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lundi 25 avril 2016

Carte postale panoramique de Sisteron

Photos prises de tout en haut de la citadelle. Depuis le temps que je voulais (rêver ?) de la gravir...

La première photo est une vue dans l'aval de la Durance, cap vers le sud. Le joli village de Sisteron s'offre à nous. 

La deuxième est la vue vers le Nord. Au loin, le massif des Ecrins, ma deuxième maison. Et le Buech qui rencontre la Durance. J'imagine Gap, le lac de Serre Poncon, et ma station de ski d'Orcieres-Merlette (que je ne fréquente pas l'hiver).

Les bébés ont magnifiquement grimpé la citadelle. Là ils sont épuisés. Je ne les ai pas ménagé... Demain, je leur ferai découvrir le Verdon et les lacs.
Mais à part ca il fait quand même frais... J'ai supporté les quartes épaisseurs tout en haut de la citadelle...

jeudi 18 septembre 2014

Dame Carcas sonne...

Mon ami Pierrot13 m'a informé qu'un prochain "des Racines et des ailes" se passerait à Carcassonne. Ca tombe bien, la cité médiévale de Carcassonne (peut être le site le plus visité de ma région) était la dernière étape de ma promenade de fin Août dans l'Aude des montagnes et des cathares.

L'été étant sur le point de se finir (les orages violents en ce moment le montrent), autant poster un billet sur cette jolie période de fin de vacances. Dans une cité merveilleuse : celle de Carcassonne. 

D'abord, un peu d'histoire. Lors de ma promenade dans ces murs, j'ai entendu parler d'une certaines Dame Carcas. Qui aurait donné son nom à la ville. Allons faire un tour sur Wikipédia, c'est toujours intéressant...

L'histoire dit que l'armée de Charlemagne était aux portes de la Cité aux prises des Sarrasins. Une princesse était à la tête des chevaliers de la Cité après la mort de son mari. Il s'agit de la princesse Carcas. Le siège dura 5 ans.
 
Mais au début de la sixième année, la nourriture et l'eau se faisaient de plus en plus rares. Dame Carcas voulut faire l'inventaire de toutes les réserves qui lui restaient. Les villageois lui amenèrent un porc et un sac de blé. Elle eut alors l'idée de nourrir le porc avec le sac de blé puis de le précipiter depuis la plus haute tour de la Cité au pied des remparts extérieurs.
 
Charlemagne et ses hommes, croyant que la Cité débordait encore de vivres au point de gaspiller un porc nourri au blé, leva le siège. Voyant l'armée de Charlemagne quitter la plaine devant la Cité, Dame Carcas remplie de joie par la victoire de son stratagème décida de faire sonner toutes les cloches de la ville. Un des hommes de Charlemagne s'écria alors « Carcas sonne ! », d'où le nom de la Cité.
Heureusement qu'elle ne s'appelait pas Gertrude : ça aurait donné un nom pas jojo.

L'histoire dit quand même que cette charmante dame ne serait qu'une légende, probablement dérivée de chansons médiévales. Et il parait même que Charlemagne n'aurait jamais fait le siège de Carcassonne. C'est malin...


Enfin, quoiqu'il en soit, on retrouve Dame Carcas dans la cité. Elle nous accueille en arrivant à la cité. Et son souvenir est présent dans les murs de ce joli endroit (où on mange très bien en des endroits).

Un endroit de la ville que je trouve également très beau est la basilique Saint Nazaire. Rien à voir avec le Saint Nazaire de l'Atlantique, ou celui au nord de Bagnols-sur-Cèze. 



Je finis la promenade par un puit. Signe qu'il est déjà tard et qu'il serait tant d'aller boire un coup. J'ai fait ce matin ma prise de sang annuelle, donc adviendra ce qu'il adviendra, mes résultats ne seront pas plus mauvais si je m'ouvre ce soir un bon Corbière, en souvenir de ces jolis endroits.


Je reviendrai mettre quelques photos du château de Carcassonne. Il est magnifique. La Belle au Bois Dormant aurait pu dormir dedans... On parlera d'Eugène Viollet-le-Duc aussi : il parait que c'est grâce à lui qu'on peut se promener dans cet endroit enchanteur. 





jeudi 4 septembre 2014

Château de Peyrepertuse - fin du voyage

Terminons la promenade au Château de Peyrepertuse. Avant d'aller prendre l'apéritif et de regarder un France - Espagne en football, c'est très bien...

La page Wikipédia nous a appris que ce coin était déjà fréquenté à l'époque romaine. Que le château daterait à peu près des années 850 et des brouettes. Et que beaucoup l'ont utilisé, habité, agrandi.
Ses ruines accueillent aujourd'hui près de 100 000 visiteurs par an. Elles dominent de 800 m les vignobles de la région et le village de Duilhac (vignoble des Corbières).
 On y accède par une route qui s'arrête juste en dessous de la falaise sur un parking, les visiteurs peuvent ensuite utiliser un chemin (environ un quart d'heure) pour faire le tour du château par l'est et rentrer par l'entrée principale côté nord. Même si le château est en ruine, la plupart des murs sont encore debout, certaines pièces sont encore bien conservées (notamment la chapelle fortifiée dans le Bas-Château).
J'avais, dans un billet précédent, mis quelques photos du village de Duilhac. Qui a un charme certains. 


Pour les courageux et les randonneurs, un sentier de grande randonnée part du village de Duilhac (prendre la route du château sur quelques centaines de mètres avant de prendre à droite un petit chemin qui coupe les lacets). Il s'agit d'une variante du sentier cathare.
Ce sentier cathare, il faudra que je le fasse... Et la marche vers le château, elle avait l'air magnifique... J'avoue avoir commencé depuis le parking. 

Par temps d'orage ou de grand vent, la montée est fortement déconseillée et souvent interdite pour protéger les visiteurs de la foudre et des glissades dangereuses dans l'escalier Saint-Louis, qui relie l'ancien château au donjon, déjà fort glissant par beau temps.
La falaise de calcaire est propice à l'escalade et les voies aboutissent toutes ou presque dans l'enceinte, au grand plaisir des grimpeurs qui terminent leur ascension sous le regard des touristes spectateurs.

Le château mesure 300 mètres de long et 60 mètres de large dans sa plus grande largeur. L'entrée se trouve au nord et tout le reste du château est inaccessible de par les falaises qu'il surplombe. Tout le château est entouré de remparts soigneusement accrochés en haut des à-pics. Mais la muraille de la partie nord plus accessible est plus imposante que celle de la partie sud qui est composée de pentes très abruptes. Il est composé de deux esplanades à l'est et à l'ouest.
L’enceinte "basse" a conservé son chemin de ronde formé de dalles reposant sur des corbeaux. Le côté sud est défendu par l'à-pic de la falaise. L'angle nord-ouest abrite la porte d'entrée. On peut observer sur cette esplanade le château primitif du comte de Besalù et la chapelle du xiie siècle. Une ancienne citerne d'eau est visible près du château primitif.

Ce qui m'a impressionné vu d'en bas, c'était la longueur de ce château, qui épousait merveilleusement ce pic rocheux.
Là encore, lire Wikipédia c'est bien. Imaginer que ceux sont des hommes, il y a bien longtemps, qui ont construit ce château, c'est édifiant...

L'homme est probablement un immense connard. Mais il est capable de génie...


Le donjon vieux est formé de l'église Sainte-Marie, de style roman, et d'un logis, constitué de deux pièces voûtées superposées. Quatre citernes alimentaient le château.
 
Sur l'esplanade ouest se dresse le château plus récent perché sur le roc Sant Jòrdi. Il fut construit sur l'ordre du roi Saint-Louis en 1242 pour renforcer la forteresse. Pour y accéder, un escalier dit de Saint-Louis assez vertigineux monte le long de la paroi du roc. Le "donjon de Sant Jòrdi" est un château avec son propre système de défense capable de résister aux assaillants ayant réussi à accéder à la forteresse et possédait sa propre chapelle dans le donjon, la chapelle Sant-Jordi (Saint-Georges) à nef unique.

C'est par ces quelques lignes Wikipédia que nous terminerons la balade dans le Château de Peyrepertuse. Plus tard, il faudra que j'écrive quelques billets sur Carcassonne, la cité est immense, magnifique. Et superbement conservée...


D'ailleurs, cette dernière réflexion... Souvent, je me dis que j'aimerais remonter dans le passé, dans mon passé. Je ne suis pas de ceux qui disent "je ne regrette rien, j'assume tout". J'ai beaucoup de regrets, des choses que j'aimerais modifier. Même si ma vie actuelle est merveilleuse, j'aimerais changer certaines choses. Modifier plutôt...


Mais remonter dans le passée aussi pour voir ces citadelles à l'époque de leurs apogées. Ca devait être merveilleux...
Il faudra que je fasse le tour du net pour essayer de trouver s'il existe des modélisations de ces châteaux dans l'apogée de leurs vies. Si vous avez des liens, chers visiteurs, je vous en serai gré...

Je ne ferai pas la recherche ce soir. Mes bébés hurlent, et j'ai l'impression qu'un bon verre de vin blanc me ferait un bien fou : il a fait chaud aujourd'hui...

mardi 2 septembre 2014

Château de Peyrepertuse : suite et un peu d'histoire

Continuons la promenade dans le château de Peyrepertuse. Parce les paysages sont jolis, parce que le château et les cathares le méritent.

Une réflexion aussi. Je ne savais pas qu'avant d'acheter le PSG, le cathare construisait des château sur des pics rocheux.
La blague est mauvaise, mais elle m'a fait rire et cela fait deux jours que je la sors à la machine à café. Les gens sont affligés : ils sont raison. Car en plus, j'en suis fier...

Continuons donc notre promenade dans le château de Peyrepertuse. Nous sommes déjà à 800 mètres d'altitude. Le vent fouette notre visage. Les Corbières se dévoilent à nous. 

Nous apprenons sur la page Wikipedia que "Le site fut occupé à l'époque romaine dès le début du premier siècle avant Jésus-Christ, comme l'ont montré des fouilles récentes. En 806 apparurent les premières mentions du château dans l'Histoire. Il était alors catalan et s'appelait Perapertusès"
La Catalogne n'est pas loin...

À l'époque de la croisade contre les Albigeois, il était le fief de Guillaume de Peyrepertuse qui, ne voulant pas se soumettre, fut excommunié en 1224. Ce dernier se soumit après l'échec du siège de Carcassonne, et le château devint une possession française en 1240.
En 1242, Saint-Louis décida de le renforcer et de lui ajouter une deuxième partie, le donjon Sant Jòrdi, situé plus en hauteur sur la crête ; le donjon Sant-Jordi fut alors construit en 1250-51 et on réaménagea le Donjon Vieux ainsi que l'église Sainte-Marie qui existait antérieurement. 

La situation était confuse dans cette région jusqu'à la signature du traité de Corbeil en 1258 laissant libre la Catalogne et le Languedoc. Il fixait aussi la frontière juste au sud du château de Peyrepertuse. Celui-ci, comme ses voisins, les châteaux de Puilaurens et Quéribus, était une des forteresses royales reconstruites à la fin du xiiie siècle pour défendre la frontière contre le royaume d'Aragon puis l'Espagne jusqu'au xviie siècle.
Donc Puilaurens reste le dernier des grands châteaux qu'il faut que je visite... Je me demandais quoi faire l'an prochain...


En 1355, le château fut remis en état de défense et Henri de Transtamare, prétendant au trône de Castille, défait à Navarette, fut autorisé par le roi de France Charles V à s'y réfugier. En 1542, Jean de Graves, seigneur de Sérignan, s'empara du château au nom de la Réforme, mais fut pris et exécuté.
Un petit truc comme ça. En 2006, j'ai habité à Sérignan. Sérignan du Comtat, dans le Vaucluse. J'en garde des souvenirs émus. Je sais qu'il existe un Sérignan dans l'Hérault, je suppose que ce seigneur était de celui là, de Sérignan.
Enfin, je suppose, je n'en sais rien...

Le château fut déclassé comme place frontière lors du Traité des Pyrénées en 1659 ayant perdu son intérêt stratégique. Bien que la citadelle eut beaucoup moins de valeur depuis l'annexion du Roussillon en 1658, une faible garnison commandée par un officier subalterne fut maintenue jusqu'à la Révolution française, pendant laquelle il fut abandonné. Vendu comme Bien National en 1820, ses ruines subsistèrent jusqu'à aujourd'hui. La première campagne de consolidation du monument commença en 1950.

C'est très bien Wikipédia finalement pour avoir quelques informations rapides... 


En tous cas, ça me fait plaisir d'écrire ces billets, après avoir repris le boulot. Demain, bébé Faucon commence l'école. Et moi, je pense à mes prochaines vacances...

Comme quoi...



lundi 1 septembre 2014

Château de Peyrepertuse : entrons et marchons...

Le château de Peyrepertuse, on y est... Passons la semaine à marcher dans ce coin des Corbières. L'endroit est sympa, et pour ma semaine de reprise au boulot, ça permet de prendre l'apéritif avec des jolies images dans la tête...

La page Wikipédia est très sympathique quand on n'a pas un Pierrot13 sous la main pour nous faire l'histoire du château et du coin. 
En quelques lignes (je résume) on y apprend que : 
"Le château est situé sur la commune de Duilhac-sous-Peyrepertuse dans les Corbières. Il se trouve sur une crête calcaire à près de 800 m d'altitude, dominant garrigue et vignes. Position stratégique qui permet à la fois de voir loin dans les différentes vallées qui l'entourent, de contrôler les cols ou de communiquer des signaux au château de Quéribus un peu plus au sud."
Elle est très bien cette page Wikipédia. Même s'il faut aussi profiter du paysage : ce château est vertigineux. "Vertigineux" est le terme qui définit le mieux ces châteaux, merci Pierrot. 

Le vent qui frappe le visage, en provenance des entrailles des Corbières, est quelque chose de magnifique. Ca sent bon en plus, c'est super...

Revenons sur la page Wikipédia : 
"La vue du château depuis Duilhac (au sud) est impressionnante grâce à la falaise de 30 à 40 mètres sur laquelle le château est posé.
L'entrée principale se trouve du côté nord, mais à l'époque des Cathares un passage secret permettait après un chemin étroit derrière un gros éperon rocheux de rentrer dans le château par une échelle amovible. Aujourd'hui la poterne du passage secret est fermée mais le chemin est toujours là (le passage derrière l'éperon est exceptionnel) et on peut terminer l'ascension par une voie d'escalade."
Je n'ai pas fait la voix d'escalade...


La page Wikipédia apprend d'autres choses que j'aime beaucoup...
"Le château fait partie des « Cinq fils de Carcassonne » avec les châteaux de Quéribus, Puilaurens, Termes et Aguilar, tous situés en haut de pitons rocheux « imprenables ». Il est surnommé la « Carcassonne céleste » car c'est le plus grand des cinq châteaux et qu'il était aussi vaste que Carcassonne"
La Carcassonne céleste. C'est joli, c'est tellement chouette... Le château de Carcassonne, ça sera parmi les prochaines photos que je vous proposerai. J'y suis passé aussi, c'est sympa...


Finalement dans ces trois jours, j'aurais fait Aguilar, Quéribus et Peyrepertuse. Termes, je l'ai vu au loin il y a 4 ans. Il me restera Puilaurens. Et les Pyrénées Orientales. L'année prochaine ?

En tous cas, la balade à Peyrepertuse n'est pas terminé. On va continuer à se promener. 

Sinon, la reprise au boulot a été ce qu'elle a été. Merci pour elle. Mais bon, j'étais mieux en vacances...





Reprenons le boulot...

Ce matin, retour au boulot... Il fait tôt déjà, et je suis un des premiers arrivés à mon bureau. C'est bien...

Photo prise dans le château de Peyrepertuse. Nous étions vers 9h30, et le soleil était déjà haut. C'est ça qui est bien en Août...
Le reste, c'est que les vacances sont bien finies. Il parait que l'été va continuer encore un peu.

Demain, bébé Faucon découvrira l'école. Je suis ému et content. 

Et puis après, nous verrons bien... Je vais lancer Google Actualité pour voir les dernières déclarations, tout ça... Quelque chose me dit qu'on en aura, des choses à dire...

dimanche 31 août 2014

Au dessus des Corbières, Peyrepertuse

Pour mon dernier jour avant de reprendre le travail, continuons la promenade dans les châteaux cathares. Nous étions à Duilhac sous Peyrepertuse. Village qui, comme son nom l'indique (ou pas), se trouve en avant du château de Peyrepertuse.

Une route sinueuse et pentue nous amène vers ce château. En fait, elle n'amène à nulle part ailleurs qu'à ce château. Le village est le départ de cette route unique vers ce château qui épouse incroyablement la crête de la montagne...

Une fois la voiture garée et le guichet passé, la balade commence. Une marche pas forcément longue qui monte, qui monte... 
Ce qui est saisissant, c'est la vue sur les Corbières... Nous étions 9h30 lorsque nous sommes arrivés, et forcément les couleurs sont encore matinales. Les images sont différentes qu'à Quéribus (c'était 15 heures). Mais aussi parce que Peyrepertuse est plus haut que Quéribus

Vertigineux prend tout son sens... Quelques photos pour s'envoler dans les Corbières au matin levant.

Sur la première photo, en allant loin, vous observerez justement le château de Quéribus qui vous fait un petit coucou. Et en bas, le village de Duilhac sous Peyrepertuse.


Le petit chemin tourne, vire. Et monte, le château n'est pas loin. 

Nous y voilà devant. Le prochain billet sur le château sera écrit de l'intérieur du château. D'autres photos, la balade continuera. 
Avec un peu plus de sueur sur le TShirt, car mine de rien, ça monte un peu... 






samedi 30 août 2014

Duilhac sous Peyrepertuse, sur la route des châteaux cathares

Continuons ma promenade dans les châteaux cathares des Corbières. J'ai laissé le château de Quéribus et le merveilleux village de Cucugnan derrière moi.  Et je continue ma marche dans les Corbières.

Au loin, je vois le château de Peyrepertuse qui apparaît sur la crête de la colline. C'est toujours autant fascinant, ces châteaux sur les cimes de ces hautes collines. L'homme est capable de construire des choses hallucinantes...

Mais avant d'arriver tout en haut, on passe par le village de Duilhac sous Peyrepertuse. Faisons y une petite pause...

Ce village n'a rien d'exceptionnel. Par rapport à Cucugnan,  je suppose qu'il est moins touristique. Pourtant, il a un coté paisible et agréable... Des petites rues mignonettes comme tout. 
Le tout sous la protection du château de Peyrepertuse, qui se voit de partout.


La suite de la promenade nous amènera dans ce château. Vertigineux est le terme qui s'impose, tant il l'est, vertigineux... Avec finalement ce sentiment que la visite dans ce village, rapide visite, n'aura valu que pour la vue qu'il nous offrait vers ce château. Comme un apéritif...

Les Corbières sont merveilleuses...

Suite de la promenade au prochain épisode...






jeudi 28 août 2014

Le château de Quéribus et réflexions sur le foot français et la LFP

Pierrot13 m'a dit, sur le billet où j'avais présenté rapidement le château d'Aguilar, que je me régalerai des châteaux de Quéribus et de Peyrepertuse. 

Il avait employé le qualificatif "vertigineux". Il était loin du compte : cet endroit est fabuleux.

J'ai eu de la chance d'avoir un soleil chaud et brûlant pour voir le château de Quéribus. Cela le rendait encore plus beau, plus brillant, plus vertigineux...

Je ne parle pas de la vue sur la vallée des Corbières, saisissante, impressionnante.

J'adore les paysages "vus d'en haut", et sur ces châteaux cathares j'ai été servi. Et quand le ciel est bleu comme ça, c'est génial...


Sur le reste, peu de choses à dire. Sinon que le problème de la voiture quand on a un dos fragile et douloureux et qu'on le paye au final... Aujourd'hui, après un aller-retour en capitale drômoise ce matin, le dos fait mal.

J'ai aussi peur aussi que les matchs de Lyon et de St Etienne en Coupe d'Europe m'énervent. Et que j'ai envie d'écrire des messages violents et insultants vis à vis du football français, et en particulier sur ses présidents Le Graet et Thiriez.
A ce propos, il est hallucinant que Frédéric Thiriez soit toujours président de la LFP. Après cette histoire scandaleuse de Luzenac (scandaleuse et insupportable), et au vus des résultats catastrophiques des clubs français en coupe d'Europe (dont le président de la LFP a une responsabilité), il serait bon que ce dernier soit débarqué. Comme chez les Le Graet ou Thiriez on ne démissionne pas (parce qu'on n'a aucune face...), il faudrait les virer. Thiriez en premier. 

Mais il faudrait que l'ensemble de la LFP démissionne. Cette histoire Luzenac est un scandale, un réel scandale... 

Donc plutôt que de s'énerver, remontons dans le château de Quéribus. Et profitons, profitons...



lundi 25 août 2014

Les Corbières s'endorment...

ÔPas Alexis, non. les Corbières, les vraies, les belles, celles qu'on aime aimer.

Soirée à Cucugnan, joli village qui aura son billet plus tard. Ce soir, il a un panoramique...
De Cucugnan, une chambre d'hôte dans le village, cadre superbe sur les Corbières, un paradis terrestre. 
De Cucugnan, on voit évidemment le divin chateau de Queribus. 
Avant d'acheter le Paris Saint Germain, les cathares étaient passés par là (humour). 
L'objectif de nos quelques jours en pays cathare des corbières étaient la visite des châteaux. Et se plonger dans cette ambiance particulière. 
Les Corbières sont comme le vin qu'ils produisent : c'est rouge, c'est puissant, on entend le sang qui tape dans les tempes. 
Des vins comme des paysages. Des paysages comme ces vins. Fidèles à une histoire merveilleuse.
J'écrirai demain, si j'ai le temps, sur Queribus, sur Cucugnan. Sur le président Hollande qui s'enfonce dans tout ce qui peut être enfonçable. L'histoire risque d'être moins sévère que d'avoir une certaine pitié...
Mais demain. Je suis crevé. Le lit de la chambre d'hôte est confortable. 
Et comme elle n'a pas de télé, je n'irai pas entendre les analyses politiques foireuses obligées du moment. La mienne tient en un mot : "sapin". Pas le ministre. Mais ce que ça sent. Le sapin. Surtout quand on entend que Lepage et Placé sont candidats. Le symboles serait terrible.

Dire qu'il reste encore un peu moins de trois ans : vu comme ça c'est long. On va regretter Sarkozy et Chirac. Je vous le dis... (Sagesse cathare qui déteint sur moi...)

Demain sera un autre jour...