Finalement je n'aurais pas courru. Trois pas avec mes nouvelles basket de "running", et des fourmis dans le bas du dos. C'est amusant, c'est drole, ça chatouille, mais ça donne pas forcément d'aller plus loin dans la foulée...
J'ai voulu recommencer, aprés presqu'un mois d'arrêt, là où j'ai vraiment "commencé" la course à pied, en Mars 2004. Avec mon ami qui vient partager les encornets ce soir, nous sommes allés courrir dans ce coin de Roquemaure appelé 'Gargantua' (oui, le même). Entre la faille de Roquemaure (celle que je visitais en cours de biologie au collège, et que je voyais presque depuis ma maison) et ces belles vignes de Lirac. Et plus loin, il y a des caves particulières à pleurer, Castel Oualou, Assémat, Saint Roch...
C'est donc là que j'ai pris gout à un sport que je honnissais quand j'étais collégien, lycéen, étudiant. Courrir, à quoi bon ? Aprés une balle de tennis ou un ballon, soit. Mais comme ça, pour le fun, c'est... C'est con. Et pourtant c'est génial car ici, ça sent bon le printemps quand il se réveille, ou la nature quand elle se couche. Ca sent la terre, ça sent le "chez moi". Et c'est super de courrir dans ces cadres.
Et puis la course à pied, pendant mes déplacements en Normandie, en pays Giennois ou à Bordeaux, m'aura été utile. C'est chouette de courrir, on prend une paire de basket dans son sac, éventuellement son lecteur MP3 (je cours avec Saccomano, Poincaré ou Kajiura), et on est bien et content. D'autant plus quand dans les oreilles se passent des choses aussi belles que sous les yeux.
J'ai des souvenirs de ce coin, Gargantua. En revenant d'une course en Avril 2005 m'attendait un mail d'un retour qui n'aura pas duré longtemps. J'étais allé courrir avant Marseille - Newcastle en demi finale, et j'ai fait pareil avant Marseille - Valence espérant le même dénouement. Et quand ça n'allait pas trop à cette époque au boulot, à la maison, chez mes parents, c'est là bas que j'allais courrir. Joli coin, j'y reviens, je n'y suis pas retourné depuis mon retour à Roquemaure.
Sauf que voilà, sans vouloir jouer le défaitiste idiot, je me fais cinq minutes du soucis. Trois foulées avant que la gène, sans parler de douleur, revienne. Et là, ça fait 1/4 d'heures que je suis rentré, et ça fourmille toujours. Je n'aime pas ça.
Enfin c'est pas grave. J'ai les pèches - mozzarella qui attendent, un Duras pour accompagner les encornets, et une bonne soirée qui attend. Et non, je ne regarderai sans doute pas France - Ukraine : tant que Raymond Domenech se moquera du monde et de la France... (mais j'aurais bien vu hier soir Angleterre - Brésil, parait que c'était super).
En PS : j'ai l'impression que quand le site de stockage de données "snapdrive.net" ne veut pas marcher, mes musiques, qui sont hébergées là bas, ne veulent pas non plus. Dommage, je tenterai avec Radioblog... Mais le plus important est là : j'ai compris comment ça marche, merci Luc.
J'ai voulu recommencer, aprés presqu'un mois d'arrêt, là où j'ai vraiment "commencé" la course à pied, en Mars 2004. Avec mon ami qui vient partager les encornets ce soir, nous sommes allés courrir dans ce coin de Roquemaure appelé 'Gargantua' (oui, le même). Entre la faille de Roquemaure (celle que je visitais en cours de biologie au collège, et que je voyais presque depuis ma maison) et ces belles vignes de Lirac. Et plus loin, il y a des caves particulières à pleurer, Castel Oualou, Assémat, Saint Roch...
C'est donc là que j'ai pris gout à un sport que je honnissais quand j'étais collégien, lycéen, étudiant. Courrir, à quoi bon ? Aprés une balle de tennis ou un ballon, soit. Mais comme ça, pour le fun, c'est... C'est con. Et pourtant c'est génial car ici, ça sent bon le printemps quand il se réveille, ou la nature quand elle se couche. Ca sent la terre, ça sent le "chez moi". Et c'est super de courrir dans ces cadres.
Et puis la course à pied, pendant mes déplacements en Normandie, en pays Giennois ou à Bordeaux, m'aura été utile. C'est chouette de courrir, on prend une paire de basket dans son sac, éventuellement son lecteur MP3 (je cours avec Saccomano, Poincaré ou Kajiura), et on est bien et content. D'autant plus quand dans les oreilles se passent des choses aussi belles que sous les yeux.
J'ai des souvenirs de ce coin, Gargantua. En revenant d'une course en Avril 2005 m'attendait un mail d'un retour qui n'aura pas duré longtemps. J'étais allé courrir avant Marseille - Newcastle en demi finale, et j'ai fait pareil avant Marseille - Valence espérant le même dénouement. Et quand ça n'allait pas trop à cette époque au boulot, à la maison, chez mes parents, c'est là bas que j'allais courrir. Joli coin, j'y reviens, je n'y suis pas retourné depuis mon retour à Roquemaure.
Sauf que voilà, sans vouloir jouer le défaitiste idiot, je me fais cinq minutes du soucis. Trois foulées avant que la gène, sans parler de douleur, revienne. Et là, ça fait 1/4 d'heures que je suis rentré, et ça fourmille toujours. Je n'aime pas ça.
Enfin c'est pas grave. J'ai les pèches - mozzarella qui attendent, un Duras pour accompagner les encornets, et une bonne soirée qui attend. Et non, je ne regarderai sans doute pas France - Ukraine : tant que Raymond Domenech se moquera du monde et de la France... (mais j'aurais bien vu hier soir Angleterre - Brésil, parait que c'était super).
En PS : j'ai l'impression que quand le site de stockage de données "snapdrive.net" ne veut pas marcher, mes musiques, qui sont hébergées là bas, ne veulent pas non plus. Dommage, je tenterai avec Radioblog... Mais le plus important est là : j'ai compris comment ça marche, merci Luc.
des encornets. Je t'envie. Je n'ai pas pu aller aux halles et ce sera encore morue. Pas mal mais je m'en lasse. Les photos sont tout simplement magnifiques. Civilisées.
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