Une suite à mon billet d’hier. Est ce possible de continuer à parler de solidarité nationale quand on la fait porter par une minorité d’honnêtes travailleurs (en leur augmentant impôts et taxes et en les menaçant d’une autre « journée de solidarité » non payées) quand on voit que cela permet aux bloqueurs masqués de Tolbiac ou à cette zadiste de vivre ?
Le terme « parasite » est humainement peut être difficilement supportable. Mais on y est proche.
Demain je me lèverai encore pour travailler et financer cette solidarité nationale... (et permettre à cette dame de se soigner quand elle sera malade par exemple...)
Bah ! Ils sont la risée du web. Mais le gouvernement manque un peu de couilles.
RépondreSupprimerOui tu as raison.
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