Nous savons ce que fait M. le Premier Ministre de ces journées. Il existe, vraiment. Aujourd’hui, il va planter un arbre. Voilà. La France est bien gouvernée.
Avant cela, M. Le Premier Ministre aura traité M. Le Ministre de Travail de « petits cons qui veut lui piquer sa place ». C’est Santini qui l’a dit, il était derrière la porte. Et en voyant le ministre du Travail sortir, le Ministre des Grosses Têtes a rassuré son interlocuteur de premier Ministre qu’il n’était pas intéressé pour lui piquer son poste de planteur d’arbre.
Pendant ce temps, la rupture promise par Sarkozy est en marche. Fini les années Chirac. Rappelons nous ce qu’avait dit le pas encore candidat Sarkozy revenant de Washington : lui ne s’abaisserait pas à serrer la main de Poutine !
Il fait mieux : comme le rappellent 20 Minutes et ma copine de blog Laflote, il le félicite pour sa belle victoire aux législatives. Bon, il passe après l’Iran et le Kazakshtan, et en même temps que le démocrate-modéré-défendant-l'amitié-entre-les-peuples (j'en fais trop là ?) Bruno Gollnisch, mais avant l’Allemagne et l’Angleterre et tous nos autres pays copains et amis (même avant les italiens qu’on va rejouer au foot).
Et pendant ce temps, à gauche, la candidate du printemps fait les plateaux télé et radios pour parler de son livre. Quand on disait que maintenant ce n'est plus de la politique mais de la "promo"...
Devant Apathie sur RTL, elle critique ouvertement cette presse qui était aux mains de Nicolas Sarkozy pour le faire gagner. Hier soir, elle a oublié d’en parler à PPDA comme le faisait remarquer l’interviewer star d’RTL. Dommage…
Et c’est vrai qu’il y a du Jospin en elle : la faute des autres sa défaite. Les médias, le PS, un compagnon pas amoureux… Comme le dit son ancien compagnon toujours premier secrétaire du PS depuis 10 ans : « Il ne sert à rien de vouloir imputer aux autres une responsabilité. Il faut regarder, selon le rôle et la place qu’on a occupés, ce qu’on aurait pu faire de mieux ». Ce n’est pas faux. Mais il aurait peut être aussi fallu le dire aussi clairement à Lionel Jospin, cela aurait évité le bis répétita de 2007.
Quand même une phrase délicieuse de ce François Hollande que, je crois, j’aime plutôt bien (même si politiquement c’est pas ma came) : « On apprend toujours quelque chose dans les livres… ». Ouais, des sacrées choses même, sacrée Ségolène, sacré François, sacrée classe politique française…
Pendant ce temps, on se défait des actifs de la France parce que plus de sous et des promesses qu’il faudrait peut être un jour tenir… Et on parle d’augmenter le prix du gaz et de mettre l'écopastille pour "sauver la planète" : la promesse du pouvoir d’achat, celle là, on verra plus tard.
Non, je ne suis même pas mauvaise langue. Juste un peu fatigué. Noël arrive. C’est tant mieux.
Pendant ce temps, la rupture promise par Sarkozy est en marche. Fini les années Chirac. Rappelons nous ce qu’avait dit le pas encore candidat Sarkozy revenant de Washington : lui ne s’abaisserait pas à serrer la main de Poutine !
Il fait mieux : comme le rappellent 20 Minutes et ma copine de blog Laflote, il le félicite pour sa belle victoire aux législatives. Bon, il passe après l’Iran et le Kazakshtan, et en même temps que le démocrate-modéré-défendant-l'amitié-entre-les-peuples (j'en fais trop là ?) Bruno Gollnisch, mais avant l’Allemagne et l’Angleterre et tous nos autres pays copains et amis (même avant les italiens qu’on va rejouer au foot).
Et pendant ce temps, à gauche, la candidate du printemps fait les plateaux télé et radios pour parler de son livre. Quand on disait que maintenant ce n'est plus de la politique mais de la "promo"...
Devant Apathie sur RTL, elle critique ouvertement cette presse qui était aux mains de Nicolas Sarkozy pour le faire gagner. Hier soir, elle a oublié d’en parler à PPDA comme le faisait remarquer l’interviewer star d’RTL. Dommage…
Et c’est vrai qu’il y a du Jospin en elle : la faute des autres sa défaite. Les médias, le PS, un compagnon pas amoureux… Comme le dit son ancien compagnon toujours premier secrétaire du PS depuis 10 ans : « Il ne sert à rien de vouloir imputer aux autres une responsabilité. Il faut regarder, selon le rôle et la place qu’on a occupés, ce qu’on aurait pu faire de mieux ». Ce n’est pas faux. Mais il aurait peut être aussi fallu le dire aussi clairement à Lionel Jospin, cela aurait évité le bis répétita de 2007.
Quand même une phrase délicieuse de ce François Hollande que, je crois, j’aime plutôt bien (même si politiquement c’est pas ma came) : « On apprend toujours quelque chose dans les livres… ». Ouais, des sacrées choses même, sacrée Ségolène, sacré François, sacrée classe politique française…
Pendant ce temps, on se défait des actifs de la France parce que plus de sous et des promesses qu’il faudrait peut être un jour tenir… Et on parle d’augmenter le prix du gaz et de mettre l'écopastille pour "sauver la planète" : la promesse du pouvoir d’achat, celle là, on verra plus tard.
Non, je ne suis même pas mauvaise langue. Juste un peu fatigué. Noël arrive. C’est tant mieux.