vendredi 10 mars 2017

Point cerisier

J'aime ces billets de cerisier. J'adore mon cerisier, celui qui reste. 


Sinon je remercierai presque Vincent Peillon d'exister et de parler. J'ai moins honte de ma droite quand je vois que la gauche vivote avec ce type de personne abjecte.

Mais je préfère contempler mon cerisier...

2 commentaires:

  1. Je n'ai pas de cerisier mais il faut que je supporte des connards qui défendent Peillon.

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    1. Sur l'ensemble de son oeuvre, Peillon est indéfendable. Son retour à la politique est une somme d'abjection et d'ordures. Qu'il dégage.

      Ou alors que cette gauche là assume d'être "décomplexée", pour reprendre le terme approprié, et d'être ordurière. Et qu'elle assume ce que Cécile Pina ou Malek Boutih considèrent des liens dangereux avec un fascisme et des thèses qui me semblent autrement plus dangereux qu'une hypothétique victoire d'un Front National.

      (tu n'as rien à supporter : ceux ne sont pas du tout les valeurs que tu défends et que tu as dans le coeur toi)

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