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jeudi 5 mars 2009

La classe moyenne se restreint de plus en plus. Et le feu, ça brule.

Certains découvrent l'eau chaude. Ca fait toujours plaisir. La dénonciation par Claude Bébéar de la cupidité des acteurs du système a quelque chose de... Je ne sais pas. Le number one des patrons français, celui qui fait le capitalisme parait il, et qui cumule nombres de place dans pléthores de conseil d'administration, se réveille. Le système financier marche sur la tête. Ah bon ? Oui...
5 Mars 2009, jour à marquer d'une pierre blanche. Claude Bébéar s'exprime, et nous dit que c'est le bordel. Ca valait le coup d'attendre.

Et continuons dans les découvertes de fada : le Credoc découvre que les classes moyenne, ben ça va pas du tout... Les classes moyennes se restreignent de plus en plus selon une étude... J'attends avec impatience une étude qui va valider qu'il y a davantage de risque de froid que de canicule en hiver, et vice versa en été.
Enfin, le Credoc nous rappelle que depuis 1970, le niveau de vie médian a progressé de 83 %. J'aurais espéré connaitre la progression depuis 1812. Par contre depuis 2003 par exemple ?

Rien à voir, mais Nicolas J a attiré mon attention sur le classement Wikio de Mars qui est sorti.
(/mode autosatisfaction on).
Et bien la Maison du Faucon est passé 107eme au Général (+186) et 23 eme au divers (+56). Ca fait marrant. Et même si on s'en moque, ben ça fait plaisir... Merci à vous les copains.
(/mode autosatisfaction off).

vendredi 20 février 2009

Pas cohérent

Le sondage de 20 minutes fait tomber le couperet. Pas cohérente la politique de Sarkozy, pour 49% des interrogés... Pour 57%, Sarkozy ne va pas dans la bonne direction (mais quelle est la bonne direction ?), 60 % pensent les mesures pas efficaces, 54% pas juste, etc etc... Jouons avec les chiffres.

En fait un seul chiffre a réellement relevé mon attention. 71% ne se sentent pas concernés par les mesures annoncés. Je ne suis pas seul.

Le weekend arrive... (vite)

mercredi 4 février 2009

[BETISE] Entrez dans la Banque (parodie)

Irrésistible mais cruelle parodie d'actualité de la chanson "Toi + Moi"... Le genre de connerie que j'adore recevoir au bureau...
Félicitation au parodiste... Je trouve ça très bon

mercredi 29 octobre 2008

Aller toujours plus loin dans la connerie... on peut toujours faire pire

On pense toujours, quand les situations sont désespérantes de bêtises, que l’intelligence finira par l’emporter. On l’espère, et puis ensuite on se rend tristement à l’évidence. Certains vivent sur une planète différente de celle de l’ensemble des mortels…

L’information est repris sur pas mal de blog. Chez l’ami Birenbaum notamment. Thierry Saussez, M. Communication de l’Elysée et du gouvernement, veut une émission gouvernementale sur la télévision publique !
C’est trop gros, c’est un poisson d’Avril automnal sans doute… Et puis on se rend à l’évidence, ce n’est pas une blague… Le gouvernement réfléchit à son émission de télévision comme le dit le Figaro…

Et puis on se demande ce qu’est la normalité, la décence. Cela me parait totalement inapproprié, à coté de la plaque, et même limite insultant, cette idée de faire une « émission de propagande » sur le service public. En même temps que profondément dérisoire en ces périodes de crise.
Mais voilà, le gouvernement semble prendre cette idée au sérieux, et le Thierry Saussez de ne rien démentir, au contraire… On pourrait imaginer qu’il y a des gens intelligents qui ont du informer les instigateurs de cette idée des forts risques dans l’opinion d’une telle démarche. La colonne « plus » et la colonne « moins », et la deuxième beaucoup plus fournie que l'autre… Et pourtant, non, l’information sort comme ça.
Peut être suis-je le seul à trouver cette idée indécente, outrageante par rapport à l’idée qu’on peut se faire de la démocratie… Et peut être que « l’intelligence » que j’espère voir triompher un jour, tels les gentils de l’histoire, n’est pas partagée par tout un chacun, peut être…

A coté de ça, la crises ne ralentie malheureusement pas les jaillissements de conneries, qui pullulent ici et là.
A ma droite, Dexia qui annonce avoir perdu 82 millions d’euros à la suite d’un (accrochons nous) « incident ». L’incident, c’est une exposition « excessive en devises » qu’ils disent… C’est avec le sourire du mépris qu’on continue de prendre ouvertement l’opinion pour des abrutis. « Incident »… Il y en a un peu souvent des "incidents"...
Errare humanum es disait le poète... Mais il disait que persévérer, c'était très con.

Et à ma gauche, puisque personne n’est responsable visiblement de ses propres âneries, l’histoire de cette femme qui poursuit Quick en justice pour «frittes non ramassées». Sans remettre en cause la gravité des conséquences de la chute pour cette dame, cette histoire sent bon le « on va s’en mettre plein les poches grâce aux tribunaux », une importation venue d’outre Atlantique dont on se serait bien passé.
Si les crétins devaient porter plainte contre les responsables des programmes sur TF1 et France 2 pour accentuation de crétinisation, il faudrait multiplier le budget de la place Vendôme…

Après, on apprend que la baisse de l’immobilier sera plus forte que prévue… Ceux qui vont vendre leur bien immobilier largement au dessous du prix du marché, et qui en seront pour leur poche, pourront mettre le fruit de leur vente en bourse ou chez Dexia…
Et il ne leur manquera plus que de se faire prendre par la gendarmerie en défaut de gilet jaune et triangle… Le Figaro révèle le zèle de certains qui double l’amende prévue en cas de ce terrible manquement pour la sécurité routière…
Quand on plonge dans la connerie, on pense que ça va s'arrêter, mais on contraire généralement on accélère. Toujours, parce qu'on peut toujours aller plus loin. C'est ça qui est épuisant...

Finalement, la baisse du moral des ménages en Octobre n’est pas une surprise. Mais au point où on en est, autant aller se coucher...
Avec les mêmes appréhensions que la veille... Mercredi midi, ça ira mieux...

samedi 25 octobre 2008

les produits toxiques bancaires : explications pour les enfants...

On reçoit pleins de bêtises par mail. J'aime bien.
Et cet après-midi, rentrant de courir, j'ai reçu une fable qui explique à merveille ces fameux "produits toxiques" dont on parle tellement souvent... Je vous la propose...

Ce sur quoi repose le système financier...
Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Pochtronville, dans un coin paumé... Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée.
Vu qu'elle vend à crédit, Mme. Ginette voit augmenter sa fréquentation et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du 'calva' et du ballon de rouge.

Le jeune et dynamique directeur de l'agence bancaire locale, quant à lui, pense que les 'ardoises' du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme. Ginette, ayant les dettes des ivrognes comme garantie.
Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers que nul n'est capable de comprendre.
Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, au Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement inconnues de tous (c.à.d., les ardoises des ivrognes de Mme Ginette).

Ces 'dérivés' sont alors négociés pendant des années comme s'il s'agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de 80 pays.

Jusqu'au jour où quelqu'un se rend compte que les alcoolos du troquet de Pochtronville n'ont pas un rond pour payer leurs dettes.

La buvette de Mme. Ginette fait faillite. Et le monde entier l'a dans le cul....

vendredi 24 octobre 2008

Y a des produits toxiques dans ma banque !!!

Dans mon environnement professionnel, je côtoie pléthores de produits toxiques. Mais des vrais : des chimiques, des nucléaires, des qui sentent pas bons, des qui faut surtout pas toucher et encore moins avaler. Du véritable "toxique", provenant du latin "toxikon" qui veut dire poison, et qui signifie "nocif pour l'organisme". Un poison, quoi, pas beau, pas toucher, lève tes sales pattes de là vilain garçon !

Et voilà qu'on me dit que dans les banques, il y a des produits toxiques... Pourtant, au Crédit Agricole de mon village qui m'a aimablement prêté de l'argent pour acheté ma petite maison (c'était avant le drame bien sur...), je n'ai vu personne en blouse blanche au guichet. Aucune sorbonne ni boite à gants, aucune tenue Mururoa... Et pourtant, il y a des produits toxiques...

Ce matin, avant d'attaquer, j'ai simplement voulu voir ce qu'étaient ces fameux "produits toxiques", parce que ça me parait bizarre tout ça... Bizarre et énervant, car voilà une des choses que je ne supporte pas, dans les médias et dans la vie de tous les jours : employer un terme sans l'expliquer, supposant que tout le monde sait ce qu'est un "produit toxique". Alors dans les micro trottoirs du Parisien ou de TF1, on verra la parent d'élève disserter sur les affreux "produits toxiques" de sa banque. Sait elle de quoi il s'agit ? Bien sur que non...
Mais qui sait vraiment ce qu'est ce "produit toxique" dont on ne cesse de nous marteler les oreilles ?

J'ai donc simplement tapé, sur Google, "produit toxique banque". Alors ça parle de bidons, d'Abidjan, du Mercure... Et puis en fouillant un peu plus loin, on arrive pas loin de chez moi.
La Provence parle de ces collectivités touchées par ces crédits toxiques... Oh putain, y a peut être des choses toxiques dans ma mairie, dans ma communauté de communes ! Dans ma Région même... Mais ça, je le savais. J'ai un Georges Frêche à la tête de la Région, et ça c'est hautement toxique, même si le Parti Socialiste du Languedoc Roussilon se ferait une joie de l'accueillir à nouveau dans ses rangs pour préparer les régionales de 2010 (je pense être davantage hermétique aus leçons de morale de la gauche locale, vous me pardonnerez ?).
La Provence parle donc de ces collectivités qui "possèdent des emprunts contractés par des structures territoriales, dont certains sont avec des taux basés sur des valeurs "exotiques" qui montent fortement ces derniers temps".

Tiens, la définition n'est pas mal... "Toxique" = "Exotique" parce que "taux variable qui monte, qui monte", comme la petite bêbêtte (qui monte et qui monte elle aussi, mais qui n'est pas toxique pour autant)...

Enfin, tout ne va pas si mal que ça à Marseille. Bon, la League des Champions, c'est mort, mais la ville de Marseille a évité le piège des "emprunts toxiques". C'est l'adjoint aux Finances de la ville qui le dit. C'est donc propre et sain dans ma belle ville de coeur, c'est ma copine Mumuse qui sera contente. Mais j'aurais bien aimé que Marseille évite également le piège du PSV, mais quand on oublie de se battre...

Et chez mes copains d'Outre-Quiévrain (coucou Internecivus Raptus), qu'est ce qu'ils en disent ? le Soir titre sur "un nouveau produit toxique", ça fout les jetons...
Ca commence à fond : "la crise financière n'en finit pas de contaminer (!) les circuits financiers. Après avoir infecté (!!) la famille issue des obligations, puis celle des assurances, voilà que le virus (!!!!) s'est attaqué à des produits en principe sûr (arf) les ARS...".

Je stoppe là. Je ne sais pas ce qu'est une ARS, mais déjà j'ai mal au ventre. Nous sommes dans les pages "économie" du très sérieux Soir de Belgique... Et j'ai l'impression de lire un article Biologie de Science et Vie... Michael Crichton ou Fox Mulder pourraient s'amuser à cœur joie, de ce virus qui n'a rien d'extra-terrestre, mais pas grand chose non plus de terrestre...

Et on reprend ce vocable de produit toxique, de virus, de maladie... Car finalement, tout ce vocabulaire biologique résume à lui seul une vérité claironné dans toutes les bonnes boucheries de province : le système financier est malade. Pas le système capitaliste, mais son excroissance maligne qui s'appelle système financier, celui là même qui ne repose sur rien de concret, rien de réel, sinon sur un sable diffus. Excroissance maligne qui est pleine de truc toxique dedans. Qui va pas bien...

Alors au final, je ne sais pas mieux ce qu'est un "produit toxique". Pas plus ce qu'est un "produit exotique".
Mais je vois qu'il y a un système qui n'est pas très en forme, on le savait. Après, même si les antibiotiques c'est pas automatique, il va bien falloir soigner cette tumeur laide et pas belle, qui rend le système bien malade...
D'autres bactéries pas forcément bénéfiques sont en train d'apparaitre ci et là, prenant les apparences extrémistes de Besancenot et ses copains Rouillan & Co dans nos frontières, ou de néo extrémistes de droites dans d'autres pays, dans cette belle Italie de Céleste, ou ailleurs.

C'est la première fois que je parle médecine et biologie sur ce blog... Parlons politique une minute quand même : très bon article sur François Bayrou dans le Figaro de ce jour. Un portrait assez intéressant à lire.

Et sur le reste ? Il fait froid...

Ps : rien à voir avec la crise... Mais magnifique, chez Minijupe, un Oenologue à 4 pattes !!!! J'adore :))))

Edit 08-10-25 : Deux points supplémentaires. Dans le Marianne de ce jour, très bon dossiers sur tous ces "trucs toxiques" et argent sale qui ont foutu le wouaï dans l'économie mondiale.
Et dans les commentaires, Ozenfant propose une explication relativement claire et pertinent de ces fameux "produits toxiques".

vendredi 10 octobre 2008

Soupir de crise : rendez vous avec l'histoire...

Les bourses s’effondrent… Titre en Une du Figaro.fr il y a quelques instants. Comme hier, comme sans doute demain… A non, demain c’est samedi, pas de bourse le samedi. Rien. Passer de 4500 à 3000 points en un rien de temps, c’est fou ce que l’économie française semble s’être dévalorisée en quelques mois, en quelques semaines… C'est spécial à vivre, un crash...
Et de Grenelles en Plan Marshall pour tenter de sauver ce qu’il reste encore à sauver, un sentiment assez troublant à la veille d’un match capital pour l’équipe de France de football. Sentiment, peut être faux, peut être troublé par le prisme d’une actualité spéciale, de vivre un moment historique. Un moment d’histoire, au sens noble de ce qu’est l’«Histoire» avec un grand H. Moment dont mes petits enfants, quand j’en aurais, me parlerons. J’y étais, même si je n’étais pas un acteur. Un simple observateur aujourd’hui, victime demain sans doute, comme beaucoup.

Enfin, un moment d’Histoire… Nous ne le serons qu’après demain si Octobre 2008 a été, ou non, historique. Et historique dans quel sens ? Tchernobyl (celui de 86’, pas de 2002) aussi a été historique. Catastrophique, mais historique. Octobre 2008, ce mois où la planète a plongé, sera-t-il historique catastrophique, ou historique salvateur ?

Il est évident que si les nerfs de ceux qui nous dirigent commencent à lâcher, et eux même à se lâcher et à laisser apparaître leurs vraies natures, le monde occidental risque de prendre encore plus mal aux dents. Passe encore les plan Paulson et autres qui consistent à effacer les conneries de ces quelques apprentis sorciers par de l’argent public. Un peu dérangeant comme idée, mais soit…
Par contre, on peut sans doute attendre de la part d’Accoyer, président de l’Assemblée, plus de décence. Amnistie fiscale pour ceux qui ont déserté le pays, non. Ce n’est pas convenable, pas aujourd’hui, sans doute pas non plus demain.

Ensuite, il y a cette critique du capitalisme. Je lis ci et là qu’il s’agit de la victoire du marxisme, presque du trotskisme, devant cette bête immonde qu’est le capitalisme. Si c’est vraiment le cas, autant que je me fasse ce soir une bonne soupe de cyanure avec une bonne bouteille de ciguë…
Je fais parti de ces libéraux républicains qui pensent que la création de richesse se fait grâce aux entrepreneurs qui produisent du vrai, du concret. Que ce soit du service, du produit, de l’intelligence. Mais ils font qu’on a quelque chose en plus aujourd’hui que hier. Et ils prennent eux même des risques, investissant dans l’outil de production, qu’il soit le salarié, la R&D, ou la machine à fabriquer quelque chose. Le risque de réussir et de s'enrichir bien sûr, mais surtout le risque de se planter.
Je me sens totalement étranger au monde opaque et abstrait de la finance. Et de cette logique financière qui ne repose sur rien…

CyberMamie nous avait fait découvrir la prairie de Bruno. Superbe blog avec une comptine nous expliquant la crise. Et CyberMamie résumait en gros la crise comme suit :
« une histoire de carottes qui ont été vendues sans avoir été cultivées, sinon dans la lune. »
Pour moi la meilleure définition de la crise actuellement rencontrée…

Après, comme toute période historique, qu’en sortira t’il ? Déjà, le monde verra qu’il est possible de mobiliser, pour des « grandes causes », des sommes faramineuses. Ainsi, sera-t-il encore possible, si l’orage passe grâce à des parapluies nationaux, de soupirer devant des caisses vides quand des thèmes tels la faim dans le monde, le sida, les catastrophes climatiques, la pauvreté, le réchauffement, la pollution, seront mis en avant ? Pourra t’on continuer à fermer les yeux après ça ?

Et pourra t’on accepter que les responsables de cette crise, ces certains grands dirigeants de groupes financiers et autres, qui ne produisent aucune richesse, continuent à s’engraisser sur la misère mondiale ?

Ou alors le monde continuera à tourner comme avant, sans rien changer ? Avec ses riches très riches, ses pauvres très pauvres, et ses marchands de sable s’enrichissant sur des carottes imaginaires ?

Sachant que demain sera de toutes manières plus difficiles qu’aujourd’hui, mis à part peut être pour ces riches très riches qui continueront à le demeurer. Personnellement, peut être mon plan d’épargne entreprise et les quelques sous qu’il y a dedans prendront mal aux dents, mais je sais ne risquer que peu de choses, en comparaison avec mes compatriotes plus faibles, et précaires. 2009 sera une année difficile, pour l’ensemble des ménages, pour les collectivités locales, pour les entreprises. Et le réveil sera douloureux...

La crise, c’est comme ça que ça s’appelle. C’est historique comme moment. Historique, mais pas si excitant que ça…
J’avais envie d’en parler. Modestement, de manière un peu détachée… Parce que si l’erreur est humaine, il me parait affligeant de continuer à persévérer dedans…

Persévérer dans l'erreur, comme celle de ne pas changer de sélectionneur en Equipe de France et d'attendre trois matchs que tout s'effondre... Oui, il reste le football, et demain un Roumanie - France qui risque de ne pas nous donner meilleur moral... Soupir.......