Petite entorse à mes vacances low cost et citoyennement écolo en CO2 : 200 km pour rejoindre à 1850 mètres Orcières-Merlette. Vacances en altitude, sous un chaud soleil quand celui ci daigne briller, comme c'est le cas depuis hier.
Quand le ciel gronde, on se prend des grosses averses.
Je vous ai parlé des vacances avec les mots croisés d'été d'Aujourd'hui en France ? C'est typiquement ça et ici. Je terminais, avant d'écrire ce billet, un bouquin à la terasse de notre appartement. Après 12 bornes de randonnée avec Mme et les enfants, qui ont bien mangé les 500 mètres de dénivelés.
Pas grand chose à dire. Juste à partager. Ce soir, je mettrai OM Nantes sur la tablette. J'imagine que chez moi, la boite aux lettres doit avoir reçu ou attendre le roman de mon ami Guy, la nouvelle revue de l'after foot, mon PV d'excès de vitesse. Les impôts locaux (oui nous on paie les deux, et l'impôt sur le revenu : ça offre des allocation de rentrée scolaire à ceux qui seront, comme c'était le cas l'an passé, les premiers à gueuler sur l'école et le reste...) aussi.
A part ça rien. Fatigue. On dort bien à la montagne...