C'est le printemps... Mais des fois, c'est dur d'entendre les oiseaux chanter et de sentir l'odeur retrouvée des fleurs qui se réveillent...Petite pause de blog et de net je pense... Petite pause...
mais putain, tu vas me manquer...
Bienvenue chez moi
Bienvenue dans ma maison.
Ici, Le respect qui accompagne la critique et le débat est le bienvenu. Insulte ou attaque personnelle (sur moi ou autres) non. Et il est interdit de venir casser les couilles du taulier que je suis (et des autres commentateurs).
Anonymes, passe ton chemin.
Tu peux t'inscrire avec un compte Blogger ou en t'inscrivant à plein d'endroit... C'est bien de savoir avec qui on discute...
Très elliptique, ce billet. C'est trop ou pas assez...
RépondreSupprimer(Et prem's, tiens !)
Tu t'en vas ?
RépondreSupprimerJuste quand l'OM gagne, tu t'en vas faire un tour!!!
RépondreSupprimer;^)
Gnééé ???????
RépondreSupprimerBon au cas ou... tu sais que j'ai une adresse email et qu'elle t'accueille toujours avec plaisir, et avec tendresse quand il faut. :)
Allons bon, qu'est ce qui se passe t-il ?
RépondreSupprimerL'heure n est pas a la cloture de blog, il se passe trop de choses a coucher sur la toile, non ? Alors couchons, couchons
Biz
Ahhh... Il n'est plus solitaire et aride destin que celui de ceux qui survolent le monde.
RépondreSupprimerQuand l'envie se partage entre l'oubli et le voyage, que la terre exhale avant de reprendre souffle...
Tes paroles me rappellent comment je chantais Mister Winter à ma fille. Sa joie du partage et de l'émerveillement. Et quand enfin seul au coeur de la nuit, l'âme en peine et le coeur serré sans raison, c'est Giono et son chant du monde, ses bourgeons luminescents et les eaux dures de la Durance qui m'accompagnaient.
Arg ! FalconHill,
RépondreSupprimerDeux jours sans publier ! On s'inquiète !
Exact ce que dit Nicolas.
RépondreSupprimerTu es passé où ?
Trop c'était trop, je ne te connais pas mais j'ai bien senti, un immense ras le bol de tout de rien, de pas grand chose et merde...
RépondreSupprimerles anonymes, les inconnus qui te lisent sont pourtant là, et t'attendent en étant plus inquiet que curieux, on est là, avec toi.
Il y a un truc que je sais, au fond de la piscine, tu donnes un coup de pied et tu remontes, un tout tout petit coup de pied suffit!
Salut à tous,
RépondreSupprimerA défaut d'un billet, un commentaire pour d'abord vous remercier. Ensuite parce que je vous dois quelques explications, de ce billet très éliptique et nébuleux (le sage Didier a raison).
Non, le ras le bol que j'ai, bien réel, n'a rien à voir avec la politique. Rien à voir avec la blogosphère...
Simplement, ben c'est vrai que derrière le blogueur y a un être humain, ici comme ailleurs. Et qui est parfois frappé par des choses de la vie qui font que des choses qui plaisent et donnent du plaisir par moment deviennent insignifiante, voire même douloureuse...
J'ai perdu samedi matin un être très très très cher. Qui a été enterré hier, dans son village, en grande pompe. Faire la une de Midi Libre pour son départ ailleurs, c'est un bel hommage, mais ça ne fait pas revenir les gens qu'on aime...
Alors j'avoue que j'ai beaucoup de mal à écrire en ce moment. Beaucoup de mal à m'énerver sur les politiques. Beaucoup de mal à me réjouir de la victoire de Marseille. Beaucoup de mal à profiter d'un Lyon Bordeaux ou d'un Barcelone Arsenal. Beaucoup de mal à apprécier un bon verre de vin. Beaucoup de mal à vivre normalement, tout simplement...
Donc voilà, le blog n'est pas mort. Considérons juste un peu de repos, pour essayer de repartir un peu en avant... Là, c'est pas évident.
Mais on y arrivera peut être...
Bonne journée, et merci
Tu vois, tu arrives à dire :-)
RépondreSupprimerBon courage.
Et bien reposes toi un bon coup, ça aussi, parfois, ca fait vraiment du bien.
RépondreSupprimerBon courage
bisous
La vraie vie a de ces retours-là, qui la font parfois ressembler à un boomerang. Mais un boomerang qu'on n'arrive jamais à reprendre en main : c'est pénible.
RépondreSupprimerDidier, oh putain que c'est vrai...
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