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dimanche 5 mai 2024

Mon automne-hiver 2024 avec Bon Jovi, et quelques soupirs

Semaine dernière je me suis amusé. Sur une musique de Bon Jovi qui s'appelle "Next 100 years", j'ai fait une composition qui mélange le logiciel de montage Capcut, et la fonction "souvenir" de l'iPhone. Elle était chouette quand elle permettait de mettre une musique.

Le thème ? Ben c'est mon automne hiver tel que je l'ai vécu, des paysages, des bouteilles, des matchs de hand, ma maladie pulmonaire (je fais 5 kg de plus qu'à la fin de l'épisode, mais j'ai pas envie d'en rechoper une de pneunopathie...). Et puis Bon Jovi, j'adore. 



Ca me rappelle mes années d'étude.
Je revois ce weekend ma bande de l'ECAM. On a un ami commun, un frère, qui est atteint d'un cancer assez vilain. C'est l'occasion de se voir. Je m'occupe du vin (j'aurais pu m'occuper faire le gateau mais chacun ses compétences). 
Cet ami a perdu son papa dans la semaine. Quand ça veut pas, ça veut pas... On essaiera de passer un bon moment.

Et puis no stress : Marseille ne joue pas ce weekend, et Nîmes va mieux. Et trés bien en Hand.

Une frustration tout de même (enfin, deux). Je fais demain et mardi mes deux jours de travail de Mai (peut être un cours en milieu de Mai). Et le Grand Prix qui part à 22 heures (je me serai déjà endormi depuis longtemps...)

Un dimanche cool. 

dimanche 31 décembre 2023

Clore 2023 sur un coucher de soleil

2023 est bientôt terminé. Pas le weekend qui se prolongera demain par un jour férié, et mardi mon boulot qui offre une journée à ses salariés. 

Il y a toujours un côté rituel. Clore un chapitre pour en ouvrir un autre. Faire bruler des voitures, sauter des bouchons de champagnes, danser jusqu'au bout de la nuit. Pour fêter le passage à l'autre année. 

Les photos de coucher de soleil ces derniers jours m'évoquent ce sentiment. Ce soir sera la fin d'une année, mais aussi la fin d'une semaine, la fin d'une journée. Demain, y a 2024 écrit mais les choses recommenceront. Le travail, l'école, le printemps, les bourgeons, la chaleur, la rentrée, Noel. Entre temps il se passera pleins de choses, mais je n'ai pas suffisament d'imagination pour savoir quoi.

Je me souviens qu'en fin 2019, nous étions à Frontignan, en bord de plage, en famille avec mon meilleur ami. Tielles, super repas, supers vins. 
Le 1er Janvier 2020 tout le monde était malade, gastro et grippe. Un courrier qui m'a fait du mal m'attendait au retour le 2 Janvier. Le 1er Février j'étais nommé chef dans un collectif toxique, avec une N+2. Et en Mars arrêt buffet général avec le confinement. J'aimerais savoir ce que j'écrivais à cette époque...

Ce soir, je pense que pendant que notre Roi Soleil parlera, je mettrai Yuyu Hakusho sur Netflix. C'est excellent, mais y a que 5 épisodes. Ensuite je ne sais pas ce que nous regarderons, soirée juste tous les 4. On boira du Champagne et du bon vin et on mangera bien.

Après, je ne sais pas si je tiendrai jusqu'à minuit. Depuis hier, la toux est revenu, et un syndrome grippal similaire à celui que j'ai début Novembre. Je pensais avoir fait le plein de globules blancs, mais cela n'est pas si évident...

Bonne fin d'année à mes collègues de blogs, de Twitter, et à ceux qui passent par là. Et à demain. 
 

vendredi 29 décembre 2023

Soupirs de blog et de vie et photos de Lirac

Je n'aurais que peu bloguer cette année. 109 billets au compteur, c'est plus que l'an passé (102). Mais infiniment moins qu'on 2010 (583, mais ça faisait plus d'un billet par jour, c'était chouette mais un peu n'importe quoi)

A l'époque, comme mes copains, j'étais constamment sur Sitemeter pour voir le nombre de lecture. Mon dernier billet sur Jacques Delors n'a fait ce jour que 12 vues alors que je l'ai écrit avec mon coeur. Mais quelque part, nous n'écrivons ni pour être lu, encore moins pour être "influent", pour reprendre un terme de l'époque. 
Sitemeter nous permettait aussi de voir d'où venait les gens qui venait nous lire. De quel lien, parfois même de quel endroit. C'était amusant. 

Nous avions aussi le Wikio, pour voir qui nous citait en lien. "Des liens bordel des liens" était un mantra. 

Il y avait des billets que je commençais sans savoir où ils finiraient, ni quand ni comment. Celui là, après une journée d'un froid soleil à marcher dans les vignes de Lirac, est un peu de ceux là. 


En marchant, je pensais un peu à cette année qui vient de passer. Nicolas, peut être le seul blog que je lis régulièrement (pour la qualité de ses contenus, mais aussi parce que j'aime beaucoup le taulier) a écrit un billet retrospectif. Assez dur, qui rappelle que nous ne sommes que des êtres humains, et que le temps qui passe ne nous épargnera pas. 

"2024, en route vers le pire" est le titre de son billet. Rire pour ne pas pleurer et ne pas avoir peur. Ca reprend une phrase de Montaigne : "Un bien ne succède pas forcément à un mal, un mal encore pire peut lui succéder". Cette phrase est terrible mais si vrai. Elle s'applique à la politique (dans ses Essais, il parlait politique). Elle peut s'appliquer à la vie. 

J'ai vécu un période 2018-2023 comme un tourbillon qui accélerait toujours. Au moment où je pensais que ça se calmait, ça repartait plus vite, plus fort. Soit c'était externe, le Covid, des drames, un management toxique, la santé. Soit c'était moi, qui faisait une connerie avec impact maximal, qui faisait du mal et me faisait du mal. 


2023 a été plus calme. Sans doute prendrais je le temps de me retourner tranquillement, avec bienveillance, sur cette année. En Mars, une prise de sang m'a fait prendre conscience que je touchais les bords. Et qu'il fallait faire attention à ma santé. Pour autant, malgré une infection pulmonaire en fin d'année, j'ai l'impression que les choses se sont bien passés.
Le lendemain de ce Noel, je pese 8 kg de moins que l'an passé même époque. Et même taux de masse graisseuse. Mes analyses de sang sont redevenues bonnes.

Au boulot, la personne qui m'a fait beaucoup de mal, à moi et à d'autres, a quitté la boite. Et j'ai évolué positivement. Finalement, les choses vont bien. Les enfants grandissent. Tout ne va pas si mal.

Et poutant en marchant, j'avais peur que tout ceci ne soit qu'un rêve. Que le tourbillon réaccélère. Je sais que le temps qui passe fait que les enterrements seront plus nombreux que les mariages. Mais pourtant...

Un billet pas des plus joyeux. Pourtant je vais bien. Enfin, pas trop mal. 

Le Lirac, ce soir je le boirai. Pas forcément avec modération. Je verrai Janvier pour calmer les exces...
 

dimanche 26 décembre 2021

Lirac en hiver

Promenade la veille de Noel. Dans un village particulier, mais où je me sens chez moi. Partir marcher à Lirac, ça peut faire faire beaucoup de kilomètres. 

Ces photos ont été prises veille de Noel. Tout allait bien. Enfin, tout allait bien... J'avais le travail en tête, qui ne m'aura pas quitté. 
Ce que j'aime dans ces promenades, c'est les coins où le téléphone ne passe pas. Mais je pense que bon.



Noel s'est bien passé. Bon, manque de bol, un neveux a eu la mauvaise idée de réussir le test ce matin. Donc bon. 

Mardi, j'ai prévu 7eme tentative de curage du nez. Ca fait rire un ami. Moi j'ai la larme à l'oeil.




La larme je la garde. Et le truc dans la gorge et dans le ventre reste fort et intense. 

Pas de blues du dimanche soir ce soir, je suis en vacances. Mais... 




vendredi 18 décembre 2020

Vacances et vignes gardoises endormies

Très grosse marche aujourd’hui pour mon premier jour de vacances. Il faisait beau dans mes vignes gardois es endormies...


Début de semaine j’étais malade. Test négatif de mon côté. Hier je me disais « pour une fois qu’il y aura quelque chose de positif depuis le début de ce mandat a l’Élysée », mais c’est de l’humour noir. Jupiter est touché, il est humain. Comme nous. 

Qu’il se soigne. Mais quand on est malade on arrête de bosser et on se soigne.




jeudi 2 avril 2020

Carte postale de Caderousse et pensées professionnelles

Quelques photos prises un soir de fin Février à Caderousse, un délicieux village entouré par une digue qui le protège d'un Rhône voisin qui a toujours été capricieux et violent.


J'ai pris ces photos un vendredi soir de fin Février. C'était l'enfer au boulot. J'avais besoin vital d'aller marcher, dans un coin différent. Je suis allé à Caderousse, un village devant lequel je passe à l'aller et au retour du boulot, sans prendre le temps de vraiment m'y arrêter. Là je l'ai fait ce soir.

J'ai trouvé les lumières fantastiques. Mais les lumières de la fin de l'hiver sont géniales. Avec les arbres encore tous nus, cela donne des paysages vraiment sympathiques.



J'ai l'impression que ces photos datent du siècle dernier. Pourtant c'était y a à peine un mois.

Au boulot, c'était déjà l'enfer. Dans cette période confinement télé-travail, c'est pire. Avec une différence, c'est que j'ai repris un peu de poil de la bête. Un peu beaucoup même. Et je n'accepte plus ces hérésies que j'acceptais encore y a un mois.
Oh, ça ne rendra pas la vie professionnelle plus acceptable. Je sais ne pas être le seul, mais je suis humainement consterné de constater que cette période "de guerre" ne rend pas les échanges boulot plus humains.

Aujourd'hui, nous avons des Directions qui ont dépassé l'inhumanité. Nous ne savons pas de quoi demain sera fait et on nous demande, chacun confiné en télétravail, des choses qui n'ont ni sens ni vraiment d'importance...

Je suis ingénieur. Je serai tellement plus utile à ma société si j'étais médecin, agriculteur... Si mon boulot servait à nourrir des bouches, à sauver des gens, à les éduquer...


Je sais que le monde de demain n'aura plus rien à voir. Déjà mon état d'esprit est ailleurs...

Tout à l'heure, une amie m'a téléphoné car elle a rêvé que j'étais mort pendant la nuit. Hier soir j'avais une discussion hallucinante avec mon chef, tellement hors du temps.
Oui, demain je peux être mort. Nous pouvons tous être mort. Je ne serai pas "avancé" cette année au boulot ? Et alors... Je gagne bien ma vie. Nous avons des commerces pas loin.

Finalement je n'aspire qu'à une seule chose : être heureux. Et cela n'est pas en travaillant sans sens ni logique que cela sera le cas.

Cette crise aura apporté des choses nouvelles... En tous cas, je ne sais pas si j'ai vraiment envie de continuer à me rendre malade à cause du travail.



vendredi 27 décembre 2019

Carte postale d’Orange un soir d’hiver #Provence

Quelques photos prises un soir d’hiver sur les hauteurs d’Orange. La colline Sainte-Eutrope qui domine cette magnifique ville romaine. A deux pas de chez moi, juste le Rhone a traverser. Mes deux bébés sont nés ici.

Les soirs de décembre, la lumière est magnifique. Sur le théâtre antique qui devait être brûlant cet été, il donne un aspect doux et chaleureux. Un feu de cheminée provençal. 


Une vierge domine la colline.


De l’autre côté de la colline, vue sur le Ventoux. Des villages chers à mon cœur. 



Un billet de rien, entre deux fêtes. Pour finir l’année. Sur des jolies photos. Des photos de chez moi. Pas vraiment la peine d’aller loin pour trouver des trésors. 



Orange est un trésor. 

vendredi 28 décembre 2018

Avignon en hiver #Provence

Je triche. Je reposte des photos d'Avignon un 1er Janvier, que j'avais posté dans ce billet ici. Je triche...

J'avais envie de poster des photos d'Avignon. Car je pense que je commencerai mes photos du soir sur mon grenier du Faucon par Avignon. 


J’écris ce billet une bière de Noël à la main. La télé est éteinte. Mon iPhone sur la chaîne diffuse des jolies chansons. Tout à l’heure « on veut des légendes » de Eddy Mitchell. La un truc japonais. C’est chouette.

Les enfants jouent à la switch. Ils en ont une à noël. Je n’y comprends rien mais eux se régalent. Je suis encore manette à la con, même si elle a un un fil. Je suis vieux. Eux sont jeunes. Et ils sont heureux. Et c’est bien.


Dans le billet originaire, j’écrivais ça.
« Tout en haut du rocher des Doms (le petit enfant que j'étais l'appelait Rocher des dindons) on voit le Rhône. Aujourd'hui je l'imagine en crue. Il y a quelques jours, il était calme. En face, Villeuneuve-lèz-Avignon et le Gard nous contemple. Et on observe le Pont d'Avignon. »

Je n’ai rien à rajouter. C’est la vérité. La Tour Philippe le Bel et le Gard sont toujours en face.

La rue de la République était calme. J’imagine que demain dimanche elle le sera aussi. Quand les gilets jaunes ou la CGT se font débordés par les hordes de délinquants qui viennent des quartiers sud, elle l’est moins.


Le palais des papes reste quand à lui merveilleux, imposant. J’ai posté ici une photo de ce même palais sous un arc en ciel. Il est bon en n’importe quelle saison.
C’était dans ce palais, lors d’un congrès professionnel, que j’avais appris que bébé Faucon aurait un petit frère, 


A part ça la fin de l’année est difficile. On ne se remet pas d’une crise majeure avec un simple chiffon imbibé de synthol. Normalement c’est plus dur que ça, plus long.
Noël est une fête qui doit être belle. Pour moi, ça fait plusieurs années que c’est difficile. Mais ce n’est rien d’exceptionnel : toutes les familles du monde ont leur problèmes. Et sans doute tous les enfants ont des histoires avec leurs parents à régler, devant un psy ou ailleurs.

L’important était que mes enfants soient heureux. Mon meilleurs ami m’a dit un jour que son père lui avait « les histoires d’adultes restent entre adultes. Restez avec vos histoires d’enfants ». C’est tellement mieux. Les enfants ont été heureux.



Moi je confesse que la tristesse qui a rendu 2018 amère, et qui m’a sans doute amené dans des ornières où j’aurais pu laisser et la voiture et le conducteur, reste présente. 

Après il reste une croix, un mur porteur, un symbole sur lequel s’appuyer. Il reste le foyer. Les enfants. Falconette. Le reste... On verra plus tard.
Bon Jovi dans mon iPhone chante « No apologies ». Pourtant le pardon est ce qui permet au monde d’avancer... mais quand on ne se pardonne pas à soi même ses propres faiblesses ?

Allez. Parler de pardon sur une dernière photo que je trouve magnifique, c’est pas mal non ?

mardi 4 décembre 2018

Morceau de décembre

Ce billet ne sert à rien. J’ai essayé l’appareil photo de mon iPad Pro. Il marche bien. Mais je préfère celui de mon iPhone qui reste le 7, je suis en retard technologique, mais j’ai plus de sous.

J’ai une amie proche (peut être trop) qui m’a dit cette expression de « grand 8 émotionnel ». C’est vrai que sur le dernier trimestre 2018 j’y aurais été à fond.
Je me demande quand même ce que physiquement et moralement c’est en vrai le grand 8 émotionnel. Passer en une journée d’un abattement formidable à une euphorie irréaliste pour retomber le soir même dans une apathie qui se soigne par le silence et, vue la cave que j’ai, par quelques verres, je me demande ce que c’est.

J’écris très personnellement. Les seuls cachets que je prends sont aujourd’hui des vitamines. Parfois des trucs pour dormir plus vite (mais pas trop). En tous cas, j’ai conscience aujourd’hui d’être dans une spirale pas top.
Pourtant j’ai une femme formidable, et des enfants merveilleux. 

Et tout va bien. Je me sens « gilet jaune » mais j’ai de l’argent, un travail, la santé. Une vie sociale riche. Des vrais amis. Mais il y a ce « mais ». 
Ce blog devient le premier étage d’une fusée psychanalyse.

Demain je parlerai de Modric ballon d’or. Ça c’est formidable.


lundi 12 mars 2018

Ventoux de fin d’hiver

Carte postale de chez moi. De l’autre côté du Rhône. L’Aygues (ou Eygues je ne sais pas) s’écoule, souvenirs des dernières pluies. La fonte des neiges la grossira. Puis cet été elle sera asséchée comme l’électorat des verts. 



Ça fait des jolies photos.



Demain je reparlerai de Melenchon ou des décisions de Macron pour encore faire un peu plus mal à ceux qui bossent honnêtement.

Mais aujourd’hui j’avais envie de jolis paysages. Un billet de pas grand chose, mais ceux sont mes préférés. 

samedi 24 février 2018

Brumes de février

Un billet de rien avec une photo tirée de mon jogging glacial de ce matin. A l’image de l’humeur du moment.

Il paraît que le Languedoc et le Gard seront épargnés par la vague de froid. 

A part ça rien. Pleins de sujets m’agacent (dernièrement la loi consommation en préparation qui va encore faire mal au pouvoir d’achat) ou m’écœurent. Mais il fait froid aussi sur les doigts qui tapent le clavier de la tablette. 

Je bloguerai mieux un autre jour, promis.

mardi 30 janvier 2018

Carte postale de Paris en janvier

Un weekend sur Paris. Tous les deux, en laissant les enfants en bas chez papy et mamy. Pour profiter, pour marcher (beaucoup, presque 90 bornes...). Et revoir des quartiers, des endroits qu'on a vu pleins de fois. Mais qu'on redécouvre, avec un ciel bas et gris, tout bas. Et avec une Seine qui déborde de partout.


Quelques photos d'un provincial qui monte à Paris et veux voir certaines choses. Bien sur les alignements de l'Elysee. 


La Tour Eiffel même si les travaux sont penibles.

Les Champs Élysées. Le Fouquets était derrière moi quand je prenais cette photo.



Puis rive gauche, après avoir rit en passant devant Solférino. Quelques endroits supers. La Sorbonne,


L'église Saint Sulpice que le Da Vinci Code avait remis en avant.



Et des grandes rues où on Marche dans ce Paris du soir, de la fête mais pas que. Ici la promenade à Pigalle.



Passer du sexodrome au Senat c'est le charme de Paris.


Puis Notre Dame des Champs, une église au milieu du boulevard qui fait façe a Montparnasse, et doit se dire que les Champs s'était y a longtemps 


Fin de ce long billet par la pyramide. Oui elle a une symbolique qui insupportable certains, et oui même Macron s'en est emparé. Mais je trouve qu'elle est une fantastique image de la France que j'aime.


J'ai trop de photos à partager. Je ferai d'autres cartes postales, peut être plus longues. Ce soir je suis crevé...

vendredi 29 décembre 2017

Soir d'entre deux fêtes et de whisky

Photo d'un soir d'entre deux fêtes, où dehors il fait froid. Très froid. Le whisky c'est bon. Calorique me dit mon docteur, mais bon.


J'ai découvert le Laphroaig. Je ne connaissais pas. De nom, mais jamais goûté. Je ne connais pas tout, et heureusement il me reste pleins de jolies choses à découvrir... (et ma cave a whisky personnelle, agrémentée de quelques cadeaux de Noël, me garde quelques surprises)



Devant sa cheminé, avec les enfants pas loin, c'est super.

Un soir d'entre deux fêtes. Avec les films à regarder avec les enfants ("Tous en scène" est merveilleux), ou avec qu'un seul (le dernier Spiderman). 
Peut être que quand les enfants seront couchés on regardera Sully ou "la fille du Train". La fin d'année est propice aux films...

Ceci est l'exemple type du "billet de rien". J'adore les écrire...

dimanche 29 janvier 2017

Winter si coming aussi chez moi

Photos prises cette semaine, dans mon jardin. Le Gard a été frappé d'une vague de froid qui a blanchi les paysages et l'ambiance.

Glaciale aussi l'ambiance politique en ce moment. L'histoire Fillon, dont je ne sais trop que penser. La victoire d'Hamon que je considère être celle des zadistes de Notre-Dame-des-Landes et des manifestants pro-palestiniens qui ont mis Paris en feu il y a une paires d'année. Elle ne me plait pas, cette victoire d'Hamon...



Et il y a le reste. Une proche de ma famille qui est en fin de vie, et c'est pas rigolo une fin de vie. C'est la femme de mon tonton qui était fou supporter de mon OM, qui est mort il y a deux ans à quelques jours du début d'une superbe coupe du Monde au Brésil. 
J'imagine qu'il aurait eu les mêmes remontées gastriques que moi de voir la signature de Payet ou Evra, dignes titulaires du Racaille Football Club qui gangrène notre football.


L'hiver vient. Aussi chez moi. C'est joli sur les paysages, mais ça fait un peu mal dedans.

Et je ne sais pas trop où on va...