vendredi 7 décembre 2012

Vincent Peillon et son gros melon

Vincent Peillon a la tête comme un gros melon. Je n'ai jamais ici caché les profondes réserves que j'avais pour ce personnage, aux pratiques politiques parfois contestables...

L'histoire narrée par le Lab d'Europe 1 m'a amusé.
Vincent Peillon ne se déplace pas pour rien. L'anecdote est rappelée ce 5 décembre dans les confidentiels du Figaro. Invité par l'Ecole supérieure de commerce de Paris le 30 novembre à l'occasion d'un débat ayant pour thème "Sortir de l'école de la défiance", le ministre de l'Education nationale a préféré tourner les talons ... voyant que seule une cinquantaine de personnes étaient présentes pour l'écouter. Au lieu des 400 prévus.

Blasé, le ministre aurait lancé à ceux qui semblaient l'oublier :

"Je suis quand même numéro trois du gouvernement !"
Ben oui...

Apparemment, la journaliste de Libération Véronique Soulé, présente (et qui a narré la scène sur son blog), s'est retrouvé "sidéré".
Bah, c'est le numéro trois du gouvernement quand même... Avec un gros melon à la place du carafon, mais ça c'est une autre histoire, l'histoire de Vincent Peillon et son gros melon...

4 commentaires:

  1. Peillon n'a pas l'apanage de ce genre de comportement puéril. Ils sont tous un peu mégalos. Mais je te l'accorde, Peillon n'est pas non plus ma tasse de thé. Je l'ai trop vu manoeuvrer et trahir après le congrès de Reims pour savoir à quel point c'est un faux cul.

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  2. Nicolas, et oui.

    La parisien, de la part du "numéro trois du gouvernement", même pas (il est capable de pire).

    Gabale, salut ami Lozérien !
    Je pense que tu partages la même chose sur Peillon. Qui n'a certes pas l'apanage de ce comportement à la con. Mais qui l'a déjà montré plusieurs fois.

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