dimanche 17 novembre 2024
Quand j'irai vers l'or (Serge Lama) et le Forez
dimanche 19 mai 2024
Soupir du dimanche à Genève avec Serge Lama
Il y a 5 ans, j'étais dans la lessiveuse (au début). Une semaine au bord du Lac Léman a été à la fois reposante et cauchemardesque. Néanmoins, j'étais un peu comme un Saumon, à Genève notamment où les sources du Rhône m'ont apaisé.
J'ai aimé faire cette vidéo, avec une chanson de Serge Lama (Oh comme les saumons) m'évoque pleins de choses.
dimanche 7 janvier 2024
Promenade dans le Forez avec Serge Lama
La chanson s'appelle "Tout sur tout". Légère. Dans des paysages auvergnats du Forez
dimanche 19 novembre 2023
"J'espère" (Serge Lama) - Promenade à Manosque
Le clip de ce dimanche tombe bien. Une chanson à la fois triste, à la fois optismitique (quoique... non, elle es triste) de Serge Lama. Qui représente bien mon état d'esprit. "J'espère", un album formidable de Lama sorti vers 2010 où y a pour moi que des pépites, dont celle ci.
Et Manosque, une ville de Provence proche de Cadarache, mais surtout du lieu de vacances de Gréoux les Bains que j'aime tellement.
samedi 2 septembre 2023
Tel père, tel fils (promenade à Thonon les Bains)
samedi 1 juillet 2023
La vie simple et tranquille et promenade dans les Alpes
samedi 10 juin 2023
Chez moi (Serge Lama) dans le Gard
samedi 11 février 2023
Joyeux anniversaire Serge Lama
80 ans... J'espère un jour avoir l'honneur de discuter avec lui. J'ai toujours, à portée de main, son livre de chanson. La Vie Lilas est une superbe chanson, son interprétation lors du concert de 2013, avec le tableau sur scène, était fantastique.
vendredi 11 novembre 2022
Aimer (Serge Lama)
Vous savez combien j'aime Serge Lama
On aura beau s'évertuerÀ dégrader le verbe aimerC'est par lui qu'on est pardonnéAimerQu'on soit d'accord ou pas d'accordC'est un tsunami dans un portÇa vous fait du Sud en plein NordAimerDepuis des siècles et même plusOn en revient toujours déçuOn en revient toujours vaincuAimerOn aura beau dire et beau faireC'est comme le bruit de la merÇa vous fait supporter l'hiverAimerC'est plus haut que la tour EiffelC'est des cœurs, des corps de BabelQui se hissent vers l'éternelÇa vous fait désirer le cielAimerAimer, aimerC'est voir du feuillage en hiverC'est Moïse écartant la merC'est vivre deux vies à la foisC'est manger l'âme avec les doigtsAimerAimerRien qu'à le chanter ça me faitMal au présent, mal au passéC'est difficile à effacerAimerOn croit qu'on va toucher le cielDes paradis artificielsMais y a du poivre dans le mielAimerEt je vous dis pas comme on gueuleQuand on croit voir partir la seuleEt les miroirs qui vous en veulentAimerAllez, allez, alléluiaC'est yes, c'est oui, c'est da, c'est yaC'est monter mille HimalayaAimerC'est plus haut que la tour EiffelC'est des cœurs, des corps de BabelQui se hissent vers l'éternelÇa vous fait désirer le cielAimer, aimer, aimerC'est voir du feuillage en hiverC'est Moïse écartant la merC'est vivre deux vies à la foisC'est manger l'âme avec les doigtsAimer, aimerAimer
mardi 27 septembre 2022
Le souvenir
Je prends le conseil de mon ami Pierrot : se dire que son anniversaire est le début du début d'une nouvelle vie. Une méthode positive, mais elle est bien.
Ce weekend, j'avais les 20 ans (+2 à cause du Covid = 22) de ma promotion. Je n'y suis pas allé. Parce que pas assez en forme.
J'ai un ami proche, l'ancien chef du comité d'entreprise (CGT, et oui je ne suis pas un homme sectaire), qui quitte ma boite. Nous avons parlé de pleins de choses. Jamais de culture et de texte. Je lui ai soumis ce texte de Serge Lama, à cet ami qui a été directeur de campagne d'une candidate de droite, mais qui ne m'accompagnera pas à l'église. Mais c'est mon ami, c'est mon Maitre disait le même chanteur.
Le souvenir.
C'est un carrousel d'infortune
Un vieux manège sous la lune
Dans un décor de film ancien
Un regard clair qui nous revientÇa fait du bruit dans le silence
Les pas associés de l'absence
C'est du présent sans l'avenir
C'est incessant
Le souvenir
Le souvenirC'est dans notre vaste autrefois
La liste des premières fois
Les premières cerises d'été
Sous les bois, la fête enchantée
C'est la faute aux prises à jamais
De celles, ceux qu'on aimait
C'est du bonheur sans avenir
C'est oppressant
Le souvenir
Le souvenirSur la table l'Humanité
Que lit un vieux papa voûté
Et son cœur qui lui monte aux yeux
L'avenir sera merveilleux
C'est ignoré qu'il est admis
Qu'un jour on perde ses amis
C'est de l'enfer en devenir
C'est plein d'absents
Le souvenir
Le souvenirOn avance l'âme à l'envers
En quête de nos cœurs d'hier
Où sont-ils dans notre passé
Les cailloux du Petit Poucet?
Il y a cette étoile dans la nuit
Qui nous laisse seul mais qui luit
C'est du chagrin sans avenir
C'est sans le sou
Le souvenir
Le souvenir
Le souvenir
Le souvenir
mercredi 5 mai 2021
Napoléon et Serge Lama
Pour moi, Napoléon, c'est Serge Lama. C'est lui m'a fait découvrir l'empereur.
La première fois que j'ai vu Serge sur scène à Aix, il a chanté quelques chansons de sa comédie musicale qui est fabuleuse. Laissez Machiavel, une leçon politique est "la crainte et les intérêts".
L'Italie la Prusse sont d'accord sur ce sujet, sur ce point pas besoin de guerres, les princes ont les mêmes idées. On peut gouverner toute la Terre, par la crainte et les intérêts.
J'avais appris plus tard que le tiercé du pouvoir (le chiffre trois) était sexe, argent, pouvoir. Je me suis senti con. Le premier truc ne m'a jamais guidé, ma meilleure amie reste ma première et j'aime mon épouse. L'argent j'en ai. Pas besoin de plus. Le pouvoir ne me fait pas bander, j'ai expérimenté. Donc bon... Dépressif oui peut être mais en tous cas libre et c'est bien.
J'adore la conclusion du Napoléon. Il va mourir. Le mémorial.
mercredi 20 janvier 2021
inhumanité et horizon bouché
mardi 10 novembre 2020
J'espère
L'espoir, c'est ce qui nous manque.
Ce soir encore j'avais une chanson de Serge Lama en tête. J'espère...
vendredi 25 septembre 2020
Respirer devant un texte, une chanson...
Il y a des textes de chansons qui sont les poèmes d'aujourd'hui.
Je sais que Serge Lama écrit les textes. Et il demande à des musiciens de les mettre en chanson. Son dernier album, des Cabrel ou Calogero qui sont des as de la mélodie ont mis en oeuvre des textes de Serge Lama. Qui je pense a loupé comme moi les cours de Solfège.
Les muses sont un de ces textes que Cabrel a mis en musique. Lui n'a écrit que le texte. Mais qu'il est beau.
Et en l’occurrence celle du titre. Moi les chansons me touchent. "Souvenir attention danger" de Serge Lama est ma chanson maitre. Ce soir je vois que le texte est vrai, et que les souvenirs sont des dangers. Mais sans eux nous ne pouvons pas construire.
Les amies d'hier (volontairement au féminin) peuvent être les fondations de demain, même si elles ont fait mal. Mais ce qui s'est passé y a 20 ans s'est passé y a 20 ans.
(après je suis le responsable de tout...)
mardi 8 septembre 2020
D'où qu'on parte
D'où qu'on parte
Et après mille et trois doux ébats
D'où qu'on parte
Au finish, on ne monte qu'en bas
Tant de mains, cœurs debout, qui nous ont applaudis
Et pourtant nous voici chassés du paradis
Un jour sonne la fin des clameurs
D'où qu'on parte
La gloire n'est plus qu'une rumeur
Il n'est rien de l'eau claire à la feuille, au caillou
Qui ne meure, l'espoir n'est qu'un voyou
Les dieux seuls resteront immortels
D'où qu'on parte
D'un tel qu'on fut on restera Untel
Avance!
Vieil ovale.
Avance!
Vieux fœtus
Du berceau à la gloire, de la gloire à l'humus
Les vainqueurs, les vaincus, les veinards
D'où qu'on parte
On est tous les enfants du hasard
Même notre Soleil dans cinq milliards d'années
S'éteindra, notre ciel est déjà condamné
On s'épuise en courant, poursuivis
Par la perte
De tous ceux qui nous furent ravis
Il n'y a qu'un chemin, une route, et voici
Le sépulcre là-bas, et là, le crucifix
On voyage de fleurs en orties
D'où qu'on parte
On revient d'où l'on était parti
Savez-vous qu'avant-hier, j'étais presqu'un oiseau?
Et voyez mon plumage affaissé sur mes os
C'est pas nous qui tenons les cartes!D'où qu'on parte
D'où qu'on parte
Au finish, on ne monte qu'en bas
Tant de mains, cœurs debout, qui nous ont applaudis
Et pourtant nous voici chassés du paradis
Un jour sonne la fin des clameurs
D'où qu'on parte
La gloire n'est plus qu'une rumeur
Il n'est rien de l'eau claire à la feuille, au caillou
Qui ne meure, l'espoir n'est qu'un voyou
Les dieux seuls resteront immortels
D'où qu'on parte
D'un tel qu'on fut on restera Untel
Avance!
Vieil ovale.
Avance!
Vieux fœtus
Du berceau à la gloire, de la gloire à l'humus
Les vainqueurs, les vaincus, les veinards
D'où qu'on parte
On est tous les enfants du hasard
Même notre Soleil dans cinq milliards d'années
S'éteindra, notre ciel est déjà condamné
On s'épuise en courant, poursuivis
Par la perte
De tous ceux qui nous furent ravis
Il n'y a qu'un chemin, une route, et voici
Le sépulcre là-bas, et là, le crucifix
On voyage de fleurs en orties
D'où qu'on parte
On revient d'où l'on était parti
Savez-vous qu'avant-hier, j'étais presqu'un oiseau?
Et voyez mon plumage affaissé sur mes os
C'est pas nous qui tenons les cartes!
lundi 23 mars 2020
Serge Lama nous parle. Je l'embrasse, à Serge... Et je t'aime
Il a failli mourir et a vu les gens qu'il aimait mourir. "C'est mon ami et c'est mon maitre" est à écouter, ou lire. Car ses chansons se lisent.
C'est un poète (il ne faut pas les vivre, il faut les rencontrer le soir au coin d'un livre...). Dans le beau sens du terme.
Lire ses chansons.
Son mot m'a touché.
Serge, tu es invité dans le Gard quand tu veux, et quand tu peux. On t'aime, je t'aime.
[LE MESSAGE DE SERGE]
Mes chers amis,Je fais partie d'une génération qui, exception faite de la guerre d’Algérie, n'a pas connu de guerre sur son territoire. Je pensais terminer mon existence dans ce confort-là. Eh bien non, me voilà comme vous tous enfermé. Je ne vois ni mon fils, ni ma petite-fille. Je n'entends plus le joli violon de ma belle-fille. Mes amis sont dispersés à travers toute la France. Lors comme vous, c'est à travers le téléphone portable dont j'exécrais l'existence avant cette pandémie que je reçois ma pinte de sourires et de bienveillance.
En un mot, je suis comme vous, et ne jouant d'aucun instrument comme Calo dont je salue la superbe chanson humaniste, ou comme mon amie de longtemps Marie-Paule Belle, je n'ai que mes mots qui, dès qu'ils ne sont pas en vers deviennent banals.
Mais je pense qu'il aurait été de mauvais aloi de vous écrire en vers ce qu’il faut exprimer en mots de tous les jours, alors j'en suis réduit à la prose. Les temps sont difficiles comme le chantait ironiquement Léo Ferré.
Il faut d'autant plus se serrer les pensées positives les unes contre les autres, vu qu’on ne peut plus se serrer les coudes.
Il faut s'unir dans une même et seule pensée volontaire et joyeuse car, pour citer François Mitterrand : « Je crois aux forces de l'esprit ».
Je ne me sens pas catholique mais, comme la philosophe juive Simone Veil, je me sens chrétien. Et pour citer Musset : « Dieu parle, il faut qu’on lui réponde ». Il faut faire appel à cette parole primitive enfouie dans nos cœurs. Mais je veux également que ma parole soit laïque, mais à la façon de l'un des écrivains que j'admire le plus, en tout cas le plus cher à mon cœur depuis l’adolescence : Albert Camus.
Applaudissons chaque soir à 20 heures pour saluer les efforts extraordinaires que fait tout le personnel médical et aussi pour montrer à notre voisin qu'il n'est pas seul.
Applaudissons chaque soir à 20 heures pour saluer les efforts extraordinaires que fait tout le personnel médical et aussi pour montrer à notre voisin qu'il n'est pas seul.Soyez prudents, croyez dans le désir d’espoir.
Je vous aime.
Serge Lama
jeudi 28 novembre 2019
J'assume tout
De Clovis jusqu’au Comité de salut public, je me sens solidaire de tout. ....
J'assume tout de Clovis à Robespierre
J'assume tout de Rousseau et de Voltaire
J'assume tout, l'ombre noire et la lumière
J'assume tout, l'éternel et l'éphémère
J'assume tout, la grandeur et la misère
J'assume tout, l'éternel et l'éphémère
J'assume tout, l'ombre casquée des frontières
L'or et la boue, la gloire et les cimetières
vendredi 29 septembre 2017
J'ai trouvé dans un cahier bleu d'écolier
D'ailleurs aujourd'hui c'est la fête de mon papy qui est mort y a déjà 7 ans. Il me manque, et je me rend compte des quelques larmes qui coulent en écrivant mon billet.
C'est la fête de mon grand bébé aujourd'hui, qui a un autre prénom. On le fête aussi.
A part ça rien. Je me dis juste que j'ai retrouvé dans un vieux cahier bleu d'écolier, un vieux poème à l'encre un peu délavé. Des mots d'amour couleurs d'enfance et soudain, un prénom qui ne me dit rien.
Sauf qu'il me dit ce vieux prénom. Ou pseudo. Même si aujourd'hui j'ai trouvé celle qui apaise la nostalgie. Et que j'ai deux enfants formidables.
Un billet de rien. Mais quand même...
(j'essaierai de trouver un jour quatre autres chansons... Peut être "je te promets" de Johnny, "La solitudine" de Laura Pausini, "Always" de Bon Jovi, et "Canta per me" de Yuki Kajiura... Mais c'est 4 chansons que je pose là sans réflexion... Le sujet mérite d'être creusé)
samedi 11 février 2017
Serge Lama : Joyeux anniversaire...
vendredi 25 novembre 2016
Bordeaux
Au bord de ma Garonne belle, j'ai fait mes premiers pas d'oiseau
Plus tard il m'est poussé des ailes, mais mon enfance c'est Bordeaux...