Je suis sur Dijon ce soir. Hotal Campanille... J'ai froid, j'ai une sorte de vilaine creve qui ne veut pas passer, et que la fievre n'arrive meme plus à abattre.
Je suis sur Dijon, et dans mon Gard, mon meilleur ami me demande s'il peut passer prendre l'apéritif chez moi. Il vient de connaitre ce qu'est cette "piqure d'Antares", quand celle qu'on aime s'en va en laissant au milieu de la poitrine une pique béante, qui fait mal à hurler. Et moi, je suis à Dijon... Je viens de boire un Macon blanc merveilleux, mais je suis là haut. Et je ne suis pas en bas... Et je ne rentrerai que demain, où ma maison sera ouverte à cet ami qui ne m'a jamais fait défaut. Mais ce soir je ne suis pas là.
Je culpabilise ? Même pas... Mais je suis un peu beaucoup triste quand même. Antares, je l'ai reçu aussi. Et ils sont soit rares, soit menteurs, ceux qui disent ne jamais avoir subi l'attaque du Scorpion. Antares... Une attaque qui fait mal, trés mal, à en pleurer... Mais qui n'a jamais tué personne. C'est ce que je me dis pour me consoler, pour consoler ceux qui souffrent et que j'aime, de ce genre de blessure.
Mais merde, c'est obligé d'être amoureux quand on voit le putain de mal que ça fait ? Demain soir, quand je rentrerai chez moi, je répondrai sans doute que oui... Ou que du moins, pour les moments de francs et réels boonheurs, autour d'un verre de rosé et d'un épisode de MadLax ou d'Argento Soma (je mets en dehors les Rois Maudits), ça vaut le coup... Mais que de blessures avant... C'est dommage.
Enfin, mon ami, je suis loin, mais je pense à toi... Ca fait une belle jambe et ça ne fait revenir personne... Mais bon... C'est sincère...
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