirs d'un des pires épisodes du football français. L'avant Knysna. Une équipe de France avec Anelka en avant-centre (l'ami de la quenelle, quelle honte que le maillot bleu fut porté par ce type de perosnnage...) . Une certaine apogée du Racaille Football Club, avec Raymond Domench à sa tête.
Raymond Domench soutenu à fond à l'époque par le vice-président de la FFF, un certain Noël Le Graet...
Un Noël le Graet qui aurait du dégager de la tête de la FFF après cet épisode délirant de son vote pour Blatter. Surtout l'explication : "je vote pour lui car il nous a donné la coupe du monde des gonzesses...". Assumons ce copinage à grande échelle, et ce football mondial pourri. Notre football français aussi l'est, pourri...
Pourtant, Thierry Henry est un grand de notre football... Un très grand. Triste que son nom soit associé à Knysna, et à la période de l'équipe de France des Anelka, Gallas, Ribery, Evra, Abidal, puis plus tard des Nasri ou Ben Arfa. Triste. Elle était belle l'équipe de France de Deschamps, Blanc et Zidane. C'était autre chose.
Pensée à Thierry Henry. Et à cette ode de la Chanson du Dimanche, à l'époque de la main de Thierry Henry.