Affichage des articles dont le libellé est liberté d'expression. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est liberté d'expression. Afficher tous les articles

dimanche 25 janvier 2015

J'espère qu'ils ne sont pas en train de gagner...

Information qui m'a écoeuré ce matin : le musée Hergé de Louvain-le-Neuve annule une exposition consacrée à Charlie Hebdo (et pas Hergé). Trop dangereux...
Les islamistes qui ont installé une terreur par des actes anti-juifs, anti-chrétien, anti-occident, un peu partout dans le monde (et chez nous), sont en train de gagner. On recule, tous les jours un peu plus. On se censure, on se contraint. 

A coté de ça, pleins de signaux qui me semblent inquiétant. J'avais parlé en début de semaine de ces 42% de français qui pensent qu'il ne faut plus caricaturer le prophète de l'islam. Au nom de quoi ? De la peur ? Du respect ? 

Et puis la manière dont est en train d'évoluer le débat. Cette autoflagellation amorcée par certains grands esprits... 
Bien sur le padamalgam qui a été sorti alors que les douilles étaient encore chaude autour de Charlie Hebdo. Padamalgam, pas de discussion non plus, pas de débat. Peut être n'y a t'il pas de problème...

Et puis ces paroles de nos dirigeants politiques. Critique de notre société. De nous même. Trois connards abattent des gens au nom de leur religion, et on nous sert le "c'est notre faute à nous, de la société". Les islamistes doivent se taper sur les cuisses de voir combien on préfère se flageller entre nous... Sans doute est ce plus facile...

J'avoue que l'après 11 Janvier est en train de m'inquiéter. Je ne remets pas en cause les décisions gouvernementales (sans doute la journée de la laïcité dans les écoles fera beaucoup...) ou présidentielles. Mais plutôt la manière dont est en train de tourner le débat. Collectivement, dans l'ensemble. 

Ces petits signaux qu'on lance aux gens qui ont tué 17 personnes début Janvier. Qui avaient commencé à foutre leur bordel à Nantes, Joué les Tours et Dijon pendant les fêtes de Noël. Une somme de cas individuels... Et je ne remets pas sur la table les actes de violence à Trappes, Marseille, Sarcelles, Barbes, Bruxelles un peu plus avant.

On refuse de mettre les trucs clairement sur la table. On se censure, on s'interdit de parler et d'agir. On demande même à des maires de ne pas respecter la loi (relire ce témoignage de l'ancien maire socialiste de Conflan-Sainte-Honorine, parlant du procureur de la république qui lui a demandé de fermer les yeux sur le port de la burka). 

En agissant de la sorte, "ils" sont en train de gagner. Et ça me fait de la peine...

Sinon j'espère que notre Président a beau temps en Arabie Saoudite... Ici, il fait froid. 

vendredi 23 janvier 2015

Saumon-chou-chorizo et réflexions sur la liberté d'expression

Je reprendrai les billets bouffes dans la table du Faucon un autre jour. Mais ce soir Falconette m'a proposé de le cuisiner le gratin chou-saumon-chorizo que j'adore.

Il se boit avec du rosé de chez moi (Lirac, ou Tavel). Et c'est magnifique. C'est un plat de fin d'été, mais comme il n'y a plus de saisons...
Je m'excuse d'avance auprès de certains commentateurs aztèques. Je leur proposerai ma sainte et pure pensée sur le monde qui nous entoure un autre jour... 

Je ne sais pas si notre blogosphère (politique ou non) est en crise ou non. Mais ce que je sais, 
c'est qu'il faut bloguer comme on le sent. Sans se prendre le chou. Sans s'emmerder avec des commentateurs qui veulent titiller ou emmerder, gratuitement ou pas. 

Ca me rappelle le billet que j'avais écrit cette semaine, où j'avais relayé des phrases d'H16. Une personne pas très intéressante est venue régler ces compte avec Nicolas, raillant cette "liberté d'expression" qui supprime des commentaires de casses-couilles. C'est delirant ces personnes qui confondent expression et pétage de gonades.

Je suis tolérant et ouvert. Certains disent aussi de moi que j'ai un physique atypique quoique pas désagréable (mais ce n'est pas le sujet). Pourtant, tout ouvert à la liberté d'expression que je suis, je ne supporte pas l'irrespect et l'insulte. Et ceux qui viennent pour casser les couilles. 
J'accueille volontiers celui qui sonne avant de rentrer chez moi pour venir discuter et boire un coup. Je sors à coup de pied dans le ionf le connard qui casse la porte de chez moi et entre avec un hygiaphone pour insulter ma famille et les proches. La liberté d'expression n'excuse pas la connerie et les emmerdeurs. Qui ne sont pas des libres penseurs mais des casses-couilles : c'est pas tout à fait pareil.


Ce que je sais aussi, c'est que c'est bien de manger des bonnes choses. Et ce soir c'était très bon.

Demain, nous parlerons de Cambadélis et d'Hervé Morin. Enfin, on verra demain.

mercredi 21 janvier 2015

Liberté d'expression, oui mais bon

Très bon vilain de l’affreux libéral mangeur d’enfant Hashtable, qui écrit un billet intitulé « Liberté d’expression : la contre-attaque des Bisounours ». 
Il faut dire que, l’espace d’une semaine, l’unanimité fut totale. Pendant sept jours, les censeurs ne pouvaient plus rien dire. Pendant cette semaine tragique et exceptionnelle, la liberté de la presse fut rappelée, louangée, défendue corps et âme puis érigée en rempart infranchissable dressé par la démocratie, la République et la civilisation, contre la barbarie, l’obscurantisme et aussi les méchantes idées qui piquent, parce qu’il ne faut pas oublier qu’on est en France, hein, tout de même.
 
Seulement, une semaine, c’est long quand on est un compulsif du petit cri strident à chaque bobo imprévu. C’est tellement long qu’une fois ce laps de temps écoulé, les bonnes habitudes sont revenues aussi sec, notamment celles qui consistent à bien mesurer les expressions, les opinions et les avis à l’aune du politiquement correct et des lois qu’on aura préalablement fait voter dans un temps où l’outrance était plus simple, parce qu’il ne faut pas oublier qu’on est en France, hein, tout de même.

Hashtable présente plusieurs exemples où la liberté d’expression est à géométrie très variable, selon qui l’on critique ou que l’on caricature. Il donne notamment cet exemple…

On apprend, même plus consterné tant tout ceci semble maintenant aussi normal qu’un Président, qu’un juge d’instruction a décidé de poursuivre Arno Klarsfeld pour avoir osé affirmer qu’avec l’extrême-droite, une partie de l’ultra-gauche mais surtout une partie des jeunes de banlieues pourraient être carrément antisémites, ce qui porterait un grave préjudice à ces derniers (aux jeunes de banlieue, hein, pas aux antisémites, ni, bien sûr, à l’extrême-droite ou à l’extrême-gauche – suivez, quoi).
Les souvenirs des émeutes urbaines de Sarcelles ou de Barbes cet été sont toujours présents… Ils m’avaient semblé démontrer cette évidence. Mais bon, padamalgam tout ça, il ne faut pas en parler. Bon…


J’avais écrit mon inquiétude lundi quand je voyais que presque une moitié des français voulaient s’écraser devant une minorité (qui l’est de moins en moins) violente et agressive. J’ai la triste impression que nous n’avons pas encore tout vu…

samedi 20 décembre 2014

Zemmour et Ventoux d'avant hiver

Le titre est bizarre. Mêler les deux sujets aussi. Mais ce matin, alors que je marchais sous la vue de ce Ventoux en pleine forme sur cette fin d'automne qui m'offre des températures d'une douceur extrême, je pensais à cette histoire Zemmour...
Je pensais aussi au fait tout bête qu'en une semaine, je venais de prendre presque 15°C de différence dans la vue. Il faisait guère plus de 0°C samedi dernier, quand je me promenais à Amsterdam le long de canaux de cette vieille ville ouverte aux vitrines de filles de joie en maillot de bain...

Ce Ventoux est merveilleux. La polémique Zemmour (et pas Zemour) beaucoup moins.

Sur le fond et la forme, je conçois volontiers mon paradoxe et mon malaise sélectif, celui là même que je dénonce chez certains... Il y a un an, j'applaudissais le ministre de l'intérieur qui interdisait les spectacles racistes et la parole antisémite et violente de Dieudonné. Et aujourd'hui, je trouve désolant cette mise au pilori et au silence d'un Zemmour
Dont je suis loin de partager l'ensemble des positions et du constat. Mais dont la parole me parait énormément moins nocive et néfaste que celle d'un Dieudonné et de ces amis. Pour autant, j'accepte mon incohérence. Mais bon, sommes nous tous toujours cohérent ?

Cette mise au silence, pour atteinte à la bonne pensée, me gène d'autant plus qu'elle représente une victoire pour Mélenchon. Dont l'attitude aura été d'un minable sans nom. Un mensonge doublée d'un côté "petit rapporteur" assez dérangeant... Ce côté "dénonciation calomnieuse" est malheureusement l'apanage de cette gauche là.

Les justifications d'iTélé me semblent également sujette à caution... Je les trouve d'une mauvaise fois gênées. Je pense qu'ils ne sont pas bien, car cela se voit très bien que leur décision est politique.
Je n'aimerais pas être à leur place... Elle ne doit pas être très agréable...

Pour autant, je n'irai pas manifester dans la rue pour exprimer mon indignation (qui est relative). J'ai le choix moi aussi. Celui, si j'en ai envie, de ne plus regarder Itélé. Et en profiter pour espérer que LCI passe un jour en gratuit, afin d'avoir le choix entre deux chaines d'information en continue.
Si on considère exclure de son choix Itélé, qui conserve dans sa rédaction une Audrey Pulvar dont les propos sexistes et que l'on peut trouver raciste m'avaient dérangé à l'époque. Mais c'était contre Sagnol qu'il fallait s'indigner, donc... (cohérence, sélectivité, tout ça...)

Mais bon... Si les chaînes et les médias doivent se plier aux injonctions du ministre de l'intérieur, et faire taire tout ce qui ne plait pas au pouvoir en place, cela peut justifier un certain malaise...

Malaise, davantage qu'indignation. C'est mon sentiment ce soir à cette affaire. Je n'aime décidément pas trop ce que devient mon pays... Et la prise de pouvoir de tous les sectarismes. 

Sinon j'espère que Marseille sera champion d'automne demain. Ca serait une excellente nouvelle, et une victoire du football... Mais ça, c'est autre chose.

dimanche 28 avril 2013

Insulter, est ce de la "liberté d'expression" ? (Melenchon me fait de plus en plus peur...)

Article du Monde.fr : "Mur des cons : Mélenchon soutient le SM au nom de la liberté d'expression". Le SM, ce n'est pas des sadomasochistes (quoique soutenir Mélenchon en ce moment, ça y ressemble...), mais le divin Syndicat de la Magistrature. Qui défend ceux qui doivent normalement "rendre la justice au nom du peuple français". 
Y compris au nom de ces cons, qu'ils s'autorisent à insulter parce qu'ils n'apprécient pas leurs idées, leurs opinions.

Il faudra à un moment arrêter de tirer sur cette pitoyable ambulance Mélenchon. Qui continue de s'enfoncer autant qu'il s'éloigne des valeurs de la république... Son jeudi soir aura d'ailleurs été remarquable.

Mais quand même, son intervention m'interpelle. Défendre "la liberté d'expression" ? Je crois que cela témoigne de la folie dans laquelle s'installe notre société : insulter les gens au nom de leurs idées, c'est de la "liberté d'expression"...

Et si on avait fait un mur de gauchistes, qu'on avait appelé "salopard" (très joli billet de Guy Birenbaum à ce sujet), cela aurait été quoi ? Si un groupe de gens ayant un certain pignon sur rue avait conçu un mur composé de personnes homosexuelles, et qu'il l'avait appelé "le mur des tapettes", l'aurait on défendu au nom de la "liberté d'expression" ? Imaginons un mouvement syndical ou politique s'amuser d'un murs de personnes d'origine magrébine ou africaine appelé "mur des connards", liberté d'expression toujours ?

Comme le rappelle Jean-Luc Mélenchon, le Syndicat de la Magistrature recueille au sein de sa profession 30% des suffrages. Il se permet d'insulter des personnes de droite républicaine. Et aussi d'insulter le ministre de l'intérieur Manuel Valls, qui est aussi considéré comme un "con". Est ce la liberté d'expression ?
Tiens ? J'ai appris que même Jack Lang, que je n'aime pas, fait parti de ce mur des cons. Mais parce que je combats régulièrement sa conception de la politique, ai je le droit de l'insulter et de le traiter de con ? Je ne l'avais fait... Et je ne suis pas juge (un simple citoyen qui serait condamné s'il le faisait).

En tous cas je suis écœuré. Ces gens là doivent me juger "au nom du peuple français". Je partage bien des idées et des valeurs de par exemple François Baroin, Eric Woerth, ou Luc Ferry, épinglés "cons". J'ai voté, comme un peu plus de 48% des votants, pour Sarkozy au deuxième tour de la dernière présidentielle. Je suis donc aussi un "con" au yeux de 30 % de cette profession. 
Mais au nom de "la liberté d'expression", je dois les laisser m'insulter. En dodelinant de la tête. Et je dois les laisser m'insulter au seul principe que je suis "de droite". Être insulté sur Twitter par des gens de cette gauche sectaire, bon, c'est une habitude. Mais de la part de représentant de la justice...

Et que le représentant principal de cette gauche sectaire, Jean-Luc Mélenchon, appuie et soutienne ces insultes... Je suis écœuré, mais aussi effrayé.
Pour la République apaisée, on reviendra plus tard... Le République digne et du respect, ça fait longtemps qu'elle est partie à la décharge publique...

jeudi 9 août 2012

Un autre regard sur les Jeux Olympiques...

Ces jeux Olympiques me régalent. Même si les filles en handball m'ont fait de la peine, je redécouvre avec plaisir le frisson d'une course d'athlétisme ou en piscine. Je me régale avec le hand et le judo, je découvre le basket. Je me marre aussi devant des sports improbables, que je ne reverrai plus pendant 4 ans (la lutte ou le BMX par exemple...), mais qui parviennent à m'exciter pendant deux semaines.

Par contre, je commence aussi à découvrir les à-coté de ces jeux. Notamment la lecture d'un billet très riche et instructifs, du blog S.I.Lex, "au croisement du droit et sciences de l'information".

J'ai lu ce matin ce billet : "Comment la propriété intellectuelle a transformé les Jeux Olympiques en cauchemar Cyberpunk". Pas loin d'être juste effrayant...

Il n'empêche que je me régalerai ce soir devant la finale du 200 mètres et demain avec le demis-finale de handball et le prochain doodle de Google
Mais quand même...

dimanche 4 décembre 2011

Indignations grotesques et affligeantes...

Elles commencent à me gonfler, ces associations qui ne représentent qu’elles, et dont l’intolérance nuit gravement à la santé de notre société…



Patrick Besson écrit dans le Point un éditorial (que je trouve raté mais bon) en raillant l’accent d’Eva Joly, et en appuyant sur des aspects extraordinairement caricaturaux de sa candidature. SOS Racisme et d’autres associations de ce genre hurlent, de manière ridicule, au racisme, à la xénophobieGrotesque…
A force de le voir de partout, le racisme (surtout là où il n’y est pas), on le fait se développer. Cela ne dérange pas ceux qui en ont fait de l'antiracisme radical et caricatural leurs fonds de commerce, et leur raison d’exister… Par contre, cela réduit dramatiquement ce que l’on peut dire… Et c'est inefficace la lutte qu'ils prétendent mener.

Au fait... Il parait que le Parti Socialiste, les verts et les partis à la gauche de la gauche ont fait l'oral obligatoire devant le jury de SOS Racisme... On peut soupirer un grand coup, on reviendra tout à l'heure...



Monoprix lance une campagne de publicité. Je trouve certains slogans drôles. « Bayonne, le cochon qui colle aux basques » ou « à poêle le boudin », ça m’amuse. D’autres moins. Mais ce que question de goût personnel. Dans l’ensemble, je trouve cette campagne amusante, et marrante.
D’autres n’ont pas le sens de l’humour, et aiment les exclamations qui les mettront bien sur le devant de la scène… « Elle a beau être bien roulée, elle a quand même l'air un peut tarte » est un slogan qui a excité certaines féministes, qui s’en sont indignées médiatiquement. Bien sur les pas forcément indispensables Chienne de Garde, toujours prête à sauter sur tout et n’importe quoi. « Slogans dégradants » qu’elles s’insurgent… Rien que ça... N’ayons pas peur du ridicule…

On ne leur parlera pas d’humour et d’ouverture d’esprit. On ne leur dira pas qu’elles nuisent profondément à la cause qu’elles prétendent défendre, elles ne le comprendraient pas. C’est évident qu’il est préférable d’aller manifester pour la suppression du « mademoiselle », ou contre un slogan qui se veut drôle… Les femmes en seront mieux défendues. Les statistiques terrifiantes qui l’on peut lire sur les violences faites aux femmes baisseront grace à leur combat contre une publicité… Grotesque.
Et on soupirera devant ce sectarisme extraordinaire d'un féminisme de très bas étage



Nous ne rappellerons pas les mémoires de Coluche, Desproges et le Luron : la tarte à la crème, le cliché, serait trop facile… Mais bon, on peut quand même en avoir marre.
Marre de ce puritanisme qui interdit toute parole, même conne, toute tentative d’humour, même loupé. Marre de ces associations qui ne représentent qu’une minorité agissante, et qui monopolisent les médias pour interdire toute parole qui serait contraire à leurs dogmes. Marre finalement de cette société sectaire et intolérante qui est en train de se construire…

Et on peut juste penser que la lutte contre le racisme serait plus efficace sans ces associations prétendument antiracistes… Idem pour la lutte pour le droit et la défense des femmes : sans ces associations féministes caricaturales, le message serait davantage entendue…
Et le « vivre ensemble » aurait véritablement un sens… Là, il en devient grotesque : c'est dommage...

lundi 10 janvier 2011

Soutien total (et amical) aux blogueurs tunisiens

Je n'ai rien à rajouter au billet de Philippe Meoule, qui reprend le billet de mon ami Nicolas. Il me pardonnera de le recopier durant ses heures de bistrot... Sinon que cela prouve encore à ceux qui aiment à hurler au loup toutes les cinq minutes quand en France un pouvoir n'est pas de leur gauche à elle, que c'est bien de pouvoir hurler tout et n'importe quoi sur nos blogs en France, et que la démocratie c'est pas si mal que ça, même quand c'est pas un copain qui est à l'Elysée...

Je me joints à mes copains blogueurs El Camino, Cui Cui, Le Grumeau, Yann, MHPA, Hern, Elmone,.. et probablement plein d’autres, comme Ju, à l’instant, pour apporter mon modeste soutien, qui ne changera pas grand-chose, envers ces blogueurs tunisiens emprisonnées.

A ce sujet, à lire, ici, la lettre ouverte à Frédéric Mitterrand. Lire aussi le billet de Nouvel Hermès.