Hier Nicolas a écrit un joli billet sur les blogguers qui nous ont quitté. Je me souviens de cette soirée où ce blogueur (dont j’ai oublié le pseudo...) venu avec des cadeaux pour nous. Une gentillesse. J’ai son livre (il travaillait dans une grande maison d’édition) « dessiner manga ». Je n’ai jamais su dessiner. Mais bébé Faucon adore ce livre et il s’entraîne.
Je pense à lui.
Hier c’était les 10 ans de la mort de mon papy. J’y ai pensé. Mais j’ai mis en avant la peur du COVID et cette ambiance anxiogène où le boulot devient mortifère avec nos masques pour ne pas aller voir ma mamy. J’ai fait celui qui a oublié mais depuis un mois mon Facebook dort aussi.
Je ne suis pas mort, je dors. Je suis énervé, en colère, face à tout. La société. Hier je voyais qu’on dit vouloir arrêter d’emmerder les français. Et le gouvernement de remettre un coup de hache sur les restaurateurs en voulant interdire les terrasses chauffées, pour « sauver la planète ».
On se fout du monde, scientifiquement les chiffres sont clairs : durant ce confinement 80% d’activité de moins mais moins de 10% de CO2 relâché en moins. Et la fermeture de Fessenheim augmente ces taux.
Et ce monde d’après où des Traoré deviennent des icônes, et où des incultes détruisent des statues et des plaques « Victor Hugo » me donne envie de dormir. Ce monde pue.
J’ai mis une photo de fontaine de Vaucluse et de la Sorgues pour atténuer le billet. Bon, syndrome de la grotte oui. Mais y a pas que ça.
Je ne vous pas qui tu parles. Ce type dans une grande maison d’édition.
RépondreSupprimerL'eau coule.
RépondreSupprimerLa roue tourne.